Loi Du Talion Justice

juridiction du jurisclasseur Revue de science criminelle et de droit comparé Introduction historique : de la justice privée au droit pénal contemporain §1: la genèse du droit pénal Au départ, le droit pénal était considéré comme la justice privée, qui apparaît aujourd'hui comme l'abnégation du droit pénal. Le droit pénal est donc logiquement apparu lorsque le droit de faire justice soit même a disparu. Dans toute société, on a d'abord connu, en l'absence d'une autorité commune pour tous, la

grands défis du 21eme siècle droit comme instrument de la politique d’entreprise ou établi les rapports entre les individus par exemple Fonction de loi :  encadrer la société (scolarisation obligatoire) organiser la vie en société interdire (loi Touraine) Prescrire Reconnaitre (loi Taubira) Consacrer un principe (parité) 3 différents types de loi : organique constitutionnelle fiscale Qu’est-ce que le droit ? Le droit est une science, une discipline ayant de multiples visages dont il faut

permet le plein accès à la justice, c'est-à-dire une disposition où chacun se voit attribuer ce qui lui revient et ce qui lui est dû. Et, de facto, autrui doit pouvoir se voir attribuer par chaque être humain le respect qui lui est dû, et la cité démocratique le garantit. Seulement, le droit n'est pas mis en application partout de façon efficace, il existe encore sur terre des zones dites de non-droit, où le droit est bafoué, et ces zones permettent le règne de la loi du plus fort faisant alors

existe 2 mots pour décrire ce pouvoir que détient ce roi mérovingien : le MUNDIUM ou MAINBOUR. Par ces mots, il faut entendre, l’idée de protec° qui est mise na avant, le roi est un protecteur de ses fidèles et il maintient la paix et fait régner la justice autant que possible. En principe, ce MUNDIUM a une porté générale ms en réalité ce MUNDIUM devient spéciale. Le roi assure la protec° de certains groupes et n’a pas nécessairement les moyens institutionnel de amener sous sa protec° l’ensemble de

Faire justice est-ce une façon déguisée de se venger ? On dit souvent de celui qui veut se venger qu'il réclame justice, c'est-à-dire l’administration d’une sanction au coupable. Ainsi, dans un premier temps, on pourrait penser qu'en punissant le criminel, la société venge sa victime. En effet à un mal subi, on répond par un mal infligé or il est vrai que la vengeance se définit par l’action par laquelle une personne offensée, inflige en retour et par ressentiment un mal à l'offenseur afin de

relation conflictuelle, irrespectueuse avec autrui, et portant donc atteinte à sa dignité, devient, dès lors, contraire au droit, et peut conduire l'Homme à comparaitre devant la Justice, d'où le devoir de respecter autrui (I). Pourtant, il existe de fait des lieux dits de non-droit, où règne un état de nature, et où s'impose la loi du plus fort : alors, le respect d'autrui devient secondaire, et ce principe ne semble plus nécessaire à appliquer (II). Il n'en demeure pas moins que l'Homme qui est corps

Chapitre 6 : Justice et droit Introduction La vie sociale ne semble pas aller sans une exigence forte et partagée de justice : les uns dénoncent le mal, le tort qu’ils ont subi et réclament la justice. Les autres dénoncent les inégalités sociales, économiques, politiques dont ils sont les victimes et réclament justice. Mais qu’est-ce que la justice ? La justice procède-t-elle d’un sentiment subjectif, personnel ? Mais cette conception subjective et donc relativiste de la justice ne risque-t-elle

étaient portés par la victime devant des juridictions ordinaires. Les romains se renoncent à établir une énumération de ces délits et préfèrent les traiter au cas par cas. Les délits privés les plus importants vont être sanctionnés à partir de la Loi des 12 tables. Certains magistrats vont sanctionner certains faits considérés comme délictueux : les délits prétoriens. Dès cette époque là commence à se dégager une responsabilité du fait des tiers et des animaux. Paragraphe 1 : Les délits

par cette collectivité. La justice est assimilée aux tribunaux qui doivent appliquer le droit et rendre des décisions justes. Dans le langage commun, on confond souvent droit et justice alors que pour le juriste, la justice aura un sens différent. Il distingue : Justice au sens subjectif: c’est l’aspect morale de la justice considérée comme un fondement du droit. Dans l’antiquité, les juristes romains définissaient la justice comme l’art du bon et de l’équitable. Justice au sens institutionnel: c’est

tort subisAucun crime ne doit rester impunies, en conséquence il n’est pas nécessaire de faire souffrir le délinquant au-delà du nécessaire. Bien que ces idées aient été pensées dans les années de 1760 arrivent à maturité à la Révolution. Plus une justice se veut clémente plus elle se veut efficiente. 3) Aujourd’huiUn nouveau tournant semble être pris et les directions sont multiples qui expliquent la naissance de branches diverses du droit. D’un coté on s’attache de plus en plus à la victime longtemps