Limites De Bale Ii

solvabilité  Section 3 : La réforme du comité de Bâle II  Chapitre II : La gestion du risque crédit Section 1 : La stratégie bancaire en matière de gestion du risque crédit  Section 2 : Gestion des Fonds propres bancaires et risques  Chapitre IiI : L'analyse du risque crédit au sein de la filière Risque d'une banque  Section 1 : Présentation de la filière risque  Section 2 : Méthode d'analyse des risques de crédit  Partie II : crise economique actuelle et gestion de

assurant l’interface des fronts office et de departement supports ou des centres de productions qui sont plus en plus centralisés. Role : - la vérification des négociations effectuées par le front office - contrôle de non dépassement des limites des engagements - rapprochement des opérations traitées avec les confirmations reçues - suivi de la complétude (qualité de dossier) Back office Nature : le bo à l’inverse désigne l’ensemble des parties du système d’information auxquelles

traitée qui peut s'avérer défaillante. 1.2.3  Le risque opérationnel  Fraude, bug informatique, incendie des locaux... ; les grands sinistres bancaires sont souvent dû au risque opérationnel (Barings, SG). Selon le document consultatif du comité de Bâle, les risques opérationnels se définissent comme les risques de pertes directes ou indirectes résultant de l'inadaptation ou de la défaillance de procédures, de personnes ou de systèmes ou résultant d'événements extérieurs ("the risk of direct or

emprunteurs publics dans les crédits distribués, relâchement dans la gestion...)1 De même, il existe des instances qui encadrent l’activité du crédit à l’échelle international tel que le comité de Bâle. 1.2. Les accords de Bâle : instrument universel pour encadrer l’activité du crédit Le Comité de Bâle ou Basel Committee on Banking Supervision (BCBS) vise à assurer la stabilité et la Fiabilité du système bancaire et financier. A travers l’établissement de standards minimaux en matière de contrôle

travers des marchés et au travers de systèmes de règlement livraison. Deux mesures visent atténuer le risque de panique : assurer la continuité de l’activité d’une banque en difficulté et assurer les déposants sur la récupération de leurs dépôts. II- A- Continuité de l’activité 1) Contrôle indépendant Le règlement 2004-02 apporte un complément au règlement 97-02 en créant pour les banques l’obligation de se doter d’un plan de continuité de l’activité : ensembles des mesures visant à assurer

SOLVENCY II : CONTROLE ET GESTION DES RISQUES REMERCIEMENTS Je tiens tout d’abord à remercier le Cabinet Ernst & Young qui m’a offert l’opportunité de faire un stage en Audit. Au cours de ce stage, j’ai pu découvrir différents secteurs d’activité comme les Fonds d’Investissements, la Banque, les Sociétés Commerciales et l’Assurance. C’est lors d’une mission en Assurance que j’ai découvert le thème de ce mémoire Solvency II, que je vais vous laisser découvrir par vous-mêmes. Je

récemment les autorités en charge de la régulation bancaire internationale ont engagé un ensemble d’outils de contrôle et des mesures de prudence que l’on peut regrouper dans la division et limitation des risques, et ce dans le cadre du comité de Bâle II. L’année 2007 a marqué le tournant vers la transparence, c’était une occasion pour les autorités de contrôle et les établissements bancaires de se préparer à l’application des nouvelles normes, il conviendra de voir la gestion des risques en tant

4- Quand une banque accorde un prêt, où le met-elle à son bilan ? Et pourquoi ? Quand une banque accorde un prêt elle inscrit cette créance à son bilan. 5- Quand la BCE prête à une banque, que demande-t-elle en contrepartie pour limiter son risque ? Les prêts aux banques par la BCE doivent passer par les Etats. La seule solution à court terme est la transformation du MES (Mécanisme Européen de Stabilité) en une institution bancaire qui ne dépendrait plus uniquement des marchés

comme plus spécifiquement des professionnels de l’intermédiation financière. En effet, tant l’acclimatation des normes comptables internationales (IAS ou IFRS) en Europe dès 2005, que le raffinement progressif des documents consultatifs du Comité de Bâle, deuxième du nom, au sujet de la réforme du ratio de solvabilité bancaire, participent de l’accompagnement de la mondialisation des transactions financières. Force est aujourd’hui de reconnaître que la Tour de Babel comptable, où chacun des organes

couvertures ne suffisent pas car il y a des risques difficiles à prévoir et à quantifier. Ils sont de plusieurs natures. C’est dans la perspective de se couvrir contre ces derniers que la BRB a exigé aux institutions financières, conformément aux accords de Bâle I, de bloquer en fonds propres l’équivalent de 8% des engagements pris par la banque. C'est-à-dire que pour des actifs d’une valeur de 100 BIF, il faut au moins avoir 8 BIF en fonds propres. Les travaux de normalisation qui ont été menés dans le