Limite Des Principes Budgétaires

milliards. Il existe un ppe de sincérité budgétaire. On le verra plus loin dans le cours. Il arrive que le gvt ait sous évalué la croissance. En 2004 par exemple: l'État a engrangé trop de recette par rapport aux prévisions. Il faut reconnaître aux budget de Raffarin et Villepin leur réussite a réduire le déficit. En dessous de la norme imposée par la Commission Européenne. Il ne faut pas que cela dépasse 3% du PIB. Remarques: sur cette apparente réussite budgétaire un premier chiffre qui saute aux

cette question semble cependant moins évidente, dans la mesure ou la coexistence des deux types de finances laisse ressortir des analogies, des spécificités et aussi des points de rencontre. D’abord, pour les analogies, elles sont évidentes mais limités : les finances publiques et les finances privés nécessitent tous les deux l’instrumentation des techniques et l’utilisation des outils d’établissement de budgets et de comptes dans un souci d’équilibre entre les dépenses et les recettes ou les décaissements

LES PRINCIPES DE LA POLITIQUE BUDGETAIRE L’action de l’Etat peut se mesurer par l’importance de son budget. Celui-ci ne se réduit pas à sa seule nature de document comptable. Il constitue l’un des moyens utilisés par les gouvernements pour encadrer, à défaut de pouvoir contrôler, l’évolution de la conjoncture économique. Ainsi, la politique budgétaire d’un État n’est jamais neutre : son versant fiscal, notamment, peut être défini comme un levier de consommation (une imposition moindre permet

AU MAROC a- La situation avant l'indépendance : Le premier règlement général de comptabilité publique a été posé par le Dahir du 9 Juin 1917. Ce Dahir reprenait les principes énoncés par le Décret Français de 1862 (séparation des fonctions d'ordonnateur et de comptable, unité budgétaire, système de l’exercice, douzièmes provisoires, etc... ) en les conciliant avec les exigences des structures particulières nées du protectorat. La législation financière de l’époque

demande globale. On analysera les mécanismes cumulatifs susceptibles d’engendrer déflation et dépression éco et leurs conséquences sur le chômage de masse. Acquis de première : Inflation Chômage D globale Politique conjoncturelle : monétaire et budgétaire Terminale : Fluctuations éco Crise éco Désinflation Déflation Dépression Croissance potentielle INTRODUCTION Les crises ont changé de nature depuis le XXème siècle avec le dév du capitalisme : L'existence de crises éco est bien antérieure à la

respecter quatre critères de convergence afin de passer à la monnaie unique dans de bonnes conditions (on a parlé de « critères de Maastricht »). * Les pays devaient éviter les déficits publics excessifs, le déficit budgétaire devait rester en deçà de 3% du PIB. * Les pays devaient limiter leur dette publique à un seuil inférieur à 60% du PIB. * L’inflation ne devait pas dépasser de plus de 1,5 point les trois meilleures performances au sein de l’Union. * Les taux d’intérêt à long terme ne

intermédiaire Keynes : Base sur le plein-emploi des classique => or il n’est pas réalisé donc l’Etat doit intevenir, Etat providence Conception moderne : Science économique (Comportements humains face à la rareté => R. Barre : Besoin illimités/ressources limités), éco lié à l’histoire (irréversibilité). Deux échelles, l’individu (à quels besoin consacrer des ressources), et le collectif (Determine à qui les ressources sont donnés) Trois types de besoins : Physiologiques, superflus et illimités Trois types

98-023/PRES du 29 mai 1998, fait une analyse critique de notre système de gestion budgétaire. Il ressort de cette analyse que : • La prévision budgétaire est mécanique. Elle est pour les services une simple formalité. • Les structures administratives opérationnelles, celles qui mènent les actions à la base ne sont impliquées ni au stade de la prévision ni à celui de la gestion. • La prévision et l'exécution budgétaires ne font pas ressortir clairement le lien entre les dotations et les objectifs

ne sont pas référencés. Sommaire Résumé Introduction Chapitre 1: Des politiques macroéconomiques autonomes (1960-1981) mais débouchant sur une croissance sans développement 1.1. Structure des dépenses budgétaires : la montée des dépenses de fonctionnement (1955-73) 1.2. Cycles budgétaires : de l’activisme à la dérive 1.3. Politique monétaire : la régulation du crédit entre encadrement et désencadrement 1.4. Politique agricole : l’option hydraulique 1.5. L’Etat et le dilemme du secteur privé

La fonction de consommation et l’hypothèse du cycle de vie idée de Ando et Modigliani (1963) Revenu Consommation Jeunesse Vie active Retraite Jeunesse Vie active 0 Retraite F IG . 1.2 – Épargne et cycle de vie les limites de l’analyse : hypothèses relativement fortes  ¤  © § ¥ 0"1¤ D D D E © § ¥ "¦¤ F C C   ¤ ¢ ¢ ¢ ¢ ¢ ¡ ¡ C ¤ CHAPITRE 1. LES ACTEURS DE L’ÉCONOMIE 7 1.1.3 L’évolution de l’épargne et la consommation depuis 1970 Les phases