Louis-Ferdinand Céline

Texte d’étude: Voyage au bout de la nuit, CELINE, extrait. Consignes : Vous répondrez à chacune de ces 2 questions par des paragraphes organisés en grandes parties Question 1. En quoi la première partie du Voyage au bout de la nuit est-elle une violente critique de la guerre ? Question 2 : Quelles sont les caractéristiques de Ferdinand Bardamu, en tant que personnage ? Quels sentiments, quels jugements vous inspire-t-il ? Pourquoi, d’après vous, Céline a-t-il choisi de mettre en scène un tel

Texte d’étude: Voyage au bout de la nuit, CELINE, extrait. Consignes : Vous répondrez à chacune de ces 2 questions par des paragraphes organisés en grandes parties Question 1. En quoi la première partie du Voyage au bout de la nuit est-elle une violente critique de la guerre ? Question 2 : Quelles sont les caractéristiques de Ferdinand Bardamu, en tant que personnage ? Quels sentiments, quels jugements vous inspire-t-il ? Pourquoi, d’après vous, Céline a-t-il choisi de mettre en scène un tel personnage

Soirées de Médan. » (préface de 1930 au recueil collectif Les Soirées de Médan). Voir aussi [modifier] Voir sur Wikisource : Naturalisme (littérature). Les Soirées de Médan Édouard Rod Lien externe [modifier] Discours de Louis-Ferdinand Céline sur le naturalisme (1933), sur le site E.Zola « Théorie et pratique du naturalisme » sur le site Magister (site pédagogique pour l'enseignement secondaire en France.) Portail de la littérature Portail de la France au XIXe siècle Ce

Genres littéraires dominants à la recherche de nouveaux André Breton (1896-1966) - récits : moyens d'écriture, il veut Paul Eluard (1895-1952) Aragon, Le Paysan de Paris aller au-delà du réel pour Louis Aragon (1897-1982) (1926) libérer les forces du rêve Robert Desnos (1900-1945) Breton, Nadja (1928) ; et de l'inconscient. - poésie

leur conception du roman, mais la correspondance privée est aussi le lieu où ils font part de leur travail, de leurs interrogations, de leurs hésitations. L’on comprend mieux la genèse de Madame Bovary en lisant les lettres de Flaubert à son amie Louise Colet. Ainsi, le jeune Stendhal, Henry Beyle à l’état civil, confie à sa sœur Pauline dans une lettre datée du 3 août 1804 : « Tu sais bien que, dans les romans, l’aventure ne signifie rien : elle émeut, et voilà tout ; elle n’est bonne ensuite qu’à

d'accord en seul point, celui de faire tout le mal possible. Le merveilleux de cette entreprise infernale, c'est que chaque chef des meurtriers fait bénir ses drapeaux et invoque Dieu solennellement avant d'aller exterminer son prochain. Texte C. CELINE, Voyage au bout de la nuit (1932) La torture du régiment continuait alors sous la forme nocturne, à tâtons dans les ruelles bossues du village sans lumière et sans visage, à plier sous des sacs plus lourds que des hommes, d’une grange inconnue vers

d'accord en seul point, celui de faire tout le mal possible. Le merveilleux de cette entreprise infernale, c'est que chaque chef des meurtriers fait bénir ses drapeaux et invoque Dieu solennellement avant d'aller exterminer son prochain. Texte C. CELINE, Voyage au bout de la nuit (1932) La torture du régiment continuait alors sous la forme nocturne, à tâtons dans les ruelles bossues du village sans lumière et sans visage, à plier sous des sacs plus lourds que des hommes, d’une grange inconnue vers

Est-ce de mauvais goût ou est-ce seulement raté ? André Gide et Louis Ferdinand Céline voulaient tous deux proposer un autre modèle que celui qu’adoptait la France durant la seconde guerre mondiale. Pour autant, bien que les deux hommes soient reconnus pour des ouvrages magnifiques, ils différaient en tous points concernant leurs aspirations politiques : - Gide : se rapproche du communisme, est contre le totalitarisme. - Céline: antisémite. III] Le bon goût reste une idée controversée

monde. C’est pourquoi le romancier peut faire passer certains éléments de sa propre vie dans celle du personnage. Cependant, il ne faut pas confondre l’existence du personnage avec celle de l’auteur. Comme dans voyage au bout de la nuit, où Louis-Ferdinand Céline attribue son expérience de la guerre de 1914 à 1918 à son personnage Bardamu qu’il fait d’ailleurs parler à la première personne. L’écrivain se sert de comparaison à sa vie pour mieux se dévoiler à lui-même, ceci rejoint la vision de Montaigne

journal prend une orientation collaborationniste, il décide d'y rester et d'essayer de continuer à utiliser sa plume de journaliste pour essayer d'inviter ses concitoyens à la dignité et à l'espoir. Cela, des critiques moqueuses par exemple de Louis-Ferdinand Céline, une gifle au collaborateur Alain Laubreaux (qui avait insulté Jean Marais) lui valent des inimitiés qui tentèrent de le faire passer pour juif, à une époque où cela équivalait à être déporté dans des camps d'extermination. Son activité journalistique