Les Relation Vassal Et Seigneurs

immense principauté d’Aquitaine4), et surtout en raison de la conquête de la Normandie et des terres adjacentes par Henry V, ce qui permit à des membres de la nobility et de la gentry pendant quelques années de devenir, par l’obtention de fiefs, des seigneurs et des nobles « français » : comtes en deçà de la Manche, earls au-delà5. 1 L. Pannier et P. Meyer, éd., Le Débat des hérauts d’armes de France et d’Angleterre suivi de The Debate between the Heralds of England and France by John Coke, Paris, 1877

rapport de zones incultes vis-à-vis le territoire humanisé. Plus tard, alors que le défrichement aura atteint son apogée, un certains nombres de personnes décideront de tenter leur chance à la ville, où paraît-il les libertés devoirs envers les seigneurs moins nombreux. Par contre, l’essor des campagnes n’est pas uniquement dû à l’augmentation de la population et aux défrichements généralisés. En fait, l’augmentation du nombre de terres cultivables n’aurait pas suffit à nourrir une population

(source wiki) Le droit de cuissage, ou droit de jambage, est une coutume prétendue qui aurait permis à un seigneur d'avoir des relations sexuelles avec la femme d'un vassal ou d'un serf la première nuit de ses noces. Ce « droit » aurait été dérivé du droit de quitage, ayant réellement existé, qui obligeait un serf devant marier sa fille en dehors du fief de son seigneur à donner au dit seigneur trois sous en échange de son autorisation symbolique du mariage[1]. Ce droit de cuissage, avec le sens qu'on

En France, la mort de Philippe Ier (1108) clôt le programme. C’est la relation entre pouvoirs, Église et société qui doit être envisagée. Les différentes structures de pouvoirs, politiques et ecclésiastiques doivent être étudiées dans leurs dimensions événementielles, juridique, idéologique, territoriale et sociale. Une approche comparatiste entre les trois aires géographiques devra être adoptée. En revanche, les relations entre ces trois royaumes et les régions étrangères sont exclues du sujet

Suzanne. Il règle le rôle de la foule, mais aussi des paroles que le Comte doit prononcer. En effet, Figaro investit la scène d'une foule de vassaux, la communauté villageoise, Suzanne et la Comtesse (car elle seule peut l’aider puisqu’elle est issu de la même classe sociale que le Comte) pour réclamer devant tous qu'il renonce solennellement au droit du Seigneur (la scène commence par un « vivat » qui vient abolir le droit honteux : Suzanne est donc sauvée.). Cette scène nous montre que Figaro connaît

d'aimer, mais aussi de vivre. Le chevalier courtois doit se comporter de façon plaisante avec les dames de qualité. Il les courtise, s'engage à leur porter secours si nécessaire, puis s'éprend de l'une d'elles et lui voue un véritable culte. Cette relation idéalisée du paladin à sa dame place la femme au centre du jeu amoureux. Elle n'est plus un simple objet de désir mais c'est elle désormais qui guide son soupirant sur la voie douloureuse de la passion. Tout ce qui est fait par amour mérite le pardon

marquis) accueillent des hommes libres qu'ils éduquent, protègent et nourrissent. L'entrée dans ces groupes se fait par la cérémonie de la recommandation : ces hommes deviennent des guerriers domestiques (vassus) attachés à la personne du senior[26]. Le seigneur doit entretenir cette clientèle par des dons pour entretenir sa fidélité[27]. La monnaie d'or devenant rare du fait de la distension des liens commerciaux avec Byzance (qui perd le contrôle de la Méditerranée occidentale au profit des musulmans)

centre du pays Mossi vies puissant ils exercèrent une influence sur les autre s royaumes. Ils avaient un roi de magicien le Mogho Naba. -Le royaume du Yatenga fondé pa Yadéga et setué autour de Ouahigouya. Le Gourmas était de vassal de Tenkodogo puis de Ouagadougou avait dépendre son indépendance. -Le Marcourssi -Le Dagomba poursuivre leur royaumes Mossi sont restés dirigés par les roi gardaient jalousement leur pouvoir et rejugeait punîtes . II-Organisation

des seigneurs locaux qui vont excercer leur pouvoir à partir de leurs châteaux. II. L’ordre féodal. A L’autorité sur la population. Depuis le château, le seigneur exerce l’autorité publique : Le ban (pouvoir de commander les manants) qui appartenait jadis au Roy. Il permet aux seigneurs d’exiger des services militaires, d’imposer un monopole économique et des impôts. Le pouvoir de rendre la justice, autre ancienne prérogative royale. Il exerce donc la haute et basse justice B Les relations au

chef qui va effrayer l’occident, il s’agit d’Atilla, les chroniqueurs du moyens âge l’appelleront Attila « le fléau de Dieu » car il n’hésitera pas a tué son frère. Ce sera un chef effrayant. St Jérome de Stridor va prier en disant ceci « Puisse le seigneur garder ses fauves loin à l’écart de l’empire romain, aucune religion n’est sacré pour eux car ils n’en ont aucune, ils n’ont épargnés aucune souche, aucun âge et il n’éprouve même pas un brin de pitié pour les enfants des armées.». St Jérome dira