Les Représentations Sociales De La Schizophrénie

uns après les autres, les points suivants (l’ordre de présentation névroses puis psychoses) : 1. Le lien avec le réel 2. Les enjeux du ça, du moi et du surmoi 3. La symptomatologie 4. La demande de soins 5. Des exemples : la phobie, la schizophrénie Et pour finir, nous essaierons de voir quelle est la sémiologie qui pourrait nous permettre de déterminer une frontière entre les névroses et les psychoses, c'est-à-dire les états limites. 1- Le lien avec le réel Dans les névroses le lien

LA SCHIZOPHRENIE : ETAT DES LIEUX CONCERNANT LES TROUBLES EMOTIONNELS (RECONNAISSANCE, RESSENTI ET EXPRESSION) 18 MARS 2010 Capucine MARQUIS DES 1ère année Université de NANTES TABLES DES MATIERES I - Introduction………………………………………………………....p. 3 II - Les structures anatomiques……………………………..p.4 III – Sémiologie…………………………………………………………….p.4 A- Appauvrissement...................................................................................p.4

démence précoce. Bleuler a introduit alors pour la première fois le concept d’« autisme », pour décrire une forme sévère de schizophrénie, c’est-à-dire un trouble se manifestant par une dissociation complète du monde extérieur, que la personne avec autisme choisit d’effectuer de manière rationnelle, afin de mieux répondre à ses pulsions et à ses désirs. Cette représentation de l’autisme comme un repli sur soi se trouve même définie comme une certaine forme d’intelligence pathologique permettant à

manifester en tant que violation des normes sociales, incluant la possibilité d’être un danger pour soi et pour les autres, et impliquant également certains autres actes considérés comme faisant partie de la folie. La folie peut être passagère ou perdurer, être provoquée ou exister à l’état de base. La folie, en termes psychiatriques, recouvre plusieurs réalités, et des termes plus spécifiques sont employés par les spécialistes (psychose, schizophrénie, catatonie, paranoïa, trouble bipolaire, etc

Travaux Personnels Encadrés Etude et comparaison entre deux maladies mentales : la Schizophrénie et l’Alzheimer Fontaine Mélanie Aigrot Léopold Bellucci Jérôme Etude et comparaison de la schizophrénie et de l’Alzheimer Lycée Maurice Genevoix - Ingré PAGE 1 SOMMAIRE : I. La Schizophrénie : 1) 2) 3) 4) Définition et présentation générale Les différentes formes de la maladie Les symptômes Les facteurs A. Un facteur avéré : l’hérédité B. Les facteurs possible ou probable a) Les facteurs

Skyzophrénie paranoide Risque de suicide : Isolement social   Antécédents : ⁃ Liée à sa pathologie ⁃ liée à sa pathologie (schizophrénie) ( schizophrénie ) Opération des dents de sagesse ⁃ Favorisé par : ⁃ Manifesté par : Entorse de la cheville Un changement de milieu de vie L'absence de soutien de la part de sa Allergie au Ciflox (domicile parentale au foyer) mère. Une maladie psychiatrique ( la Une préoccupation vis a vis de ses schizophrénie ) pensées et de ses cauchemars. Sentiment de culpabilité

Plan •Biographie du sujet...................................................................II •Exposition du cas....................................................................III •Première hypothèse, la schizophrénie..............................................IV •Deuxième hypothèse, la névrose obsessionnelle...................................VII •Troisième hypothèse, approche DSMV............................................XI •Quatrième hypothèse

dépressive qui accompagne les infections ou l'épuisement du corps. On doit considérer ainsi l'humeur comme corporelle (ce que Kojève appelle le tonus) alors qu'on sait bien que l'humeur est par définition psychique, c'est l'âme même où se mêlent représentation de l'extérieur et intériorité du corps dans l'affect, notre disposition, notre attitude (stimmung), notre "puissance d'agir" (Spinoza). Impossible ici de distinguer psyché et soma. L'humeur, on le sait, fait partie intégrante du système immunologique

ANNEE 2006-2007 L3 DE PSYCHOLOGIE SCHIZOPHRENIE ET VIOLENCE ENSEIGNANT DIRIGEANT : M.VANDAMME PLAN INTRODUCTION I/DEFINITIONS I.1 : SCHIZOPHRENIE I.1.1 : QUELQUES REPERES HISTORIQUE I.1.2 : CRITERES SYMPTOMATIQUES I.2 : VIOLENCE I.2.1 : CADRES I.2.2 : DEFINITIONS PARTIELLES II/EPIDEMIOLOGIE DESCRIPTIVE II.1 : FREQUENCE DES TROUBLES II.1.1 : FREQUENCE II.1.2 : POPULATION CONCERNEE II.1.3 :

sanitaire et social de ces personnes, garant potentiel d'une insertion sociale et/ou professionnelle. Toutefois, certaines d'entre elles n'auront probablement jamais les capacités de vivre de façon autonome. C'est pourquoi nous observons une augmentation du nombre de personnes accueillies en institutions spécialisées (ex: Foyer de vie, Foyer d'accueil médicalisé). Cette nouvelle donne modifie, bouleverse parfois les dispositifs d'accompagnement et place les travailleurs sociaux dans l'obligation