Lexique De La Souffrance

certains. Les procédés -Le lexique de la fatalité, du destin, du désespoir. - Le lexique de la douleur, de la mort du néant. -les figures d’insistance sur la gravité et les caractères terribles de la situation et d’impuissance. -Les exclamations, les interjections et les interpellations. -Les termes évoquant l’idée d’accablement et d’impuissance. Le registre pathétique suscite des sentiments de pitié et de compassion devant les malheurs du personnage : La souffrance, la tristesse, la misère,

l’expérience humaine. - Effet recherché : susciter l'admiration du lecteur face à la relation d'exploits sublimes et surhumains, provoquer l’enthousiasme et sans sentiment d’appartenance à une collectivité. - Vocabulaire : le vocabulaire sera emprunté au lexique guerrier. L'exaltation des vertus héroïques s'inscrira aussi dans le vocabulaire mélioratif des qualités morales (sacrifice, énergie, hauteur stoïque). Parce qu'il est confronté à des obstacles surhumains ou des déchaînements cosmiques,  le héros

violence de l'ordre naturel, la violence de l'ordre collectif et la violence de l'ordre individuel. Pour faciliter notre démarche, nous userons de l'analyse qui comprendra le narrateur, l'espace, le temps. Et la microstructure où il sera question du lexique de la syntaxe et des figures de style. Enfin, nous désirons attirer l'attention sur le fait que nous cherchons dans cette approche, comment l'imaginaire Gionien utilise la violence qui est proprement réelle? Et dans quelle but? Première

je ne pouvais parler ». Le lexique de la maladie, dont les noms formant le chiasme « D'un incurable amour remèdes impuissants » au vers15 traduit cette possession, qui s'accompagne de réactions contradictoires montrées par l'emploi d'antithèses « je rougis, je pâlis », « et transir et brûler ». Aux troubles du corps s'ajoutent ceux de l'âme et de la raison, manifestés par la confusion, qui mêle des attitudes opposées : « j'implorais », « j'adorais » et par le lexique de la folie comme nous le montre

fatalité qui frappent le héros affrontant son destin (destin inéluctable qui voue à la souffrance et à la mort). Procédés : champs lexical de la mort et de la fatalité et de la solitude, langage soutenu, interrogation, antithèse, recours à la 3ème personne pour marquer la dépossession de soi… III . Le registre didactique Il définit le discours du maître qui veut instruire. Procédés :lexiques spécialisés, tournures de l’ordre, composition logique… IV. Le registre réaliste

promet sa fidélité avec l’emploi des négations « jamais » et « ne ». Enfin, le poète prédit à Marie un avenir heureux avec l’emploi du futur « nous prendrons ». Le thème de l’amour et le registre lyrique sont omniprésents dans ce poème. On note le lexique amoureux « amour », « aimer », « cœur », « plaisirs » « Venus ». On remarque aussi différentes figures de style qui renseigne sur l’émoi amoureux du poète. Ainsi, on relève une allégorie « rien n’est doux sans venus et son fils », une hyperbole «

d'un vocabulaire et d'une syntaxe (lexique précieux appliqué à une situation triviale). Le registre comique naît souvent aussi de reprises parodiques (pastiche et parodie littéraires, clichés détournés). Exemple : le registre comique dans le roman : Raymond Queneau, Zazie dans le métro, XIV,1959. Différents types de comique : vient d'une situation de décalage. - exagération, la démesure. - Décalage entre un personnage et les autres. - Décalage entre la souffrance d'un personnage et l'aspect spectateur

spectateur par des situations ou des discours marqués par la souffrance ou l'affliction. Procédés : Le lexique de l'émotion (terreur, douleur, pitié), les rythmes brisés, les interjections... Le registre tragique traduit le sentiment de l'homme qui prend conscience de forces (divines, politiques, morales) qui le dominent. C'est la conscience du condamné qui ne peut échapper à son destin : l'issue est fatale. Procédés : Le lexique de la fatalité, du désespoir, l'évocation d'un temps limité..

voix n’accusait pas la moindre émotion »=phrase négative/ antithèse entre « séducteur » et « pas la moindre émotion »-champ lex du détachement l.1-4 « sang-froid, pas la moindre émotion, nobles, décents, froideur, sécheresse diplomatique »-l.3-4 lexique de la posture « sa figure, son maintien »-polysyndète « et ». Phrase qui a une structure double : « sa figure et son maintien »/ « toujours nobles et décents »/ « une froideur, une sécheresse » (NC +Adj)-l.4-5 « Elle avait ……de cette scène » : « sans

Nemours est souligné par le lexique de la mort, de la souffrance « accablé de douleur »l.31, de l’échec « perdre toutes espérance » l.32 qui sont aussi des hyperboles. On a aussi la présence de gradation et superlatif : « la + violente , la + naturelle qui ait jamais été » l.34-35 + rythme ternaire . L’hyperbole « tout » est soulignée par un sentiment profond-intense / spontané/ légitime on a donc une histoire extraordinaire Le combat de M de Nemours est souligné par le lexique de l’espoir l35/36, par