Les Tragiques Livre 6

formelle : George Dandin est une comédie-ballet, encadrée d'une pastorale, structurée en 3 actes et 4 intermèdes musicaux. Cette pièce a été réalisée pour le « Le Grand Divertissement Royal de Versailles ». Elle est écrite en prose, et composée de 6-8 scènes dans chaque acte. Structure : Acte I, scène 1 : Elle représente l'exposition. La première scène est un monologue, elle présente le personnage éponyme, ainsi que le thème principal de la pièce ; son mariage malheureux avec une jeune

consommer du "hascich". Pendant cette période il ne fais qu'écrire. En 1889, pour oublier l'événement tragique de la mort de son frère (dans un hopital psychiatrique), Guy de Maupassant fais une croisière en Méditerranée sur un yacht nommé Bel-Ami (comme son livre). Apres une tentative de suicide en 1892, maupassant est à son tour interné dans un asile, et meurt de paralysie générale le 6 juillet 1893.

obsession de se disputer sur le moindre mot/ tournure de phrase mais toutes ces embrouilles finissent par générer une histoire tragique . Alors que de base la tragédie provient de la crise personnelle de L qui va mourir, mais il n’arrive pas à leur annoncer. = Les personnages passent à côté de l’essentiel. A propos de la pièces le tragique: 1. présence d’un prologue et donc du choeur tragique2. unité de temps et de lieu : la pièce se déroule en 24h

commence tout juste à le comprendre aujourd'hui. Pierre Corneille (1606-1684) est un auteur dramatique par excellence. Il précède Racine et Molière. Il a créé le théatre classique. Après avoir nettoyé ses premières armes avec plusieurs comédies, il livre le Cid au public en 1637. Le chef-d’œuvre provoque un tel triomphe que ses concurrents le jalousent. C’est la fameuse (querelle du Cid). Que lui reproche-t-on ? Presque tout : mélange des genres, défauts des formes, manques de respect aux ‘‘ règles

un écrivain en puissance. D'autre part, il fait de cette lecture une véritable découverte, 1. Monsieur Nicolas, Gallimard, "La Pléiade", 1989, t. 1, p. 362. ha l-0 06 55 15 2, v er si on 1 - 2 6 D ec 2 01 1 Manuscrit auteur, publié dans "Etudes rétiviennes, 30 (1999) 83-88"http://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00655152/fr/http://hal.archives-ouvertes.fr2 puisque cette rencontre avec un auteur fameux se fait sans intermédiaire, sans aucune

=> Mysticisme et occultisme 4) La passion amoureuse => contre la monotonie ( amour insatisfait ) 5) Contre le Classicisme => Imagination et invention très important dans l'art ( démesuré) 6) Exotisme => satisfaire désir d'évasion, sortir de soi même ( monde illusoire) 7) Héros => individu lambda et non archétype soit => désœuvré ( type 1) => sentiment d'injustice

Analyse du livre Sobibor de Jean Molla Sobibor est un livre dont la lecture est difficile et parfois même insoutenable. Comment l’avez-vous perçu ? Avez-vous aimé le livre ? Donnez votre avis de lecteur de façon structurée et en faisant référence à certains passages précis du livre. Quelles sont les paroles qui ouvrent et referment le livre? Quel sens peut-on leur donner? A. Analyse thématique : les personnages du roman 1. L’histoire d’Emma |Personnage / Etat civil |Portrait

par plusieurs à cause de son style particulier (Arribehaude, p. 1). Ce grand écrivain est né le 27 mai 1894 à Courbevoie en France. À l’âge de dix ans, Louis-Ferdinand Destouches, qui prendra le nom de plume « Céline », vit sa première expérience tragique avec le décès de sa grand-mère. Cet événement traumatisant l’affectera tout au long de sa vie et influencera grandement ses œuvres à venir. Vers l’année 1908, Céline, encore enfant, est marqué par la prise de position antisémite de son père (JeSuisMort

« président », « mon pouvoir », « mes états »…) b Gudiel : * porte « l’épée » au « côté »  * un conseiller, confident (v.32 « je me vengerai, Gudiel ! Tu m’entends ! ») ; prépare le départ (v.45). c RB : * un serviteur « en livrée », « tête nue », « sans épée » = c’est un homme du peuple  * obéit à DS : « sur un signe de DS…porte du fond » ; il est exclu pour l’instant du cercle des initiés. II. Une pièce hybride 1. Une tragédie a. Des personnages nobles :

l’unité de temps (la crise tragique, le jour où Rome bascule…). Acte II, scènes 2 à 8 (lecture commentée) : le cynisme et la cruauté de Néron (vers 461473) ; l’amour de Junie (vers 637-658) à opposer à celui de Néron et à rapprocher de Britannicus (vers 295-298/655-658) ; le sadisme de Néron (vers 659-674) ; le contrôle des âmes (vers 678-690, notamment les vers 679, 682, 690, où l’on observera à nouveau l’hypotypose oculaire) ; implications dramaturgiques de la scène 6 (où l’on commentera encore