Ligue de la patrie française

d’ailleurs : « Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage. Ils se forment et exercent leur activité librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie. » Or, la France, patrie des Droits de l’Homme, dont la devise « Liberté, Egalité, Fraternité » trône sur le fronton de toutes les mairies, est aujourd’hui un des pays d’Europe ou l’extrême droite (parti fortement opposé à la démocratie), obtient les résultats les plus importants

5) Les conséquences de son application est que l’état ne finance plus les cultes et n’intervient plis dans les affaires religieuses. Toutes les religions existent en France. Il y a une exception, l’Alsace-Moselle, car ces régions ne sont pas françaises quand la loi fut voté. L’école est laïque depuis les lois de Jules Ferry (1881-1882). Il la rend également gratuite et obligatoire. * Liberté d’expression La liberté d’expression complète la liberté d’opinion. Elle peut être orale comme

l’école, de compagnie, de manœuvre collective, … 3 3. Un ensemble d’institution au service de la patrie : Ce qui se passe à l’école n’est pas un phénomène isolé. En effet en dehors de l’école il y a un ensemble d’organisation notamment les sociétés de gymnastique qui se regroupent autour de l’usgf (Union des Sociétés Gymniques de France), il y a aussi la ligue française de l’enseignement et la ligue des patriotes. En 1873 l’usgf compte 20 sociétés de gymnastique pour plus de 900 en 1891. 3

d’état. Boulanger est renvoyé du gouvernement et on l’envoi a Clermont Ferrand pour quil ne soit plus un problème, quand il est renvoyé ça créer des manifestations de soutien a boulanger contre son renvoi, il est soutenu par la ligue des patriotes, qui défend la patrie française. A partir de tout s’accélère. Et le général boulanger rentre une stratégie de prise de pouvoir. Il va négocier autant qu’avec les royalistes qu’avec les bonapartistes en leur faisant croire aux deux qu’ils vont arriver au pouvoir

les Versaillais et plus de 30 000 chez les communards, 36 000 arrestations, 270 condamnations à mort dont 29 effectives, 400 déportations à Nouméa en Nouvelle-Calédonie. La Commune a-t-elle été une sorte de répétition avortée de la Révolution française ou bien marque-t-elle le début des révolutions prolétariennes comme Karl Marx l’a pensé ? Elle a eu une postérité immense dans la réflexion politique des socialistes, au niveau national et international. En tout cas, l’opposition révolutionnaire

revendication : celle des minorités d’affirmer leurs appartenances religieuses (ou politiques) au sein de l’Ecole publique, véritable intrusion dans le vide idéologique laissé vacant. 2 – Les frayeurs provoquées par la réforme scolaire : exception « franco-française » en Europe Proposée sinon imposée par des courants de pensée minoritaires (la « Deuxième Gauche »), elle ne recueillait l’assentiment : - ni des professeurs du secondaire exprimée par la vive hostilité du SNES opposé à l’idée du tutorat et, à un

Schnaebele (avril 1887, du nom d'un espion français arrêté, il menace de mobi-liser si Bismarck ne le fait pas libérer; le chancelier cède, ce qui le fait apparaître comme le porte-drapeau du nationalisme et de la revanche («général Revanche»), la Ligue despatriotes de Paul Déroulède le soutient. Ses préoccupations sociales (mise en place de caisses de retraites) lui rallient les suffrages populaires et le soutien des radicaux; quant aux bonapartistes et royalistes, ils voient en lui un moyen d'enterrer

nationale, prend un contenu immédiat par le vote des crédits d’une guerre que tout le monde envisage courte. Elle se présente comme une nouvelle forme de la défense de la République et une suspension provisoire du débat politique au nom de l’intérêt de la patrie en danger. En dépit de l’attentat de Sarajevo et de la montée des tensions internationales liées à l’enracinement du conflit balkanique, l’atmosphère n’était pas à la guerre. L’ultimatum autrichien n’est lancé qu’un mois après l’assassinat, le 23

ouvrier, des morts hommes mais aussi femmes. *L'Affaire Dreyfus (1895-1899) : on distingue la petite affaire de la grande Affaire. -1895,1896,1897 : pendant ces trois ans peu de monde entend parler de Dreyfus qui était un capitaine de l'armée française, accusé d'avoir transmis des documents à l'armée allemande. Il est arrêté, dégradé, envoyé au bagne, même s'il clame son innocence. De confession juive, il est soutenu par sa bonne femme et son bon frère. Pendant trois ans, il y eut très peu d'écho

l'honneur de la patrie et de l'armée. Ils défendent le principe de l'autorité au détriment d'un homme. Pour les dreyfusards, l'honneur de la révolution française, de la DDHC, aucun homme ne doit être victime de l'arbitraire de l'état. Aucune raison d'état ne doit justifier que les droits humains soient bafoués. C'est à ce moment là qu'en créer la Ligue des Droits de l'Homme. C'est le conflit entre l'universalité des valeurs de la R°F contre la mise en valeur de la patrie française dans un contexte