Littérature baroque espagnole

l’Agrégation procurée par JeanRaymond Fanlo (1995 ; rééd. 2003) est basée sur ce manuscrit. Il resterait évidemment à signaler l’existence d’autres éditions et d’anthologies (dont celle, remarquable de Cl.-G. Dubois, 1975), ainsi que des traductions (espagnole et russe), sans oublier la parution conjoncturelle (1941) de livres séparés, dont celui de « Jugement » demeure le plus original. Le lecteur se trouve ainsi devant une œuvre hybride, composée par strates successives, dont des fragments, voire certains

historique : le « Grand siècle » français. La période que l’on nomme « classique » recoupe le règne de Louis XIV, soit la seconde moitié du XVIIème siècle. Le Roi Soleil encourage l’effervescence artistique dans tous les domaines et veut concurrencer le baroque italien. Le culte de la perfection antique des « classiques » rejoint donc la volonté de grandeur et de prestige du monarque. Les valeurs classiques. Les auteurs et artistes « classiques » ne se nomment pas ainsi. Le terme n’apparait qu’a

MOLIERE Le XVIIe siècle est considéré comme le siècle d'or du théâtre. Il se divise en deux courants : le Baroque (en Europe) et la Classicisme (en France) Le Contexte historique: Au cours de ce siècle, on peut voir que le pouvoir royal se renforce, Henri VI et Louis XIII prépare la Monarchie Absolue de Louis XV. Le pouvoir est renforcé car on le montre dans l'art comme dans la littérature. (fêtes de Versailles). Malgré cela il y a une querelle entre les catholiques et les protestants qui sont

Le ROMAN DU XVII" S : DU BAROQUE AU CLASSIQUE Roman pastoral I'idealisation, et hero'ique de la premiere moitie du XVII". A la meme periode, et en opposition a cette tendance a un courant realiste et satirique s'affirme. Scarron, dans Le Roman comique et Furetiere dans Ie Roman bourgeois de la Manche, presentent des personnages pittoresques, de (1666) influences condition par I'ceuvre majeure espagnole Don Quichotte mediocre soumis a des aventures prosa'iques et burlesques. Gagnant en unite

développe en France, et plus largement en Europe, à la frontière entre le XVIIe siècle et le XVIIIe siècle, de 1660 à 1715. Il s’agit d’un ensemble de valeurs et de critères à la recherche de la perfection et de la raison. Le classicisme concerne la littérature du XVIIe siècle, en particulier le théâtre. Ce mouvement a engendré de nombreuses oeuvres remarquables, comédies et tragédies, qui peuvent même éveiller en nous des résonances profondes aujourd’hui. En effet, depuis la Renaissance, ce sont les

en partie, à la critique étrangère qui n'a jamais faiblie envers notre auteur. Avec conviction et satisfaction, nous attendons un retour prochain en France[7], cette fois en tant qu'auteur classique. Schwob a pourtant bien participé à la littérature. D'abord il s'est adonné au fantastique, bien sûr dans sa production, mais aussi dans son renouvellement, et surtout dans son exploration, sa formalisation. Il est question de voir ici ce qu’il en est. "Au temps de l'universel et des

Conclusion Introduction : Le passage de l’âge baroque au classicisme, qui concorde avec l’établissement progressif d’une monarchie absolu (notamment avec Richelieu et Mazarin et surtout Louis XIV) se manifeste essentiellement par une attention très particulière à la notion de règle, aux dépend de l’inspiration et du jeu. Mais on peut considérer que l’opposition entre le baroque et le classicisme se fait en premier par une règle implicite (le baroque qui est liée au monde féodal…) et une règle explicite

Pierre Michon, Vies minuscules. Maupassant, Une vie. Rabelais, Gargantua ; Pantagruel. Céline, Voyage au bout de la nuit.Le roman est surtout connu pour son style imité de la langue parlée et influencé par l'argot et qui a largement influencé la littérature française contemporaine. Il s'inspire principalement de l'expérience personnelle de Céline au travers de son personnage principal Ferdinand Bardamu : Louis-Ferdinand Destouches a participé à la Première Guerre mondiale en 1914 et celle-ci lui a

Possonnière, près de Vendôme. Fils d’un chevalier, Ronsard entre au service de la cour royale en 1536 et devient le page du troisième fils de François 1er, Charles d'Orléans. Destiné à une carrière militaire, il se tourne cependant vers la poésie et la littérature à la suite d’une grave maladie l’ayant rendu à demi-sourd. Ronsard suit alors les cours de Jean Dorat, un grand helléniste, au collège de Coqueret, à Paris où il fait la connaissance de Joachim du Bellay. Ronsard et Du Bellay décide de former avec

partie II « Je ne vous ferai point voir ici… » A qui s’adresse-t-il réellement ? Au lecteur ? A son ami ou à un lectorat public ? * Roman d’amour dans le sens le plus « romanesque » du terme : enlèvement d’Angélique, intrigues des historiettes espagnoles * Une chronique de son temps ? chapitre 8 II, remarque sur la vie des comédiens. Plusieurs remarques aussi sur le Maine, sur l’onomastique régionale, ainsi que la mention de nombreuses professions et statuts sociaux (le lieutenant de prévôt la