Les Personnages Du Pleurer Rire

talent de La Bruyère, la limite entre le rire et le dégoût vis-à-vis d’un être caricatural et grossier. Afin de tenter de comprendre le sens du texte, nous aborderons tout d’abord la notion de comique, issue du portrait de Gnâthon, avant de mettre en valeur les aspects satiriques qui mènent peu à peu le lecteur à un rejet de cet homme haïssable et plus généralement de tout homme de ce type. I- Portrait comique 1) Comportement bestial, goinfrerie du personnage. - Glouton = pille la table, métaphore

raconte) • Événements, faits • Lieux précis • À une époque donnée • Personnages, dont parfois le narrateur lui-même • Durée plus ou moins longue Exemples de textes narratifs : ………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………… 1. Les modes de la narration On distingue deux façons de raconter une histoire : - l’histoire est racontée par un des personnages : la narration se fait à la 1ère personne et l’on se trouve dans le cadre du discours

idéaliste, gaie, grivoise, triste, rêveuse ou positive. En somme, le public est composé de groupes nombreux qui crient [aux écrivains] : Consolez-moi. Amusez-moi. Attristez-moi. Attendrissez-moi. Faites-moi rêver. Faites-moi rire. Faites-moi frémir. Faites-moi pleurer. Faites-moi penser. Seuls, quelques esprits d'élite demandent à l'artiste : Faites-moi quelque chose de beau, dans la forme qui vous conviendra le mieux, suivant votre tempérament. L'artiste essaie, réussit ou échoue. » Maupassant

chaîne pour tenir les clefs de mon coffre-fort ? – C'est pour attacher mon épinglette(5), lui répondis-je. – Ton épinglette ! s'écria-t-elle en riant. Ah ! Monsieur fait de la dentelle, puisqu'il a besoin d'épingles. Tout le monde qui était là se mit à rire, et moi je me sentais rougir, et je ne pouvais trouver rien à lui répondre. – Allons, mon cœur, reprit-elle, fais-moi sept aunes(6) de dentelle noire pour une mantille, épinglier(7) de mon âme ! Et prenant la fleur de cassie qu'elle avait à la bouche

décrivant l’insolence morale des bourgeois. Celle-ci est notamment démontrée par l’hypocrisie dont font preuve ces personnages. La comtesse et son mari le confirment puisqu’elle s’aperçoit que Boule de Suif pleure et en averti son mari qui « haussa les épaules comme pour dire: « Que voulez-vous? ce n’est pas ma faute. » Mme Loiseau eut un rire muet de triomphe, et murmura : « Elle pleure sa honte. » » (l.79) On s’aperçoit ici qu’ils essaient fortement de se déculpabiliser alors qu’ils savent très bien

épouse de Gargantua père de Pantagruel. Son père dévasté mais fou de joie en même temps ne sait point quel comportement adopter comme nous l’indique la ligne 4 : « Et le doute qui troublait son entendement était à savoir s’il devait pleurer pour le deuil de sa femme, ou rire pour la joie de son fils » puisqu’il vient de vivre la mort de sa bien aimée, néanmoins la naissance de son fils est un évènement épanouissant. Rabelais avec cette histoire veut que ce soit l’optimisme que nous apporte la vie qui

divertissement : marque de juxtaposition (avant dernier paragraphe) qui montre que ce divertissement est direct. --> il fait son travail mais ce travail ne naît pas de lui : "C'est en riant que Gynm. faisait rire. Et pourtant il ne riait pas." --> Gynm. est dans son âme, un homme qui pleure, mais dans son corps, un Homme qui rit (=> heros eponyme) Transition: Gynm. est un homme comme ts les autres, mais ce sont les "autres" qui l'ont changé/modifié. III. Condition de l'artiste montre à travers

ces valets présentent des caractéristiques en commun: ils font avancer l’histoire et sont dotés d’une grande intelligence. En effet, ces trois valets font avancer l’histoire par leurs multiples interventions. Scapin et Figaro se trouvent être les personnages principaux de l’histoire, ce qui fait que l’histoire ne peut avancer sans eux. Quant à Dorine, elle fait avancer l’histoire en aidant sa maitresse dans ses affaires amoureuses, ainsi ses actions entraînent un dénouement heureux. Deuxièmement

séducteur invétéré, libertin et blasphémateur. Séduisant les jeunes filles nobles mais aussi les servantes comme bon lui semble, rien d’autre ne l’intéresse. Dans ces deux scènes, le lecteur peut ressentir de la tristesse face à la mort du héros, mais le rire fait aussi surface par les répliques de Sganarelle, son fidèle valet, << Mes gages, mes gages. >> En quoi ce dénouement peut-être il qualifié de baroque ? Tout d’abord on retrouve la présence du Merveilleux, et ensuite Sganarelle ou la

inégalités. Il y a une intensité d'émotions + il suggère l'anticipation d'une relation amoureuse. 2. Le double portrait Le portrait de Julien - 2 traits dominants : la beauté et la fragilité («  extrêmement pâle », « qui venait de pleurer », « yeux si doux », « pouvait être une jeune fille déguisée », « teint si blanc », « joues si pâles », « grosses larmes », « joues si roses », « beauté du teint », « grands yeux noirs », « jolis cheveux », « air timide ») - insistance sur l'aspect