Les Yeux rouges

regard d’une société ? Parallèlement à ce travail, Liu Bolin continue de sculpter. Art de la dissimulation encore, mais cette fois avec des statues d'hommes alignés, sans têtes, leurs mains rouges à hauteur des yeux, ou des petits hommes monochromes et maigrelets, à la tête disproportionnée et au visage sans yeux (série « Red Hand »). « L'homme avance à l'aveugle dans le monde, il ne voit pas clair. Il se cache à lui-même certaines choses, on lui en cache aussi. » commente-t-il. Liu Bolin explore encore

somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Octobre 1870 LE BATEAU IVRE Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais

joujoux, Bonbons habillés d'or, étincelants bijoux, Tourbillonner, danser une danse sonore, Puis fuir sous les rideaux, puis reparaître encore ! On s'éveillait matin, on se levait joyeux, La lèvre affriandée, en se frottant les yeux… On allait, les cheveux emmêlés sur la tête, Les yeux tout rayonnants, comme aux grands jours de fête, Et les petits pieds nus effleurant le plancher, Aux portes des parents tout doucement toucher… On entrait !… Puis alors les souhaits… en chemise, Les baisers répétés, et la

LE Bateau ivre Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus

il est donc roi en vertu de la souveraineté monarchique de droit divin. Cette double légitimité aurait dû lui valoir le soutient des libéraux et des conservateurs mais elle est plus un inconvénient qu’un avantage : aux yeux des monarchistes, Louis-Philippe est un faux roi ; aux yeux des républicains, il est une fausse incarnation de la souveraineté nationale. b. Les changements dans les institutions La plus important changement concerne le système électoral qui est très restrictif sous la restauration

connote la vie - Le dormeur a les yeux fermés alors qu'il se trouve dans un cadre idyllique - opposition entre le cadre coloré "verdure", "bleu", "glaïeuls" et la pâleur du soldat "pâle dans son lit vert" - vers 12 où l'on rencontre une allitération en [f] qui fait penser à un soupir douloureux, une expiration - rejet : « tranquille » qui crée un arrêt préparant au dernier vers - dernière phrase explicitant par une périphrase et un euphémisme : deux trous rouges = blessure mortelle. - le "dormeur"

actuellement exposée à la galerie Gemäldegalderie Neue Meister à Dresde. Pourquoi ce choix ? J'ai choisi cette œuvre qui est connue parce qu'elle est très détaillée et inintéressante. Elle montre l'horreur de la première guerre mondiale à travers les yeux de son peintre, qui était un soldat allemand. Otto Dix : Otto Dix est allemand, il est né en 1891 à Untermhaus. Il tient son inspiration artistique de sa mère qui était anciennement poète. Il fut l'apprenti du peintre Carl Senff qui lui apprit à

vie, une vie étrange. Cette jeune femme sans emploie, habite au dernier étage d'un immeuble un tantinet lugubre. Victime d'halluicnation mais par ailleurs pleine d'imagination ; elle est considérée comme démante. Ayant perdue père et mère devant ses yeux lors d'un incendie, elle est prise jours et nuit par la folie. Depuis ce jours, elle s'est mise au déssin ; effectivement, à travers ceux-ci elle se devoile, raconte un histoire, mais se découvre également. Les conditions dans lesquelles elle déssine

mains, leurs doigts, leur corps entier fumait de hâte, Leur gorge remuait dans les corsages pleins. Leurs deux doigts monstrueux pataugeaient dans la pâte Et la moulaient en ronds comme la chair des seins. Le bois brûlé se fendillait en braises rouges Et deux par deux, du bout d’une planche, les gouges Dans le ventre des fours engouffraient les pains mous. Et les flammes, par les gueules s’ouvrant passage, Comme une meute énorme et chaude de chiens roux, Sautaient en rugissant leur mordre

animaux comme la viande et les œufs, et les fabricants peuvent la produire par synthèse de fermentation bactérienne. Elle est nécessaire au développement, à la myélinisation et au fonctionnement du système nerveux central, à la formation de globules rouges sains et à la synthèse de l'ADN. Elle est liée aux protéines des aliments et doit être libérée avant d'être absorbée. Le processus commence dans la bouche lorsque les aliments sont mélangés à la salive. La vitamine B12 libérée se lie alors à l'haptocorrine