Leurs Yeux Toujours Purs

dans Vos Poèmes (http://www.mes-poemes.com/dame-nature/) (http://www.mes-poemes.com/category/vos-poemes/) - Permalien Dame Nature Je t’en conjure, Ne me fais pas devenir grand Je veux rester petit enfant. Dame Nature Je te l’assure, Je veux toujours gambader Jouer et rire en liberté. Dame Nature, Tu es bien dure, Pourquoi m’obliger à grandir Je ne veux pas vieillir. Dame Nature, Je veux rester pure, Garder la grâce de l’enfance 1 sur 7 30/07/2012 11:13 Les poèmes de la littérature

lorsque la main sur les yeux je médite, Elle m’apparaît, svelte et la tête petite, Avec ses blonds cheveux coupés courts sur le front. Trouverai-je jamais des mots qui la peindront, La chère vision que malgré moi j’ai fuie ? Qu’est auprès de son teint la rose après la pluie ? Peut-on comparer même au chant du bengali Son exotique accent, si clair et si joli ? Est-il une grenade entr’ouverte qui rende L’incarnat de sa bouche adorablement grande ? Oui, les astres sont purs, mais aucun, dans les

verrons qu’est ce que le bonheur pour chacun d’entre nous. Puis, nous répondrons à cette question du bonheur qui relève ou pas du collectif. .L'homme doit s'efforcer d'accroître son bien être, l'homme a toujours voulu améliorer son bien être. Il cherche l’état de satisfaction complète. L'état de satisfaction complète, dans lequel rien

ivre qu'on ne peut point ouvrirIl y a ces manies qui nous émerveillentQui nous donnent silencieusement se petit sourire.Il est de cet amour que l'on pris chaque nuitEt que l'on cesse un jour parce qu'il est dans notre litIl y a ce plaisir depuis toujours de s'y offrirLe laissant tranquillement nous découvrir Il s'isolait souvent, à l'ombre des regardsPour oublier la peine et la tristesse amèresSeulement déverser des larmes éphémèresQui pourraient s'envoler pendant de tristes soirs.Son coeur ét

thème de l’amour. Ce sentiment d’attachement et d’affection qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité avec l’objet de cet amour et à adopter un comportement particulier en conséquence. L’amour un sentiment très important depuis toujours, du Moyen-âge à nos jours, mais ça peut-être aussi une valeur ou une pulsion qui peut rendre heureux ou triste. C’est une notion très complexe, tout le monde cherche à comprendre, à ressentir et à trouver ce qu’est le véritable amour. Ce sentiment

PEINTES DE FAÇON THEATRAL Le romancier des Liaisons dangereuses a souvent recours à des procédés de mise en scène. Les personnages de Laclos aiment beaucoup à parler et à agir d'une façon théâtrale. Ce sont de purs spectacles dont les acteurs et les metteurs en scène sont presque toujours Valmont et Mme de Merteuil: "Le vicomte et la marquise sont les régisseurs de leur propre comédie jouée par des marionnettes dont ils tirent, ou croient seulement tirer les fils. Mme de Merteuil excelle à rédiger

de tes yeux La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille

votre âme et réfléchit les cieux ! Charles BAUDELAIRE Les Fleurs du Mal - « L’homme et la mer » (1857) Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton cœur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous

sou en deuxIls saluaient les cadavresIls s'accablaient de politesses VII Ils persévèrent ils exagèrent ils ne sont pas de notre monde VIII Les femmes les enfants ont le même trésorDe feuilles vertes de printemps et de lait purEt de duréeDans leurs yeux purs IX Les femmes les enfants ont le même trésorDans les yeuxLes hommes le défendent comme ils peuvent X Les femmes les enfants ont les mêmes roses rougesDans les yeuxChacun montre son sang XI La peur et le courage de vivre et de mourirLa mort si difficile

demande désormais A la création immense Qu'un peu de silence et de paix ! Pourquoi m'appelez-vous encore ? J'ai fait ma tâche et mon devoir. Qui travaillait avant l'aurore, Peut s'en aller avant le soir. A vingt ans, deuil et solitude ! Mes yeux, baissés vers le gazon, Perdirent la douce habitude De voir ma mère à la maison. Elle nous quitta pour la tombe ; Et vous savez bien qu'aujourd'hui Je cherche, en cette nuit qui tombe, Un autre ange qui s'est enfui ! Vous savez que je désespère