Ligue des patriotes

campagne contre le gouvernement des "voleurs et des assassins". A plusieurs reprises, des heurts ont lieu dans la rue entre les forces de l'ordre et les partisans des différentes ligues d'extrême-droite (Action française, Solidarité française, Jeunesse patriote). Accusé d'avoir fait traîner l'enquête dans le cadre de l'affaire Stavisky, impliqué dans une escroquerie dont plusieurs hommes politiques seraient impliqués. Le président de la République Albert Lebrun nomme le 3 février 1934 à la présidence du

politiques que les conservateurs aggravent parfois même délibérément. Dans ces circonstances, la gauche, représentée surtout par les radicaux, nouait avec les modérés une union nationale qui pratiquait une politique conservatrice. La droite se montre patriote sans complexes. Ainsi se méfie-t-elle des règlements internationaux du type de la SDN. Les conservateurs exigent une application stricte du traité de Versailles et reprochent aux Anglo-Saxons d’éprouver une trop grande sympathie pour le vaincu. Les

ennemis'".  En juin dernier, le journal britannique The Guardian avait révélé qu'un juge avait autorisé le FBI et la NSA à récupérer les données de trois mois de communications de l'étranger et des appels locaux. Et ceci, en vertu de la section 215 du Patriot Act, la loi antiterroriste votée juste après les attentats du 11 septembre 2001, LES RETOMBEES Le scandale déclenché par Edward Snowden a contraint les pouvoirs exécutif et législatif à réévaluer complètement les activités de la NSA, et cet examen

 Charles Péguy, Jean Jaurès, Marcel Proustet André Gide. Les dreyfusards se regroupent derrière la Ligue des droits de l'homme, fondée à l'issue du procès de Zola par le sénateur républicain modéré Ludovic Trarieux, autour de Clemenceau et de Jaurès. À droite, les antidreyfusards mettent en avant l'intérêt supérieur de la patrie, l'honneur de l'armée et accentuent leur campagne antisémite ; ils forment la Ligue de la patrie française, avec Maurice Barrès, Albert de Mun, François Coppée, Paul Déroulède

populaire. En 1887, perd son pouvoir car les républicains se méfient de sa popularité. Une fois en dehors du gouvernement, il est de + en + populaire. Il va mener campagne et aura le soutient de tous les mécontents de la république et de la ligue de Patriotes. A chaque élection partielle, Boulanger va se présenter- remporter - démissionner. En 1889, ils organisent de grandes manifestations à Paris et le régime Rep est proche d'être renversé. Il n'a plus qu'à faire le coup d'état mais il refuse

Les Français dans la Première Guerre Mondiale I- Une guerre consentie ? En 1914, les hommes partent à la guerre résignés, convaincus en bon patriote de défendre la patrie en danger. D’autant plus qu’ils ont été préparé depuis leur plus jeune âge à devoir un jour récupéré l’Alsace et la Lorraine perdues et défendre la patrie. Les forces politiques soutiennent l’effort de guerre, elles se retrouvent dans un gouvernement d’Union Sacrée (c’est le rassemblement de toutes les forces politiques derrière

qui, même si peu nombreux, sont très présents dans la rue. Ils ont pour but de renverser la République qu’elle surnomme «la gueuse», dans le but ultime de restaurer la monarchie. -> Plus récente, les Jeunesses patriotes fondées en 1924, se revendiquent héritières de la Ligue des patriotes. Crées par Pierre Tattinger, député de Paris, elles entretiennent des contacts étroits avec des figures politique de droite. Avec ses 90 000 membres, dont 1500 membres de «groupes mobiles» -> Solidarité française

origines régionales etc. Cependant à la lumière de l’histoire, d’un regard attentif vers notre passé, nous nous rendons alors compte que cet évènement, d’apparence sans âge, ne date que d’hier. En effet la création du 14 juillet comme acte de foi patriote en la nation républicaine a été voté et instauré le 6 juillet 1880, il y a donc seulement 121ans. A notre échelle ce chiffre paraît imposant, important, car il suffit à englober environ quatre générations, mais lorsque l’on se fie à la science de

ARMILLOTTA Gianni T°3Questions sur la caricature des années 301) Ce document est une caricature publiée dans le quotidien "Le Petit Paris" le 17 février 1935. "Le Petit Paris" est un grand quotidien français, publié entre 1876 et 1944. Il est reconnu comme l'un des principaux journaux sous l'époque de la IIIe République. Sur les pages des journaux, les bannières textuelles permettent aux lecteurs de mieux mettre le contenu satirique en contexte. Les partis politiques sont situés sur chaque ligne

tendue, le nationalisme insiste sur le péril de la sécurité nationale et celui du déclin de la France: hantise, inquiétude, angoisse et orgueil sont les principaux sentiments des nationalistes à la veille de la guerre. I. La République des patriotes : A. Les provinces perdues : L'armistice a été conclu entre Jules Favre (ministre des Affaires Étrangères) et le chancelier du nouvel Empire allemand Bismarck le 28 janvier 1871. Le 26 février, avec le traité de Versailles, la France s'engage