Les Rayons Jaunes

développé que les racines d'un maïs qui ne renferme pas de bactéries cours : L'absence de lumière lors du développement d'une plante provoque l'étiolement de l'appareil végétatif . Les feuilles sont jaunes généralement moins nombreuses et ne renferme pas de chlorophylle (que des pigment jaunes) les entrenœuds sont allongé . La lumière est un facteurs abiotique qui joue un rôle important dans la morphogénèse végétal , des êtres vivants peuvent avoir une action négative (champignons parasite) ou

naturels de chalands SOURCES D’INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES : - la mairie - l’office du tourisme - la CCI la plus proche du PDV - l’INSEE - les associations de commerçants NB : SITES ET LOGICIELS UTILES - Pages Jaunes (permet de localiser une partie des concurrents du PDV) - Google map - Logiciel Paint PROCEDURE POUR « RECUPERER » DES CARTES OU IMAGES A PARTIR D’INTERNET : - Rechercher les cartes ou les photos sur Internet - Copier

remercier toute l’équipe encadrante, en commençant par le directeur Marc Zussy. Il m’a donné ma chance pour ce stage et a su être présent à chaque instant. Ensuite je souhaite remercier Mickaël Marinier, Florian Lelu et Arnaud Caron les managers de rayons qui ont toujours été là pour moi et ont su m’aider quand j’en avais besoin. Ils m’ont intégrée au groupe, m’ont considérée et traitée comme l’une des leurs. Ils ont pris du temps pour moi afin de rendre cette expérience enrichissante. Ils ont su me

se déchaine et le poète devient lui-même bateau et part dans toutes les directions, sur des îles lointaines et imaginaires, dans des « archipels sidéraux » où vivent un « Million d'oiseaux d'or », où se trouvent des « fleurs d'ombre aux ventouses jaunes »… Rimbaud décrit un voyage sans fin, sans trajectoire logique si ce n’est celle laissée au hasard de la mer agitée ! Une errance maritime ! L’auteur décrit la mer comme un monstre déchainé de toutes les couleurs. Effectivement, dans ce poème intervient

ARTHUR RIMBAUD Poèmes LE DORMEUR DU VAL C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il

on voit là-bas un beau ciel bleu ; La nature s'éveille et de rayons s'enivre… La terre, demi-nue, heureuse de revivre, A des frissons de joie aux baisers du soleil… Et dans le vieux logis tout est tiède et vermeil Les sombres vêtements ne jonchent plus la terre, La bise sous le seuil a fini par se taire … On dirait qu'une fée a passé dans cela ! … - Les enfants, tout joyeux, ont jeté deux cris… Là, Près du lit maternel, sous un beau rayon rose, Là, sur le grand tapis, resplendit quelque chose… Ce sont

contentent, pour tout éclairage, des maigres rayons que les becs de gaz envoient à leurs vitrines; ils allument seulement, dans leur boutique, une lampe munie d'un abat-jour, qu'ils posent sur un coin de leur comptoir, et les passants peuvent alors distinguer ce qu'il y a au fond de ces trous où la nuit habite pendant le jour. Sur la ligne noirâtre des devantures, les vitres d'un cartonnier flamboient: deux lampes à schiste trouent l'ombre de deux flammes jaunes. Et, de l'autre côté, une bougie, plantée

phrase qu’on peut voir la preuve embryonnaire du réalisme. Pour mieux connaître les beautés du romatisme, nous étudions l’Atala de Chateaubriand, l’éducation sentimentale de Flaubert en observant des détails du style romantique et étudions aussi Les Rayons et les Ombres de Victor hugo pour voir un peu les caractéristiques de l’esthétique de la deuxième période du romantisme. Comment la nature fonctionne dans les oeuvres romantique, comment les personnages sont descrits, pourquoi les sentiments sont

foyers voisins, les deux rayons parallèles, pareils aux queues géantes de deux comètes, descendaient, suivant une pente droite et démesurée, du sommet de la cote au fond l’horizon. Puis sur les deux jetées, deux autres feux, enfants de ces colosses, indiquaient l’entrée du Havre ; et là-bas, de l’autre cote de la Seine, on en voyait d’autres encore, beaucoup d’autres, fixes ou clignotants, a éclats et a éclipses, s’ouvrant et se fermant comme des yeux, les yeux des ports, jaunes, rouges, verts, guettant

grandeur nature ) 2- description. Cette œuvre représente une femme en surpoids en train de pousser un cadi chaussée de pantoufles d’intérieur, elle est vêtue d’une jupe bleue qui la serre et d’un haut rose. Elle porte un collier de petites fleurs jaunes un peu kitch autour du cou, une montre et un bracelet dorés au poignet gauche. Elle a un sac à main noir brillant au bras droit. Le tout semble être de mauvaise qualité. Elle a au coins des lèvres une cigarette, sur sa tête elle porte un bandeau qui