Litote

voila mon travail. Vers de Strophes de Sonorités:→répétition d'un même son de consonnes:L'allitération →répétition d'un même son de voyelles:L'assonance →lorsque 2 voyelles se suivent ,elles peuvent être scindées pour permettre le découpage d'une nouvelle syllabe:La diérèse Rythmes:→la pause dans un vers se fait généralement à sa moitié:Coupure/césure à l'hémistiche

navigation, des orages (litote) et du naufrage => dangers communs).métaphore filée de la navigation, des orages (litote) et du naufrage => dangers communs).métaphore filée de la navigation, des orages (litote) et du naufrage => dangers communs).métaphore filée de la navigation, des orages (litote) et du naufrage => dangers communs).métaphore filée de la navigation, des orages (litote) et du naufrage => dangers communs).métaphore filée de la navigation, des orages (litote) et du naufrage => dangers

(opposé à litote). ⇒ emphase, exagération. Exemples : Je suis mort, pour : je suis fatigué; Ce chanteur est génial, pour : ........................................................................................................... Le champion des champions, pour : ............................................................................................. 2. La litote La litote est le contraire de l’hyperbole : c’est une expression affaiblie, en-deçà de la réalité. Souvent, la litote est la suggestion

défavorable (B) dans les termes employés. Ex: A) C’est un film sublime, époustouflant, un film-bombe. (La Presse) B) Ce professeur est un tortionnaire. 11. LITOTE Figure qui consiste à affaiblir volontairement une expression pour faire entendre plus qu’on ne dit. Ex: Ça ne sent pas la rose. ( Ça sent mauvais. ) Autrement dit, la litote permet de dire peu pour suggérer beaucoup. Cette figure revêt le plus souvent la forme d’une négation. Au lieu d’affirmer une chose (ex. Marie est plutôt jolie)

hyper-, super-, méga-, -issime. La litote : Litote vient du grec litotês qui veut dire "affaiblissement". Une litote sert à exprimer une idée de façon atténuée pour ne pas la dire de façon directe. Elle est souvent employé avec une phrase négative. - Elle n'est pas mécontente de sa nouvelle coiffure. (Sous-entendu : elle est contente de sa nouvelle coiffure) - Ce n'est pas un mauvais résultat.(Sous-entendu : c'est un bon résultat On emploie souvent la litote pour exprimer un désir à la fois

Texte 1 : La scène de bal dans la Princesse de Clèves : Ce document est tiré de La Princesse de Clèves, roman classique publié de manière anonyme en 1678, par Madame de Lafayette, mettant en scène la passion impossible entre le duc de Nemours et la Princesse de Clèves au travers d’intrigues mêlant des considérations précieuses, moralistes et jansénistes.Le passage se situe dans la première partie du roman et relate la rencontre des deux protagonistes du roman, la princesse de Clèves et le duc de

augmentait encore l‘air brillant qui était dans sa personne », cela se montre aussi par la litote « il était difficile de n’être pas surprise de le voir ». La répétition de la litote « il était difficile aussi de voir Mme de Clèves pour la première fois sans avoir un grand étonnement » et l’adverbe « aussi » montre qu’il y a ici un éblouissement réciproque. Viens alors s’ajouter une troisième litote mais cette fois-ci négative : " il ne put s’empêcher de donner des marques de son admiration

la chaleur de la conversation », par s’abandonner à son désir, en décroisant les jambes, en se rapprochant de la jeune femme (cf. la litote : « il la conseilla de si près »), en l’embrassant (cf. la litote : « et lui donna des avis si tendres, qu’ils ne pouvaient plus ni l’un ni l’autre parler d’affaires ») et en perdant tout contrôle de la situation (cf. la litote : « ils ne savaient plus où ils en étaient ») - renversement de situation : Memnon a « fait son petit plan de sagesse » et se sent

par exemple l' hypallage ou métonymie (ex.: l' Afrique pour les Africains), ou encore la synecdoque (ex. : le fer pour le glaive). Les figures correspondent à des tours de discours où la pensée exprimée diffère de sa représentation usuelle (ex. : la litote, l' hyperbole, etc.). La distinction entre les tropes et les figures n' pas toujours nette, me^me chez les auteurs est classiques. (iv)la convenance (decorum) consiste à approprier le style à son objet. Pour ce faire, il faut tenir compte : (a) du

humoristique est dominante. D’ailleurs nous pouvons l’affirmer par l’utilisation des négations tel « elle n’eût pas de peine à deviner » à la ligne 732 qui procure un effet de ridicule et drôle car la princesse est vue comme excessivement naïve. De plus, des litotes tels « il n’était pas impossible qu’elle eût vu ce qu’il venait de faire » enlèvent toute crédibilité au Duc de Nemours aux yeux du lecteurs. Nous remarquons ajouté à la négation l’utilisation du subjonctif plus-que-parfait un temps qui exprime une