Lithosphère océanique

CCF sur l’évolution de la lithosphère océanique Comment évolue la lithosphère océanique de sa formation jusqu’à sa subduction ? Tout d’abord, la lithosphère quelle soit océanique ou continentale est la couche la plus superficielle de la Terre, elle est rigide et cassante. La lithosphère océanique contient la croûte océanique et s’arrête à la LVZ (low vélocité zone) ou isotherme 1 300°C, à 100 km de profondeur. Elle se crée au niveau des dorsales océaniques (zone de divergence), par remonté de magma

W lieu d'extension et de magmatisme, favorise la circulation de l'eau de mer. b. Indiquer comment l'eau peut atteindre une telle température. c. À l'aide du doc. 1, montrer comment la circulation de l'eau s'accompagne d'échanges avec la croûte océanique. d. Justifier l'intérêt économique des circulations hydrothermales. Objectifs:Saisir les informations d'un tableau et d'un texte pour découvrir un phénomène. Réponses attendues: a.​L'extension est responsable de la formation de fissures, de failles

TP G7 : Formation de la lithosphère océanique :TP 6 : Formation de la lithosphère océanique : I/ La formation d’un magma basaltique à partir de péridotites : La croûte océanique est composée de basalte et de gabbro, le manteau sous-jacent de péridotite. Des études géochimiques ont permis d'établir que la péridotite est à l'origine du magma qui, en refroidissant, forme le basalte. a) l’origine de la fusion des péridotites : La péridotite est généralement à l'état solide à l'intérieur

continents et s’intègre dans le cadre de la tectonique des plaques. Pour commencer, je vais parler des témoins d’une histoire océanique puis de l’épaississement due au raccourcissement afin de terminer sur l’érosion et l’isostasie et conclure avec un schéma bilan. Comment les Alpes se sont-ils formés et comment ont-ils évolués ? 1/ Les témoins d’une histoire océanique  A / Les ophiolites non métamorphisées. Dans les Alpes, plus précisément au Chenaillet, on trouve, à des altitudes élevées

→ cours et TP/TD Magmatisme 0,25 Metamorphisme 0,25 CC 0,50 MAGMA Magmatisme Chap 1 : Rappels I.Zonation de la terre noyau : fer et nikel, pas d'echantillon pour l'instant manteau : sup et inf limite a 700km croute : continentale, sedimentaire lithosphere : manteau sup + croute asteno : partie inf du manteau sup differenciation gravitaire dans laquelle vont migrer les elelents lourds : fer et nikel → les elements légers restent dans le manteau primitif manteau primitif = va etre origine zonation

Couches dans un océan: • Sédiments océanique • Basalte: croute océanique • Limite de Mohorovicic • Petite partie du Manteau supérieur, péridotite La croute océanique et le manteau supérieur forment ce que l'on appelle la lithosphère océanique. Couches dans un continent: • Sédiments continentaux • Croute continentales: Granite • Limite de Mohorovicic • Petite partie du Manteau supérieur, péridotite Le tout forme la lithosphère continentale. Par suite on trouve

thermique au niveau des lithosphères océaniques est plus important car la surface de la lithosphère océanique est de 308.6*106 Km² et celle de la lithosphère continentale est de 201*106, de plus le flux thermique moyen est plus élevé au niveau de la lithosphère océanique (67 mW.m-2) que celle de la lithosphère continental (57.7mW.m-2). Le flux thermique de la surface continentale (57,7*10-3*2 ,01*1012 = 1,16*1013 W) est presque le double de celui de la surface océanique (67*10-3*308,6*1012 = 2

montre la distribution bimodale, les deux modes (pics de fréquence) étant 4-5 km de profondeur (océans) et 0-1 km d'altitude (continents). L'altitude moyenne en milieu continental (croûte continentale) est de l'ordre de 840 m. En milieu océanique (croûte océanique), la profondeur moyenne est de l'ordre de 3800 m. Schéma : O. Dequincey, d'après les données de la littérature Les documents et études illustrant la distribution bimodale des altitudes ne démontrent pas la mobilité horizontale des continents

la tectonique des plaques l’apport de l’étude des ondes sismiques. Dans cette unité, ces données témoignent de l’état solide du globe et, dans l’unité 3, de la distinction entre la croûte océanique et la croûte continentale. Plus loin (chapitres 2 et 3), les ondes sismiques permettent de distinguer la lithosphère de l’asthénosphère et de mettre en évidence le phénomène de subduction via la technique de tomographie sismique. – Une modélisation analogique est possible (voir p. 81) : elle utilise un

laquelle naît une dorsale océanique. On observe dans la région un bombement, avec un amincissement de la lithosphère et une remontée de l’asthénosphère. Des séismes, des failles normales sont la preuve d’une extension. On a un effondrement central qui donne naissance à un rift continental. Les coulées basaltiques sont les premiers signes de l’apparition de la croûte océanique. La morphologie, la présence de séismes et les failles normales qui structurent les dorsales océaniques attestent de mouvements