Liberté de religion

Démocratie et religion Les récentes contestations exprimées par la population et l’armée turques face à la possible accession à la présidence de la République de Turquie de l’islamiste modéré Abdullah Gül, ont illustré la vivacité des tensions existant entre religion, d’une part, et régime démocratique, de l’autre. La légitimité religieuse qui pendant des siècles avait fondé et légitimé le pouvoir du souverain dans les pays d’Europe, dans des modèles de monarchie absolue de droit divin ou

principe essentiel de notre république. C’est même une exception française car on ne retrouve ce terme ds aucune convention internationale ® Sur le plan européen, les situations sont totalement diférrentes : Irlande (religion catholique) et la Grèce : dans ces pays la religion est élément fondateur de la lutte contre l’ennemi extérieur : les anglais, les turcs. R-U : la reine est le chef de l’Eglise anglicane. Allemagne : impôt prélevé ds chacun des lands au profit des églises protestantes

Introduction: Dans ce texte l'auteur étudie le problème suivant : l'individu doit-il être laissé libre d'interpréter la religion? Ou bien revient-il à l'Etat d'en définir le contenu par la loi? Une religion est un ensemble de croyances et de rites qui unit un groupe d'homme dans une foi commune. Le noyau de la foi religieuse est qu'il existe un être suprême auteur de ce qui est. En ce qui concerne les monothéismes, la foi religieuse se fonde sur un texte -la Bible, le Coran- considéré comme sacré

 Sectes et libertés Introduction Dans l'imaginaire collectif, sectes et libertés ne font pas bon ménage. On se les représente souvent comme des groupes d'illuminés fanatiques menés par un gourou dont le seul but est de gagner de l'argent en endoctrinant des personnes faibles et influençables. Tant et si bien que selon un sondage TNS-SOFRES de 2004, 94,2% des Français déclarent avoir peur des sectes, et 87,5% souhaiteraient les voir interdire. Le mot

|Prosélytisme et liberté religieuse dans le droit privé » |[pic][pic][p| | |ic] | |Sommaire | | |Table des sigles 5

TD3   : DISSERTATION «   DROIT ET RELIGION   » De manière générale et presque rudimentaire, le Droit pourrait se définir comme l'ensemble des règles qui régissent les rapports sociaux. Ainsi, grâce à la mise en œuvre de règles de droit, un équilibre se forme afin de garantir l’intérêt général. Les règles de droit objectives ou positives se caractérisent comme l'ensemble des règles juridiques qui régissent les hommes dans la vie en société, et dont la violation est sanctionnée

prisons ? Depuis des millénaires les diverses religions ont su apporter des réponses aux grandes questions de l’homme, ces réponses divergent selon les croyances et souvent ces religions imposent certaines choses que d’autres tolèrent voire même obligent, alors nous pouvons nous demander si dans un sens somme nous prisonniers de nos croyances ? Pour y répondre nous nous demanderons dans un premier temps si la croyance est une entrave à la liberté de telle manière à ce que les croyances religieuses

On observe que les religions servent souvent de socle d’identité culturelle, mais que dans les sociétés marquées par l’essor des sciences physicomathématiques et de la technologie qui l’accompagne, l’autorité religieuse décline et fait l’objet de débats, de contestations, comme en témoigne par exemple la montée du scepticisme en Europe au 18e siècle, ou bien d’indifférence. On s’interrogera alors sur les conditions, le sens et la portée du jugement critique, dont la religion fait l’objet. Peut-on

l'exercice des religions: elle implique que l'État ne saurait exercer un pouvoir religieux et que les communautés religieuse n'ont pas le droit d'exercer un pouvoir politique. C'est bien la Loi qui garantit la laïcité: d'une part les lois qui ne sauraient être des lois sans être pour tous et par tous, d'autre part la Loi fondamentale où constitution qui s'impose à tous une fois qu'elle a été soumise au vote de tous et que une majorité l'a choisie. = La laïcité suppose que la liberté soit reconnue

l’exercice des libertés, des limites indispensables pour vivre ensemble Exercice 1 : la liberté de conscience et la laïcité Document 1 : extraits de textes de référence Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen (1789) : Art. 10 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi. » Déclaration universelle des droits de l'homme (1948) : Art. 18. : « Toute personne a droit à la liberté de pensée