Les Ténèbres Baudelaire

lui offrir que ce soit une fleur qui pourrait exprimer la douceur de la femme dans Mignone allons voir si les roses de Ronsard ou un animal qui pourrait évoquer la sensualité de la femme comme dans « Le Serpent qui Danse », Les Fleurs du Mal de Baudelaire. Du XVIème au XXème, du classicisme au surréalisme, les poètes ont su voir la femme à travers ce thème vaste et complexe. A travers le corpus de poèmes que je vais vous présenter je me suis poser la question comment l’auteur entrevoit la figure

Lettres Modernes Par Sylvain RICHARD Cette oeuvre est mise à disposition du public sous un Contrat Creatives Commons (by-nc-nd)Haut du formulaire Bas du formulaire Commentaire composé de Le vieux saltimbanque de Charles Baudelaire Déjà, dans Les Fleurs du Mal, Baudelaire livrait une poésie mêlant le blasphème, l’érotisme et le repoussant. Ainsi, les « Tableaux parisiens » montraient le quotidien abject de la Grande Ville.   Le poète, dès 1857, décide de pousser plus loin, se lance dans une

1870.) Les écrivains sont mieux reconnus. De ces nombreux changements sociaux découle ce qu’on appelle le « mal du siècle ». Appelé « la maladie abominable » par Chateaubriand, « le vague des passions » par Balzac, désigné comme « spleen » par Baudelaire, le « mal du siècle » reflète une jeunesse qui s’ennuie, désœuvrée, désireuse de vivre de ses rêves et ses passions et se trouvant bloquée dans une société bancale et en plein changement. Les « malades du siècle » décrive le monde comme mauvais

ANALYSE POETIQUE LES FLEURS DU MAL BAUDELAIRE Léa Wolfelsperger 1ère ES Introduction J'ai choisie 5 poème de la partit Splenn Et Idéal, du recueil de poème les fleurs du mal de Charles Baudelaire. J'ai tout d'abord choisi le poème « La chevelure » car je le connaissais déjà, je l'avait appris en 3ème. Les quatre autres poème « le beau navire », « la beauté » « la muse malade » et « le serpent qui danse » je les ai choisis pour leurs le contenue du texte qui me plaisait beaucoup.

Maynard dans « Sonnet » où il nous fait savoir qu’il est prêt à partir, et Rimbaud dans « Le Dormeur du Val » où il amène l’idée que la mort peut être paisible et qu’elle est comme un retour à la nature. La même idée est évoquée dans le poème de Baudelaire « Le goût du néant » où en articulant le passé et le présent, le poète annonce à son âme sa nécessaire chute dans le néant. En effet, il y a un moment où nous sommes vieux, nous avons assez vécu, il nous faut alors nous endormir de ce sommeil éternel

mort à Paris le 26 janvier 1855. Le 26 janvier 1855, on le retrouva pendu aux barreaux d'une grille qui fermait un égout de la rue de la Vieille-Lanterne, pour « délier son âme dans la rue la plus noire qu’il pût trouver »19, selon la formule de Baudelaire. Ses amis émirent l'hypothèse d'un assassinat perpétré par des rôdeurs, au cours d'une de ses promenades habituelles dans des lieux mal famés, mais il s'est certainement suicidé. Toutefois le doute subsiste car il fut retrouvé avec son chapeau sur

aussitôt parvenu à son sommet. Dans la littérature, le sort de Sisyphe fut maintes fois repris et interprété. Sisyphe dans la littérature : Chez Baudelaire, Sisyphe est supérieur au poète, qui ne peut, lui, recommencer à jamais et toujours sans faillir, son œuvre. Dans son sonnet « Le Guignon », dans « Spleen et idéal » des Fleurs du Mal, Baudelaire le présente comme un être héroïque : XI Le Guignon Pour soulever un poids si lourd, Sisyphe, il faudrait ton courage ! Bien qu’on ait

réduit sablonneux, le grillon, Les regardant passer, redouble sa chanson; Cybèle, qui les aime, augmente ses verdures, Fait couler le rocher et fleurir le désert Devant ces voyageurs, pour lesquels est ouvert L'empire familier des ténèbres futures. Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal (1857) Le voyage des amoureux Voyage du silence Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil Remuent les lèvres Et laissent l’ombre à quatre feuilles

raisins d’or. Que le pain bien coupé remplisse les corbeilles, Et puis ferme la porte et chasse les abeilles... Dehors le soleil brûle, et la muraille cuit. Rapprochons les volets, faisons presque la nuit, Afin qu’ainsi la salle, aux ténèbres plongée, S’embaume toute aux fruits dont la table est chargée. Maintenant, va puiser l’eau fraîche dans la cour ; Et veille que surtout la cruche, à ton retour, Garde longtemps, glacée et lentement fondue, Une vapeur légère à ses flancs

Ce poème de Victor Hugo m’a tout de suite frappé par l’image autant misérable que fraternelle que présente ce poème. L’image du manteau en lambeaux comparé à un ciel étoilé est également une des images qui émerveille l’imagination. Charles Baudelaire : Les Fleurs du Mal : La Chevelure Ô toison, moutonnant jusque sur l'encolure ! Ô boucles ! Ô parfum chargé de nonchaloir ! Extase ! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans