Liquéfaction du sol

--------------------------------------------------------------------------------Page-20- Introduction La planète Mars a toujours suscité de nombreux rêves chez l'Homme, l'un d'eux étant d'y poser le pied et d'y vivre. Depuis longtemps l'Homme désire fouler le sol de la planète rouge et la coloniser, si l'on s'en réfère aux auteurs de science fiction. Si la «terraformation» (terme venant de l'anglais terraforming que l'on doit à l'auteur américain Jack Williamson qui en parle dans une nouvelle intitulée Collision

(passage d’une plaque sous une autre moins dense). Ils sont donc à l’origine des secousses sismiques. En effet, les tensions accumulées par les roches au cours des déplacements des plaques sont soudainement relâchées, l’effort devenant trop important. Le sol entre alors en mouvement. 5 Les ondes sismiques peuvent être de différents types que nous allons maintenant étudier. b. Les ondes sismiques Nous pouvons tout d’abord distinguer deux grandes catégories d’ondes qui parcourent le globe : les

3. L'air...................................................................................................................... 29 3.1. Composition de l'air................................................................................ 30 3.2. Liquéfaction de l'air ................................................................................ 31 3.2.1. La purification ........................................................................... 31 3.2.2. La réfrigération ........................

pulsation des petites oscillations de la tige. II.5. L’axe ∆ est désormais fixé au sol et on désigne maintenant par θ l’angle entre la direction de la tige et cette direction initiale (voir fi- gure ci-contre). La tige est lâchée sansmouvement initial de l’angle θ0. O ∆ O′θ #»g (a) Déterminer l’expression de sa vitesse angulaire θ̇ en fonction de l’angle θ et en déduire la valeur de θ̇ quand la tige atteint le sol. (b) Déterminer les expressions, au cours de la chute, des composantes verticales de

détérioration de l'appartement se remarque d'abord par la diminution de la lumière le lendemain du mariage, c'est-à-dire le premier matin où Chloé se trouve dans l'appartement. Puis s'y ajoute, après le voyage de noces, la liquéfaction des rayons de soleil. qui « s'écrasaient sur le sol pour s'étaler en flaques minces et paresseuses»(p.112). Bien qu'au début ce soit récupérable grâce à la souris qui gratte le carreau en le faisant briller de nouveau, cela ne durera pas. L'humidité l'emporte dans

.............................................................. 11 Matrice................................................................................................................................ 11 A. Modification du relief du sol / consommation de sol superficiel..................................... 13 l’eau....................................................................................................................................................13 A.5/6. Incidences indirectes

Conclusion Introduction Qu'est-ce qu'un orage ? Un orage est un phénomène atmosphérique caractérisé par une série d'éclairs et de coups de tonnerre. Un éclair peut se déclencher à l'intérieur du nuage, entre deux nuages, ou entre le nuage et le sol (c'est le coup de foudre). L'orage est toujours lié à la présence d'un nuage de type cumulonimbus, appelé aussi nuage d'orage. Les noms de nuages reconnus internationalement ont été forgés au XIX eme siecle. Leur classification doit beaucoup aux progrès

descend par rapport au sol, cependant il descend moins vite que celui qui n'a pas ouvert son parachute. Par rapport à celui-ci, il semble donc monter. Référentiel : objet servent de référence pour décrire un mouvement. Le mouvement d'un objet dépend du référentiel que l'on a choisi : c'est la relativité du mouvement. Pour étudier des mouvements ayant lieu sur Terre, on utilise généralement le référenriel terrestre constitué par le sol ou par tout objet immobile par rapport au sol. III- Vitesse moyenne

inquiétant propre à Magritte. Une variante de la pétrification entre en jeu dans les différentes versions du Séducteur, exécutées pour la plupart entre 1950 et 1953. La composition représente une silhouette de voilier en mer. Il s'y produit une liquéfaction, car le bateau est de la meme substance que la mer. J'y vois une variante de la pétrification parce qu'elle fait intervenir une métamorphose analogue, mais aussi parce qu'elle aboutit à une grisaille. La troisième version à l'huile, peinte en 1951

subdiviser les essais en place en deux grandes familles : les essais qui donnent une caractéristique de sol à la limite (ou, si l’on veut, à « la rupture ») et les essais qui donnent en plus une relation contraintes - déformations. Les pénétromètres statiques et dynamiques appartiennent à la première famille. Ils sont enfoncés dans le terrain soit à vitesse imposée soit sous l’effet de chocs répétés. Le sol sous la pointe est constamment dans un état limite puisque la pointe de l’appareil le poinçonne.