Les Petits Bourgeois

qui appartient au mouvement littéraire du Naturalisme. Il travaille chez Hachette pendant 4 ans et commence par publier ses 1éres chroniques. Puis il devient Chroniqueur à « l'événement » et défend les peintres impressionnistes. Puis il publia petit à petit ce qui fut une suite de livres de la famille des « Rougon – Macquart », qui ont connu un très grand succès. D'ailleurs germinal fait parti de cette série. En 1898 il publie « J'accuse » et écrit une lettre au président pour clamer l'innocence de

souvent extrêmement sensibles et passionnés, ont laissé beaucoup d'écrits à propos de cette redoutable séductrice. Dans Les Amours jaunes, recueil de poèmes parus en 1873, Tristan Corbière fit paraître la "Petite mort pour rire", inspiré comme le reste du recueil par un amour malheureux. La "Petite mort pour rire" rondeau irrégulier au contenu tout en contrastes, exprime en premier lieu une grande volonté de mourir, et reflète en second lieu, à travers l'évocation de cette mort, la pensée de Corbière:

trouve sur une estrade (l.1). Aussi la description physique se fait de bas en haut depuis ses pieds « Elle avait aux pieds de grosses galoches de bois » jusqu’à la coiffe « le béguin sans bordure ». Le portrait part d’une impression générale « une petite vieille femme de maintien craintif » avant de se focaliser sur les détails. L’importance des couleurs et des tailles « grand tablier bleu », « camisole rouge », « grosses galoches », « longues mains » montrent bien que cette description est d’abord

mécanismes (voir Bergson); ils sont donc ridicules. • Le bon sens de Molière est celui de l'honnête homme et non pas celui du bourgeois. On a dit et répété que Molière dans ses comédies s'était fait le porte-parole de la bourgeoisie de son temps; on a voulu voir dans les railleries dont Molière couvre tout ce qui est excès et démesure, la manifestation même du bon sens bourgeois, une affirmation rassurante de la valeur de la via média. Or la fameuse sagesse de Molière reflète presque toujours l'attitude

Le Bourgeois gentilhomme Le Bourgeois gentilhomme est une comédie-ballet de Molière, en cinq actes (comportant respectivement 2, 5, 16, 5 et 6 scènes)1 en prose (sauf les entrées de ballet qui sont en vers), représentée pour la première fois le 14 octobre 1670, devant la cour de Louis XIV, au château de Chambord par la troupe de Molière. La musique est de Jean-Baptiste Lully, les ballets de Pierre Beauchamp, les décors de Carlo Vigarani et les costumes turcs du chevalier d'Arvieux. Dans cette pièce

peur aux grandes puissances qui tentent de l’éradiquer. Ceci est la preuve que le communisme est reconnu comme une puissance, et qu’il est indispensable qu’il soit décrit et exposé dans un texte de référence. Dans la première partie intitulée « Bourgeois et Prolétaires », le thème principal est la lutte des classes dans l’évolution de la société: les auteurs prétendent que « (…) l'histoire de toute société jusqu'à nos jours est l'histoire de luttes de classes »1. Ils font un premier historique sur

c’est avant tout de posséder un patrimoine important, origine principale des ressources, bien au-delà des éventuels revenus salariaux. La notion de propriété du capital est évidemment tout à fait centrale, même si les bourgeois ne sont pas seulement des patrons. Le milieu bourgeois est donc un milieu professionnellement très hétérogène où prédomine pourtant la continuité dans la gestion des richesses. Des industriels, des hommes d’affaires, des banquiers, y voisinent avec des exploitants agricoles

personnages devenus des archétypes, pièces très souvent mises en scène, place majeure de Molière dans l’enseignement actuel. 2 VIE DE MOLIÈRE 2.1 Les débuts Vrai nom Jean-Baptiste Poquelin 15 janvier 1622 : naissance à Paris Fils d’un bourgeois parisien aisé, tapissier du roi (fournisseur officiel de la Cour). Enfance marquée par deuils successifs, dont celui de sa mère, en 1632. 1635 : devient élève des jésuites au collège de Clermont (fréquenté par fils de l’aristocratie et de la

et sociales de la France, sous la II ème République et le Second Empire, entre 1848 et 1870 ?I- La deuxième République, une démocratie ?A. Février 1848 : l’espoir d’une nouvelle RépubliqueFévrier 1848 → mouvements portés par étudiants, ouvriers, bourgeois qui envahissent Assemblée → Abdication Louis Philippe→ nouveau gouvernement avec idées sociales et démocratiquesPPO :Alphonse de Lamartine → préfère drapeau tricolore au drapeau rougeDrapeau rouge = violence, sang, massacre du Champ de Mars, la

famille conforme au modèle bourgeois Sources : Sartre, (Biographie) de A. Cohen-Salal b) Une famille aussi originale II LA VISION SUBJECTIVE a) Représentation de la famille selon Sartre Sources : Les Mots, Sartre b) Portée de la critique de Sartre sur la famille bourgeoise et les conséquences sur sa vie Sources : Les Mots, Sartre + Carnet de la drôle de guerre, Sartre I LA VISION OBJECTIVE a) Une famille conforme au modèle bourgeois 1- L’héritage familial