Les Trente Glorieuses Causes Et Conséquences

I. Le monde d’aujourd’hui est-il réellement sans frontière ? II. Les persistences réelles et imaginaires des frontières dans notre société. I. La mondialisation a-t-elle supprimé les frontières ? 1) La mondialisation et ses conséquences : a. De l’économie du monde à la mondialisation. Le mot mondialisation est un faux-ami. La mondialisation est un phénomène particulièrement ancien. On pourrait tr ès bien, à l’instar de F. Brandel faire remonter la mondialisation à la

de l’innovation en général. 1) L’imbrication de plus en plus indissociable de la science et de la technique. La plupart des percées techniques ont été permises par l’application de plus en plus rapide des découvertes scientifiques. D’où conséquence principale de cette jonction de plus en plus imbriquée entre recherche fondamentale et recherche appliquée a été l’intégration et l’institutionnalisation de l’innovation. 2) L’innovation intégrée et institutionnalisée. a) Le primat de l’innovation

événements extrêmes causés par le climat. Et les catastrophes naturelles sont les catastrophes climatiques avec en plus les tremblements de terre ainsi que les éruptions volcaniques. Les coûts de ces catastrophes vont aller croissant à cause du réchauffement climatique d’une part ainsi que du développement économique et démographique d’autre part car il y aura plus de catastrophes sur une population plus grande et plus riche. Cette tendance, présente depuis les trente glorieuses avec l’industrialisation

du 20ème siècle. En contrepartie, la part de l'agriculture dans le PIB tend à diminuer peu à peu. A partir des années 1970/1980, c'est le secteur tertiaire qui dépasse l'industrie et qui devient le principal moteur de la croissance économique. Les causes qui provoquent la croissance économique sont multiples et complexes : -Plus la demande est forte, plus la croissance économique est importante. En effet, la croissance démographique crée de nouveaux besoins économiques, notamment dans le

UNIVERSITE HASSAN 1 ER : FACULTE POLYDISCIPLINAIRE DE KHOURIBGA Mr. M.CHOURAICHI   I-INTRODUCTION II-LES CAUSES DE LA CRISE III-INTERPRETATION THEORIQUE DE LA CRISE IV-LES EFFTES DE LA CRISE V-LES SOLUTIONS PROPOSEES VI-CONCLUSION Depuis l’été 2007, le système financier international traverse une des plus graves crises depuis 1929. Le premier signal en est lancé le 17 juillet par un établissement financier américain, Bear Stearns, qui annonce alors la forte

de la fin du XXe siècle comme le résultat d’un ensemble de rigidités, sociales et publiques, qui étouffent l’économie et bloquent sa réactivité. Les keynésiens considèrent ces rigidités comme des données de fait, l’économie n’étant pas dotée en conséquence de « forces de rappel » et de « stabilisateurs automatiques », mais évoluant au contraire d’un déséquilibre à l’autre, à travers des processus cumulatifs. Les crises sont inhérentes au système et peuvent être durables. II. Les déséquilibres de

sur la longue durée, presque hégémonique jusque dans les années 1970. au cours du XIXe siècle et dans la première moitié du XXe, les ouvriers cherchent à défendre le niveau de leur rémunération, contre les baisses et les retenues. Pendant les Trente glorieuses, la majorité des revendications se rapportent au salaire, avec un comportement plus offensif et la volonté d’obtenir des garanties plus solides. A partir des années 1970, la demande classique d’une augmentation est devenue moins fréquente comparativement

inflation qui s’échappe à tout contrôle, et qui entraîne une récession économique. A2 : Les causes de l’inflation Comme les Banques centrales sont exclusivement autorisés pour émission de l’argent, il semble qu’elles mêmes soient les responsables de l’inflation. Et bien, c’est vrai, et c’est pour cela que le nombre des banques centrales qui surveillent la stabilité des prix, est augmenté. Les causes les plus souvent citées sont groupées en deux sélections majeures : 1. L’inflation par

comme une autre. Théorie quantitative : M.V=P.Q M : masse monétaire V : vitesse de circulation de la monnaie P : prix Q : quantités échangées Une équation est une tautologie. On passe à une théorie lorsque l’on introduit une relation de causes à effets. Si la masse monétaire augmente plus vite que les quantités échangées alors il ya de l’inflation. Keynes essaie d’énoncer une théorie générale ILMS : recherche Théorie sur le taux de change Théorie sur les encaisses et participations

mondialisation financière. La crise de 1929 a occasionné une nouvelle rupture, encore plus profonde que la première Grande Dépression, qui a été marquée par des enchaînements déflationnistes brutaux, avec un effondrement généralisé de la production aux conséquences sociales dramatiques dans la quasi-totalité du monde industrialisé [2]. Quant à la crise qui a débuté en 2007, elle a entraîné une chute brutale de la production à partir de 2009, avec des effets durables sur l’économie mondiale. Ces trois