Leçons Pronoms Personnels

réponses | Œdipe est un motif de combat auquel d’identifie Antigone. Créon la méprise à travers lui mais c’est un échec car Antigone est fière. | «comme ton père» L.17«nous sommes de ceux» (x2) L.18 et 20 | -Comparaison qui vise à blesser Antigone-Pronom personnel «Nous»= famille de héros | II] La révolte d’Antigone Idées | Citations | Procédés | Antigone choisit le physique comme angle d’attaque pour se moquer de Créon. | «vos rides, votre sagesse, votre ventre » L.3«cette graisse autour de toi»

Les Pronoms définis i. Les Pronoms Personnels * Je, tu, nous, vous et on Je désigne directement la personne qui le dit. Elle correspond au locuteur. Tu est utilisé par le locuteur pour identifier son interlocuteur. C’est l’interlocuteur. Nous renvoie à tout ensemble de personnes comprenant le locuteur. Vous désigne un ensemble de personnes comprenant au moins un tu mais excluant je. Nous et vous peuvent être identifiées anaphoriquement (moi + lui) ou déictiquement (moi + toi1 +

une succession de pronom personnel ; au début elle utilisait le vouvoiement envers Ruy Blas (cf. vers 22 : « que voulez vous ? »), après qu'il est bu le poison, elle utilise le pronom personnel « il » (cf. vers 30 : « que fait-il ? ») qui crée une double énonciation, après quelques paroles de rb, la reine le vouvoie encore le temps d'une phrase (cf. vers 38 : « qu'avez vous fait ? ») et elle fini par le tutoyé (cf. vers 38 : « dis moi ! Répond moi ! Parle moi »), l'anaphore du pronom « moi » accentue

propos. On note de ce fait, la présence de la première personne du singulier « je » (l.1), « j’ » (l.4) ou encore le pronom personnel « m’» (l.1). Il nous rapporte ici ses propres observations qu’il a lui-même « quelques fois (…) considérées » et qu’il défend ici. Dans le premier et le deuxième paragraphe (l.6-14) il s’inclue dans la condition humaine en employant des pronoms personnels tels que « on » (l.8) ou encore l’adjectif possessif « notre » (l.13), qui permettent ainsi une généralisation des

rampa »). Il y a la présence d’un champ lexical de l'animalité (« en poil de bête », « fangeux », « forcené », « s'attela », « haletant ». Il y a la négation des personnages en tant qu'êtres humains individualisés (utilisation des pronoms personnels et pronoms indéfinis pour désigner ceux qui interviennent après l'accident). Seul le vieux mendiant a quelques consistances mais il est un personnage très secondaire. Si les êtres humains sont absents, c'est la hutte qui occupe finalement le centre

L’accord du participe passé Règles générales 1 - Le participe passé sans auxiliaire (à valeur d'adjectif) s'accorde en genre et en nombre avec le nom ou le pronom auquel il se rapporte : Des fleurs séchées. Des maisons ouvertes. 2 - Le participe passé conjugué avec AVOIR reste invariable s’il n’a pas de complément d'objet direct (COD), ou si ce dernier est placé après le participe. Vous avez bien travaillé. (pas de COD) Nous avons pensé à toi toute la journée. (COI, mais pas de

une scène violente Tout le passage est une succession de violences faites à l’encontre de l’héroïne. La première étape de cette narration (jusqu’à la ligne 11), est l’interrogatoire draconien[4] de Suzanne. L’utilisation du pronom personnel « nous », dans la phrase prononcée par l’une des religieuses, « elle aura écrit (…) contre nous (…) » (l. 3), suggère une opposition nombreuse à l’isolement de la victime. Les religieuses s’adressent à elle en lui donnant des ordres, par des

d’elle. * « Je ne calculais pas la curiosité d’une femme, aussi me trompais-je. » Il a tous les pouvoirs sur ses faiblesses. B - Une véritable défiance envers Dieu. * « Je voulais », « je suis », utilisation répétitive du pronom personnel, sa personne se place en prmeier. * « cette reflexion l’a sauvée » il a un pouvoir de vie et de mort sur cet espion. * « prosterner(…) chœurs de bénédictions » un culte de la personnalité se met en place * « Tombons à genoux auprès

le narrateur crée aussi un effet de suspense dans son récit en ne donnant pas tout de suite le nom de madame Baptiste : il présente d'abord le personnage à travers un groupe nominal assez vague, « une femme » pour la désigner ensuite avec le pronom personnel de la troisième personne du singulier « elle ». Ce n'est qu'à la moitié du passage que son nom est cité par le biais du discours direct d'une personne de la foule non déterminée : « Ohé, madame Baptiste ! ».Cependant, si le passage étudié correspond

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