Les Pères Fondateurs De La Vème République

l’article 2 qui précise le principe sur lequel est fondé la République. Nicolas CERRI! Droit constitutionnel 2013 - 2014 Pourtant le système politique est très critiqué par une partie de l’opinion et même de la classe politique. MITTERRAND a eu des mots très durs à l’égard de DE GAULLE en disant que la V° République fait la part trop belle à l’exécutif et au Président de la République. En gros de dire que le Président de la République a trop de pouvoir, le qualifiant de monarque républicain

Dans la lettre qu'il m'a adressée le 2 juillet, le Président de la République m'a demandé de réfléchir aux changements de positionnement de la France et de l'Union Européenne dans le monde globalisé, d'examiner si la France, et l'Union Européenne, ne devraient pas aujourd'hui défendre autrement leurs intérêts, promouvoir autrement leurs valeurs, et de faire, à partir de cette analyse, des propositions. J'examine donc dans les pages ci-après si la France doit, ou non, repenser

Revenons en arrière au sujet de la pensée grecque. Sur la pensée Grecque, prenons Platon et Aristote Platon,(427-348 av. J.C.), philosophe grec, fondateur d’une école appelée l’Académie, auteur d’une trentaine de dialogues - où intervient souvent Socrate : parmi la trentaine d’oeuvres qui lui sont attribués, citons deux ouvrages : La république et Les lois. Il a vainement conseillé le tyran (entendez le dictateur) Denis de Syracuse. Il a préconisé surtout une organisation de la Cité – à

grande si les mêmes personnes qui ont le pouvoir de faire les lois avaient aussi entre les mains le pouvoir de les faire exécuter, car elles pourraient se dispenser d’obéir aux lois qu’elles font » b – Origine idéologique Montesquieu est l’un des pères du libéralisme aristocratique. Pour lui le bien suprême est la liberté or la liberté n’est pas partout. Elle dépend du régime politique. Il faut donc en tirer les conséquences. 1° Le pouvoir est l'ennemi de la liberté La liberté est la chose la plus

l'organisation décentraliser de la République. Cependant ces transferts ne peuvent pas concerner certaines matières touchant à la souveraineté de l'État (notamment en ce qui concerne la nationalité, les droits civiques, la garantie des liberté publique, la défense, la sécurité et l'ordre public, la monnaie). Le caractère unitaire de l'État fondée sur l'indivisibilité de la souveraineté s'exprime notamment en France par le principe d'unité et d'indivisibilité de la République française consacrée par l'article

républicain Il s’opère du fait de l’extension de l’indépendance des juges vis-à-vis du pouvoir politique. A- L’âge d’or du contentieux administratif Au cours du XIXème siècle se développe une idéologie libérale. C’est avec la troisième république que le mouvement libéral connaît son apogée. On assiste alors à un renouveau de la décentralisation territoriale, consacré par une loi de 1871 sur l’organisation départementale et une loi de 1884 sur l’organisation des communes. Cela touche aussi

à l’obscurantisme ambiant de cette époque de chasse aux sorcières, aux dogmes de l’Eglise catholique romaine. -Soit que la philosophie soit elle-même une forme de religion et en guise de hors d’œuvre on peut citer ici la philosophie platonicienne (Vème siècle avant JC) et la philosophie de Hegel (XIXème), deux philosophies qui s’inscrivent dans un monde « païen » mais s’instituent en système assez hermétique, sans ouvertures possibles. - Revenons à cette question de la vérité. La philosophie est

universitaire. –3– Cet affrontement s’affirme à partir de la Monarchie de Juillet et chaque succès des conservateurs voit le vote de lois qui vont dans ce sens, l’exemple le plus fameux étant celui de la loi Falloux en 1850. Au contraire la République triomphante des années 1880 affirme la nécessité d’un enseignement conçu comme une « instruction publique » et son unicité permet la soustraction des enfants à l’influence de l’Église. En ce qui concerne l’enseignement primaire, le développement

dans le champ domestique, ni de fixer les modes d’exercice de la « patria potestas » (= la puissance paternelle : le pater familias, héritage du droit romain, a pouvoir de vie et de mort sur son enfant). En revanche l’Etat met à la disposition des pères qui en font la demande des institutions dans lesquelles sont internés les enfants dits « rebelles ». Il s’agit de la procédure de « correction paternelle », par laquelle le père, en actionnant le pouvoir judiciaire, prend des mesures d’enfermement

ne peuvent être ignorer au regard de certains principes fondamentaux consacrés par la constitution . Ainsi le droit des collectivités territoriales mérite d'être abordé sur certain point au regards du principe d'unité et d'indivisibilité de la république. Le droit des libertés publiques ne peut être ignoré dans le cadre de l'étude du droit constitutionnel ,l'une des finalités première est en l'encadrement juridique politique vue de la protection des libertés des citoyens . Il en va de même pour