Loi Sanction Philosophie

juridiques des différents droits et libertés (droit public, droit privé, histoire du droit et la philosophie politique…) L’enseignent des libertés publiques est une méthode permettant d’accéder à l’essentiel et de briser les cloisons qui séparent artificiellement les disciplines. Les libertés publiques reposent donc sur des valeurs qui seront conceptualisés au début du 20ème siècle comme la philosophie des droits humains, dont l’esprit est de prôner l’absolu respect de la dignité de la personne

pour tous Commentaire de texte : « La loi est l’expression de la volonté générale (…) elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse » DDHC. Ce texte est extrait du Livre du Centenaire du Code civil, il est écrit par Raymond Saleilles, ce texte fait référence a l’organisation de la société après la Révolution, et sur l’égalité des hommes devant la loi Saleilles est un auteur français né en 1985, et mort en 1912 à Paris, c’était

Henri-Charles Clérel de Tocqueville ) qui est un sociologue ,démocrate ,économiste, et philosophe (philosophie politique ) qui est né en 1805 et mort 1859 comme Auguste Comte (philosophe français ,1798-1857) , ,Max weber (1864 -1920 , sociologue et économiste fondateur de la sociologie moderne) ,Alexis- Henri-Charles Clérel de Tocqueville (Sociologue, démocrate, économiste, philosophie en philosophie politique , né en 1805,mort en 1859) .On associe parfois à ce groupe de fondateur Karl Marx , historien

dans 4 sources : coutume, loi, jurisprudence & doctrine. Les juristes romains ont qualifié le droit de science & d’art --> l’art de ce qui est bon et juste. Jus-> Droit Lex-> loi Deff : des 4 sources • Coutume : usage qui par sa répétition prend force de loi. L’usage ces nous c'est le corps social qui créé un usage, quand le juge reconnait l’usage alors il prend valeur de loi. L’usage s’appelle alors coutume. • La loi : Lex -> législatif --->

abstraction : trois caractères nécessaires de la règle de droit ? La loi est nécessairement général, elle s'adresse à tous. Et impersonnelle. Par cette démarche on est passé insidieusement du droit à la loi. Idée reçu mauvaise car tout le droit n'est pas dans la loi. *Mais pourquoi associe-t-on directement droit et loi ? Pour des raisons culturelles, dans le monde occidental dessiné par la culture judéochrétienne, très souvent la loi est perçue comme un commandement, impératif, une autorité transcendente

s’agit d’éviter ou de régler les conflits. La règle de droit limite la liberté de chacun pour ne pas nuire aux autres. Mais le droit n’est pas seulement contraignant, il permet aux individus de vivre dans un cadre sécurisé, il permet d’éviter « la loi du plus fort ». Le droit est ainsi présent dans tous les grands domaines de la vie sociale. On distingue deux grandes divisions du droit : le droit privé qui organise les relations entre les individus, et le droit public qui organise le fonctionnement

tu as acquis le droit de pécher Droit → D majuscule → Le corps de règle dans un groupe d'hommes → Droit Objectif droit → d minuscule → privilèges → donner à un individus en particulier → droit subjectif Les conflits et les droits sont liés. La sanction n'est pas forcément une règle de droit. A) Le droit et les sciences Il y a une intéraction entre la science et le droit. La science c'est le progrès donc on ajoute de nouvelle règle. Le droit encadre les scientifiques. Ex: Révolution industrielle

République de Platon, le philosophe D. Sade, le personnage Calliclès dans le Gorgias de Platon) A) L'anneau de Gygès : un révélateur de nos désirs égoïstes B) La loi et la morale sont un compromis qui nous protège les uns des autres C) Mais, est-ce que cela ne conduit pas à justifier le crime ? (Quand on peut échapper à la sanction, il serait bon de transgresser les règles) II – La morale impose un frein à nos désirs égoïstes, mais elle est paradoxalement nécessaire à notre bonheur (Socrate

cette discipline indispensable pour un travail scolaire. Ce dernier dispose de cette qualité personnelle qu’est l’autorité morale pédagogique qui lui donne obligation de maintenir l’ordre dans sa classe et de sanctionner si nécessaire. Cette sanction peut aller d’un simple rappel à la loi, à la mise en œuvre d’une contrainte par une punition liée à un comportement proscrit. L’auteur précise que plus l’enseignant possède une autorité personnelle reconnue par les élèves moins il a besoin de faire

ensemble c’est-à-dire le fait social, le fait juridique, le fait philosophique. Le fait correspond à tout événement indépendant de la volonté humaine, susceptible de produire des effets de droit (par ex. décès, accident, catastrophe naturelle…). En philosophie, les faits ce n'est pas seulement les phénomènes graves de la nature en face desquels aucun droit ne peut se poser. Les faits c'est ce qui est fait par des agents (une pratique, des effets produits). La totalité de ces faits s'appelle l'histoire