Les Personnages Dans Les Bonnes De Genet

personnels : q° des motifs récurrents, de l’inconscient de l’auteur Quand on retire la notion d’auteur, on découvre : L’intertextualité (//Kristeva) Le lecteur Le texte propose une multiplicité d’interprétations propres au lecteur L’auteur comme un personnage Image médiatique de l’écrivain : Hugo dicte à sa femme ses témoignages, Rimbaud => mythe de l’écrivain //Pessoa : chaque hétéronyme a un style ≠ Caiero : poète proche de la nature Reis : épicurien, latiniste Campos : ingénieur en méca

exceptionnelle du roman fait courir un risque majeur à l’existence du roman comme genre. La notion de genre suppose en effet l’existence d’invariants dont se nourrissent toutes les œuvres particulières inscrites dans une même catégorie générique. Gérard Genette appelle « architexte » ou « architextualité », « l’ensemble des catégories générales ou transcendantes – types de discours, modes d’énonciation, genres littéraires, etc. – dont relève chaque texte singulier ». Si l’on situe toujours le roman du côté

à la métalepse rhétorique ou narrative, telle que Gérard Genette la décrit d’une part dans Figure III , d’autre part dans Métalepse (ouvrages que je ne saurais trop conseiller à quiconque s’intéresse à la rhétorique). Pour faire simple, il y a dans tout récit de fiction ce qu’on appelle la diégèse, c’est-à-dire l’univers spatio- temporel dans lequel évoluent les personnages. Par exemple : la diégèse de Germinal de Zola : le

des œuvres dont l'engagement politique était assez agressif: Morts sans sépulture (1946) et Nekrassov (1955). Mais aussi, pour ses trois tentatives les plus hardies et les plus complexes, un accueil souvent mitigé: Les Mains sales, Le Diable et le Bon Dieu, Les Séquestrés d'Altona, desservis en général par des mises en scène timides, ont à la fois passionné et écrasé les spectateurs. Il n'en demeure pas moins que l'auteur dramatique, fidèle à l'esprit de sa première tentative, a toujours voulu «

 Dossier : Les Bonnes de Jean Genet Mise en abyme : La mise en abyme c'est l'effet miroir. Elle consiste à répéter (parfois à l'infini) un élément à l'intérieur d'autres éléments similaires au premier, comme les poupées russes qui s’emboîtent et sont similaires entre elles. Ce peu être aussi un récit dans un autre récit ( Mille et une nuits ), ou bien un image dans une autre image ( Les Ménines de Diego Velasquez )... Dans le travail suivant ce sera du théâtre dans le théâtre.

rapidement critiqué par les existentialistes et par la revue « Les temps Modernes » dirigée par Sartre. Publication de « Le diable et le Bon Dieu » et gros succès. 1952 Rupture définitive entre Camus et Sartre qui se rallie davantage aux communistes. Il voyage d’ailleurs en Chine, en URSS, au Brésil, pour soutenir les communistes. Publication de « Saint-Genet, comédien et martyr » . 1954 Parution de « L’Affaire Henri Martin » . Rupture avec Merleau-Ponty. Adaptation théâtrale de «

parfois futile). Les personnages sont peu nombreux et sont pourvus d’une réalité psychologique, bien que celle-si soit moins développée que dans un roman. Quelques questions à se poser pour étudier une nouvelle (ou un extrait) : Les mouvements du texte : comment l’écriture et les personnages évoluent-ils ? Y a-t-il un événement perturbateur ? Quel est-il ? Les problématiques de l’écriture : en sait-on autant que le narrateur ? L’auteur paraît-il du côté des personnages ? Le cas échéant : peut-on

Marx et Freud, Nietzsche fut sans aucun doute l’un des maîtres du soupçon les plus présents dans la pensée de Jean-Paul Sartre. Bien que ses œuvres philosophiques semblent témoigner du contraire, ses œuvres littéraires comptent presque toutes un personnage nihiliste, un insensé qui incarne les valeurs nietzschéennes. Dans Le nihilisme est-il un humanisme ?, Christine Daigle nous dit vouloir répondre à un manque de littérature comparative entre les philosophies de Nietzsche et Sartre en offrant une

comme à bien d’autres œuvres L’ODYSSEE ET LES GRANDS MODELES LITTERAIRES ET ARTISTIQUES Il ne faut pas négliger la richesse de ce texte qui a su inspirer de nombreuses formes littéraires, en même temps qu’il a suscité de nombreuses reprises des personnages de ce récit et de ses thèmes. I. L’Odyssée et la littérature antique 1. La tragédie et le drame satyrique Compte tenu de l’importance qu’elle accorde au DD (discours direct) et à la forme dialoguée, l’Odyssée d’Homère a pu inspirer directement

ré-interprétations de pièces classiques dont la beauté des textes n'est plus à prouver. Les pièces de Racine, de Cocteau, d'Anouilh, de Molière ou de Shakespeare en sont des exemples. Mais la beauté d'un texte à elle seule ne suffit pas si le jeu d'acteur n'est pas bon. Le spectateur se rend donc au théâtre parfois pour voir jouer des comédiens d'une certaine renommée. Ce pourrait être le cas par exemple de Dominique Blanc, ayant reçu deux Molières dont un dernièrement pour son interprétation dans La douleur de Marguerite