Les Rayons Jaunes

Texte A : Victor Hugo, « J’aime l’araignée », Les Contemplations, livre III, « Les Luttes et les rêves » (1856) Texte B : Lautréamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant II, strophe 9 (1869) Texte C : Tristan Corbière « Le Crapaud », Les Amours jaunes (1873) Texte D : Germain Nouveau, « Le Peigne », Valentines (1887) - Le corpus n’est pas ici diachronique mais rassemble des poèmes d’un même siècle : le XIXème siècle - Le thème des poèmes doit attirer l’attention : « araignée », « pou », « crapaud

mille gouttes bleues. 8c Il trempe encore sa queue dans un autre pot et mille gouttes jaunes sautent sur lui. Il est fier ! 8 final C'est un cheval artiste. La nuit, il quitte son écurie et traverse la cour jusqu'à l'atelier où travaillent les soldats. Il trempe sa queue dans un pot de couleur. Il fait sauter sur lui mille petites gouttes bleues. Il la trempe encore dans un autre pot et mille petites gouttes jaunes sautent sur lui. Il est fier ! 9a Où sommes-nous ? Sur le stade qui grandit chaque

33 « l'argent que tu auras volé »avec une valeur de temps au futur qui indique que sa conscience émet une critique face à sa future destinée. Les descriptions concernant ce diner chez les Valenod sont brèves car les événements sont vus dans le rayon de Julien Sorel. On peut donc parler d'une restriction de champ car les récits sont coupés de monologues intérieurs. La mitoyenneté des cellules et de la salle à manger révèle l'origine douteuse de la fortune des Valenod. Maintenant,étudions de quelle

jambons maigres, les tranches de dinde ou de poulet ; Les œufs ; Les laitages à 0% de matières grasses, le lait écrémé. Les aliments autorisés doivent être cuits sans matières grasses et peuvent être consommés en quantité illimitée, à l'exception des jaunes d'œufs (pour limiter le risque de cholestérol) et des laitages. Certains adjuvants sont autorisés en quantité raisonnable (herbes et épices, vinaigre, moutarde,cornichons, huile de paraffine, etc...). Cette alimentation doit être accompagnée d'une

tourne, ce ne sont que des monstres affreux à voir, des chiens à tête d’homme, des hommes à tête de chien, des chimères nées d’accouplements hideux dans la profondeur ténébreuse des syringes, des Anubis, des Typhons, des Osiris, des éperviers aux yeux jaunes qui semblent vous traverser de leurs regards inquisiteurs et voir au delà de vous des choses que l’on ne peut redire ; ― une famille d’animaux et de dieux horribles aux ailes écaillées, au bec crochu, aux griffes tranchantes, toujours prêts à vous

est une femme plutôt bien enrobée (symbole d’opulence alimentaire), chaussée de pantoufles d’intérieur (signifiant à la fois le confort et la mollesse), vêtue d’une jupe bleue et d’un haut rose (couleurs et formes banales), collier de petites fleurs jaunes autour du cou (kitch), montre et bracelet dorés au poignet gauche et sac à main de skaï noir au bras droit (ostentation), cigarette au coin des lèvres (la cigarette est un produit de consommation de masse comme un autre à cette époque). Un petit foulard

contaminés par des radionucléides dont les radiations ionisantes ont des effets génotoxiques. Les rayons ionisants qui concernent la médecine incluent les rayons X et γ ainsi que les particules α- et β -. Une différence importante entre ces radiations se trouve dans le fait que les rayons X sont émis par de tubes à rayons X uniquement lorsque les équipements qui les génèrent sont en marche, alors que pour les rayons γ, les particules α- et β – émettent des radiations en continu. (33) Le type de substances

contaminés par des radionucléides dont les radiations ionisantes ont des effets écotoxiques. Les rayons ionisants qui concernent la médecine incluent les rayons X et γ ainsi que les particules α- et β -. Une différence importante entre ces radiations se trouve dans le fait que les rayons X sont émis par de tubes à rayons X uniquement Lorsque les équipements qui les génèrent sont en marche, alors que pour les rayons γ, les particules α- et β – émettent des radiations en continu. Le type de substances radioactives

de poèmes. Licence : Domaine public 1 Le dormeur du Val C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait

l'œuvre, sur deux points d'intérêt naturels. Il y a une symétrie entre les éléments de droite et les éléments de gauche, la maison et les feuillages au loin, le semeur et les corbeaux. Le chemin clair au milieu des mottes de terre rappelle les tons jaunes du fond et crée un équilibre. La composition s'articule d'après la diagonale descendante, de gauche a droite. L'impression de mouvement est très forte, le soleil qui se couche, le semeur qui s'éloigne de la maison d'un pas décide, Le chemin, le