Ligue de Corinthe

Alexandre. Cette victoire a été très importante, car d’abord elle marque la fin définitive de la politique de résistance à la Macédoine, soutenu dès 354 pour l’orateur athénien Démosthène. Philippe, après cette victoire finale, met en place une ligue Corinthe, qu’il même préside, où il assigne pour objetif commun de conquérir l’Asie Mineure sur la Perse. Derrière tout ce discours, les villes grecques ont perdu son autonomie et sont obligées à se soumettre en premier lieu au pouvoir macédonien, après

permet d’empaler en étant plus loin. Philippe II fait de son armée un outil de guerre très efficace, ce qui fait qu'à sa mort il aura réussit à vaincre de nombreuses cités grecques. Il a placé sous son autorité les autres grecque sous une ligue (338) : ligue de Corinthe où étaient invités tous les vaincus pour faire cause commune avec lui sous son autorité dans le but de s'unir contre le véritable ennemi : les Perses. Une façon aussi de la part de Philippe de justifier son autorité sur les autres grecs

de la Toscane actuelle au nord de Rome, les 3 derniers rois de Rome auraient été étrusques. A partir de là, l’histoire de Rome est la prise de contrôle de l’Italie. -493, Rome fait le traité de Cassium et créé la ligue latine ou Rome domine. En 338, les romains dissolvent cette ligue car ils ont conquis toute la côte Ouest de l’Italie. Les populations des montagnes sont vaincues en 295 par la bataille de Sentinum. Il reste le sud mais à cette époque c’est la « Grande Grèce » ou les Grecques (colonies)

300 spartiates. La défaite inéluctable a lieu. Parallèlement, la flotte grecque se confronte à la flotte perse au cap d’Artémision. Elle est vaincue de peu et se replie au Sud. Dès lors, la seconde ligne de défense se fait au niveau de l’isthme de Corinthe, laissant la Béotie et l’Attique sans défense. Thémistocle convainc alors les Athéniens à abandonner l’acropole et Athènes grâce à la ruse et la complicité des prêtres d’Athéna : Le serpent d’Erechteus, à qui l’on donnait des offrandes, refuse

rapports entre Lacédémoniens et Messéniens ne parviennent pas à se stabiliser. Une révolte éclate 38 ans après la prise de l’Ithôme selon Pausanias, qui emploie le terme d’apostasis (sécession) par lequel on désigne couramment le refus d’un membre d’une ligue de continuer à verser sa contribution. Le conflit a pu démarrer par le refus de verser la quotepart des récoltes. Là encore nous disposons d’un récit mythique postérieur au 3ème siècle qui n’explique cependant pas les causes de cette nouvelle guerre

Avant de commencer nous allons rappeler le contexte géopolitique a l’avènement d‘Alexandre le grand, il va arriver a la fin de l’époque classique, a la fin de l’âge d’or de la Grèce, qui arrive après les guerre médique, il arrive plus de 100 ans après la guerre du Péloponnèse Né à Pella (capitale de la macédoine) le 20 ou 21 juillet 356Fils du roi de Macédoine Phillipe II et d’Olympias, princesse d’Épire, (3ème épouse).Alexandre raconte qu’il serait fils des dieuxIl est descendent d’Héraclès et

d’un pouvoir acquis de manière illégitime : un esclave qui prenait le pouvoir, un dictateur arrivé au pouvoir après un coup d’État, ou l’un de ses héritiers. Le titre a été donné pour la première fois, semble-t-il, à Phidon d’Argos et à Cypsélos de Corinthe. L’un des plus célèbres tyrans fut Pisistrate, bien qu'on ne l'ait jamais nommé jamais ainsi de son vivant, à Athènes en 560 av. J.-C. Durant le VIe siècle av. J.-C., de nombreux tyrans ont pris le pouvoir un peu partout en Grèce, en renversant les

athénien durant l'âge d'or de la cité, plus précisément entre les guerres médiques et la guerre du Péloponnèse. Il est le fils de l'homme politique Xanthippe et d’Agaristè, laquelle appartient à la puissante famille des Alcméonides. Périclès fait de la Ligue de Délos un empire athénien et mène ses compatriotes au cours des deux premières années de la guerre du Péloponnèse. Il a eu une influence si profonde sur la société athénienne que Thucydide, un historien contemporain, le qualifie de « premier citoyen

Orientalisante ( 700 – 600 BC) Deux phénomènes importants : la colonisation et les échanges intensifs avec le monde oriental. 1. La colonisation en deux phases a) 1ère phase : 770 – 675 BC Les cités-mères sont : Chalcis – Etrérie – Mégare – Corinthe. Les aires de colonisation sont : la Grande Grèce, la Sicile, la Chalcidique et la Thrace. L’ouverture des fronts vers l’ouest donne une société dynamique et une diffusion de la population vers l’est et l’ouest. Les colonies permettent l’augmentation

princesse Olympias d’Epire en -357. Leur premier enfant est Alexandre III, en -356 et une fille Cléopatre en -335. Une fois qu’il juge la surveillance suffisante, il se lance vers la Thessalie, confédération grecque dans la ligue thessalienne. Il prend la direction de la ligue et fait de la Thessalie un état satellite de la Macédoine. La Thessalie est constituée de vastes plaines avec bcp de chevaux pour l’armée. De plus, ce vaste territoire lui permet un passage rapide vers les grandes citées de