Louise Labe Tant Que

Devoir de français à rendre pour le lundi 21 janvier Corpus : Texte A : Louise Labé, Sonnet 14 (1555) Tant que mes yeux pourront larmes épandre A l'heur passé avec toi regretter : Et qu'aux sanglots et soupirs résister Pourra ma voix, et un peu faire entendre : Tant que ma main pourra les cordes tendre Du mignard Luth, pour tes grâces chanter : Tant que l'esprit se voudra contenter De ne vouloir rien fors que toi comprendre : Je ne souhaite encore point mourir.

aimé à le rejoindre dans son amour (le feu) qui ne fait qu augmenter et prendre de l ampleur «Amour l a de si près saisi que force est qu il crise sans cesse Au feu». Nous verrons ensuite un poème considéré comme un classique, un poème de Louis Labé Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie publié en 1555. Ce poème de la renaissance a pour sujet l amour à la fois passionné et douloureux qui se voit directement avec ce vers «J'ai grands ennuis entremêlés de joie». L amour ici l investit lui

Lettres, le Roi Chevalier, le Roi Guerrier, le Grand Colas, le Bonhomme Colas ou encore François au Grand Nez[1], est sacré roi de France le 25 janvier 1515 dans la cathédrale de Reims, et règne jusqu’à sa mort en 1547. Fils de Charles d’Angoulême et de Louise de Savoie, il appartient à la branche de Valois-Angoulême de la dynastie capétienne. Victoire de Marignan : La bataille de Marignan (Marignano en Italie, aujourd'hui Melegnano, ville à 16 km au sud-est de Milan), eut lieu les 13 et 14 septembre

Louise Labé, Sonnets, 1555 I- La composition du poème : composé de deux phrase, ce sonnet offre un bel exemple d'expressivité poétique. La première phrase, v.1 à 9, déborde le cadre du quatrins pour s'achever dans le premier vers du premier terset. Composée d'une série de quatre subordonné temporelle anaphorique (=répétition à l'identique: elle consiste à répéter un ou des mot(s) identiques au début ou en fin de vers ou de phrase), elle voit sa proposition principal concentré sur un

manifestations de l’amour ? ! Supports : Une œuvre intégrale : Les Fleurs du Mal, section « Spleen et Idéal » (1857), Charles Baudelaire / Un groupement de textes Lectures analytiques : Groupement de textes 1. « Je vis, je meurs » Louise Labé, Sonnet 8, Elégies et Sonnet, 1555 2. « Et la mer et l’amour » Pierre de Marbeuf, Recueils de vers, 1628 3. « La Loreley » Guillaume Apollinaire, section « Rhénanes », Alcools, 1920 Une œuvre intégrale : Les Fleurs du Mal, section « Spleen et

Ronsard, Continuation des Amours (1555), « Je vous envoie un bouquet … » - Odes (1550), I, 17, « Ode à Cassandre» - Queneau, L’instant fatal (1943-1948), «Si tu t’imagines…» - Ronsard, Sonnets pour Hélène, 1578 « Quand vous serez bien vieille » 2) Louise Labé, Sonnets (1555), II « Ô beaux yeux bruns » et VIII, « Je vis, je meurs… » 3) M. Scève, Blasons (1536), « Le Front » 4) Alfred de Musset, Poésies nouvelles (1850), « Souvenir » de « Les voilà ces coteaux » à « Ce voile du passé » p.267 6) Baudelaire

et avance ceci : « Nous, nous voulons êtres les poètes de notre vie, et d'abord dans les choses les plus modestes et les plus quotidiennes ». La thèse nietzschéenne est claire : il s'agit de renouveler la vie, dans son quotidien et sa trivialité, en tant que moteur de la création. A cela s'oppose donc les prétentions romantiques ou lyriques, célébrant un au-delà aux idéaux absolus, éternels, mais donc immobiles, et ainsi, morts, selon Nietzsche. La poésie du modeste et du quotidien se veut le contrepied

siècle Un hémisphère dans une chevelure Baudelaire 19ème siècle Louis Aragon Elsa 19ème siècle Apollinaire Poèmes à Lou 20ème siècle Eluard les yeux fertiles 20ème siècle II. Antithèse : Le poète en lien direct avec le monde Musset Tristesse 19ème siècle Baudelaire Spleen 19ème siècle Mallarmé le vierge, le vivace et le bel aujourd’hui 19ème siècle Vladimir Holan En l’absence de la femme aimée 20ème siècle Louise Labé Sonnets 16ème siècle Victor Hugo jour des morts 19ème siècle

poésie »------------------------------------------------- Problématique choisie Peut-on parler d’évolution de la poésie ?------------------------------------------------- Etudes transversales et/ou thématiques  - le sonnet- le lyrisme | L.A 1 : « Tant que mes yeux pourront larmes épandre… », Louise Labé, SonnetsL.A 2 : « La mort du Loup », Alfred de Vigny, Destinées L.A 3 : « L’invitation au voyage »de Charles Baudelaire, Les Fleurs du malL.A 4 : «  Ma bohème », Arthur Rimbaud, Poésies | -------------------------------------------------

« si, tant »         • Champ lexical de la tempête : «apprêts », « vent », « orage », « naufrage » = métaphore filée image d’un amour orageux         • Les adjectifs qui présentent cette tempête sont intensifiés « cruel », « horrible » « nubileux » qui soulignent cet amour malheureux d’où le registre pathétique et tragique.         • Cet amour finit comme un naufrage, une force qu'on ne peut pas affronter : la fatalité. Ainsi avec l’expression d’une fatalité source de souffrance, Louise Labé se