Liste des souverains de Provence

3.2 La Constitution 1.3.3 Du Consul à l’Empereur 1.4 Empire 1.4.1 Symboles impériaux 1.4.2 Napoléon et l’Église 1.4.3 Napoléon et l’économie 1.4.4 L’Empire victorieux 1.4.5 Campagnes de la péninsule Ibérique et d’Autriche 1.4.6 Napoléon, souverain du « Grand Empire » 1.4.7 Campagnes de Russie et d’Allemagne 1.4.8 Campagne de France 1.4.9 Les Cent-Jours 1.4.9.1 La Route Napoléon et le « Vol de l’Aigle » 1.4.9.2 Retour au pouvoir et défaite finale 1.5 Exil à Sainte-Hélène et mort 1.5

politique et institutionnelle de l'espace européen Les pays européens vont suivre la même évolution politique et institutionnelle, que l'on peut résumer en 3 grandes étapes. Un modèle de royauté barbare. Un modèle féodal. Un État souverain. Les premiers États furent des État-Nation. Partie 1 : L'Europe médiévale du Ve siècle au XIVe siècle, des royaumes barbares aux seigneuries féodales Chapitre 1 : Les royaumes barbares Certains peuples barbares ne vont faire que traverser

de France ne fut employé de façon officielle qu'à partir de 1190 environ, quand la chancellerie du roi Philippe Auguste a commencé à employer le terme de rex Franciæ[1] (roi de France) à la place de rex Francorum (roi des Francs) pour désigner le souverain, le mot était déjà couramment employé pour désigner un territoire plus ou moins bien défini, comme on le voit à la lecture de la Chanson de Roland, écrite un siècle plus tôt. Ce terme de « France » fait suite à celui de « Francie occidentale », officialisé

quand plusieurs personnes participaient à l'aventure maritime et en partageaient les risques. (Massimiliano Rimaboschi, L'unification du droit maritime, contribution à la construction d'un ordre juridique maritime, préf. P. Bonassies, Thèse, Aix en Provence, 2006, p. 163 et s. et p. 267 et s.). 15 Corbier (I.), La notion juridique d’armateur, préc., p. 58. 16 L. Delwaid, « Considérations sur le caractère réel de la responsabilité du propriétaire de navire », Liber Amicorum Roger Roland, p. 157.

plantée au bord du Plan de l'Aigle, cet immense plateau rocheux qui domine la verte vallée de l'Huveaune. La tour est un peu plus large que haute : mais comme elle sort du rocher à six cents mètres d'altitude, elle monte très haut dans le ciel de Provence, et parfois un nuage blanc du mois de juillet vient s'y reposer un moment. Ce n'est donc pas une montagne, mais ce n'est plus une colline : c'est Garlaban, où les guetteurs de Marius, quand ils virent, au fond de la nuit, briller un feu sur Sainte-Victoire

reine, etc...) Les pamphlets nourris par une cour « aussi méchante que celle de Versailles(...) cherche sans cesse à savoir quelles compensations érotiques peut s'accorder MA. » Nuire à la réputation de la reine en arrangé certains (ex: comte de Provence voulant être roi, et il met en doute la paternité des enfants de Louis XVI.) Les detracteurs s'arrangent pour que le peuple soit au courant. Rumeurs purement méchantes. MA a pu introduire le doute ds le fait qu'elle ait pu avoir des amants: -grande

prendre l'habitude d'annoncer dès le moment de leur entrée en fonction les innovations qu'ils entendent introduire dans le domaine juridique. Chaque année, sera donc publier l'édit du préteur c’est à dire une sorte de programme judiciaire, en clair, la liste des actions que le Préteur s'engage à délivrer au Plaideur. Chaque préteur reprend les actions introduites par son prédécesseur et y ajoute ses propres actions. Le droit prétoriel est en action continu et l'édit du préteur devient une véritable source

pouvoir est attaché à la volonté de la nation : son autorité est dorénavant constituée et non divine. La fidélité du roi à la nation est garantie par serment. Il est le premier fonctionnaire du pays et reçoit donc, à ce titre, un traitement : la liste civile. Les biens de la couronne sont déclarés propriété de la nation. Par ailleurs, la constitution prévoit qu’il peut être frappé de déchéance : il n’est plus la personne sacrée de l’Ancien Régime. Il peut donc être écarté par la nation. Les attributions

protecteur sur les autres. D) Un culte des « héros ». Une autre des caractéristiques essentielle de la société romaine est l'importance accordée aux ancêtres. Cela nous apparaît que d'une manière sous-jacente lorsqu'Octave nous dresse la liste des différents pères (l.10) victorieux, ces héros (l. 14) et ayant participé à la grandeur de Rome, agrandissant de fait son empire (l.10 à 14). Ces héros victorieux ne sont pas cités, mais plutôt leurs ennemis, façon sans doute pour glorifier leurs

des cas d’espèce appelé jurisprudence. Ce texte est gravé sur plusieurs stèles ; l’une de ces stèles est au Louvre : intéressante car représente le roi devant une divinité assise, cette scène souligne le prologue du code qui met en relief que le souverain à une fonction religieuse : donc lois d’origine divine. Mais dans ce code les prescriptions religieuses tiennent une place moindre. Ce code se veut un règlement de paix. Le roi apparait comme un justicier. Il est le protecteur des faibles. Le roi