Les Pauvres Gens Commentaire

mythe des frontières ....................................................................................... 5 Les causes pour lesquelles il y a plus de gens qui migrent :............................................................ 5 Les conditions qui doivent être présente pour que l’on puisse parler de « flux migratoire ». ....... 5 Commentaire ................................................................................................................................... 5 Conclusion .......

reprochait les restes de son accent sudiste et probablement son passé de « fantoche », son engagement d’autrefois dans l’autre république, celle de Diem et Thieu. Son passé ? Qui en avait informé les villageois ? Probablement un policier du quartier. Ces gens doivent tout savoir de la vie de chacun. Trang avait rencontré son futur mari lors d’une de ses innombrables missions à Saigon. Elle venait de divorcer d’un premier époux paresseux et buveur de bière. Toan était un homme calme, joyeux et tendre. Il

émondait, ôtait ceci, cela, Corrigeant partout la Nature, Excessive à payer ses soins avec usure. Le Scythe alors lui demanda : « Pourquoi cette ruine : Était-il d'homme sage De mutiler ainsi ces pauvres habitants ? Quittez-moi votre serpe, instrument de dommage; Laissez agir la faux du Temps : Ils iront assez tôt border le noir rivage3. — J'ôte le superflu, dit l'autre, et l'abattant, Le reste

était pâle ; on se levait à quatre heures ; les femmes, pauvres anges! portaient du point d'Angleterre au bas de leur jupon, et les hommes, capacités méconnues sous des dehors futiles, crevaient leurs chevaux par partie de plaisir, allaient passer à Bade(2) la saison d'été, et, vers la quarantaine enfin, épousaient des héritières. Dans les cabinets de restaurant où l'on soupe après minuit riait, à la clarté des bougies, la foule bigarrée (3) des gens de lettres et des actrices. Ils étaient, ceux-là,

Commentaire littéraire Alfred de Musset, l' « enfant du Siècle » né en 1810, est de la génération de 1830, celle du Romantisme. Avec François-René de Chateaubriand, Victor Hugo, ou encore Gérard de Nerval, il est l'un des plus grands auteurs romantiques. Dans sa Confession d'un Enfant du Siècle, Musset dit ne pas entreprendre de raconter sa vie, puisque, n'ayant que 26 ans à sa publication, il ne l'a pas encore vécue. Cependant, on pourrait se demander si, justement, une des caractéristiques

Commentaire littéraire I. Un réquisitoire A- Une dénonciation de la corruption 1) Apostrophes et ironie - Exorde (= début d'un discours) : "Bon appétit" => métaphore = représente l'envie des ministres de voler l'état - "Ô" apostrophe lyrique -> montre la colère de Ruy Blas - "Ô ministres intègres ! / Conseillers vertueux !" => Ruy Blas pense bien sûr l'inverse (égoïste et immoraux) => Ironie - Exhortations : "regardez", "voyez" -> Ces exhortations permettent à Ruy Blas d'insinuer que

l'a récupérée, laisse tomber la révolution, prend avec lui la jeune fille (bien qu'un peu « abîmée ») et s'en va. Il en a jusque-là, la révolution, c'est bon pour les affamés ; maintenant il rentre chez lui, où un grand lit blanc est tout prêt Commentaire Alors que l'expressionnisme était très à la mode, la pièce était plutôt une ballade dramatique lancée d'un seul trait, sous une forme très peu littéraire. Les personnages y parlaient une langue hors des modes, sauvage, puissante, colorée, qui

Commentaire français Introduction : Au jour d’aujourd’hui, la misère touche beaucoup de personne. Cependant on ne connait ni les causes de cette misère ni les conséquences qui suivent. Tout comme le suicide, le meurtre ou encore la famine, la misère est un sujet touchant et dur à évoqué, mais réel.Dans LES MISERABLES, Victor Hugo nous decris, avec des des details qui semblent très realiste, la vie quotidienne d’une femme toucher par la Misère. En effet, Fantine est une femme declarée seule

fichtre, laisser ses bottes, mastroquet. Nous pouvons qualifier Zola d’auteur populaire, dans deux sens. L’un péjoratif, l’autre favorable. En effet il fut lu par un vaste public, et donc la majorité qui fut le peuple. Mais il fut aussi méprisé par les gens lettrés et distingués, choqués du langage qu’il employait dans ses œuvres. Il fut le premier à employer le langage populaire dans la littérature, ce qui lui donna avantage car le peuple se sentait enfin concerner par des écrits. Dans ce texte,

fruit retranchait l'inutile, Ébranchait, émondait, ôtait ceci, cela,       Corrigeant partout la Nature, Excessive à payer ses soins avec usure.       Le Scythe alors lui demanda : « Pourquoi cette ruine : Était-il d'homme sage De mutiler ainsi ces pauvres habitants ? Quittez-moi votre serpe, instrument de dommage;       Laissez agir la faux du Temps : Ils iront assez tôt border le noir rivage3. - J'ôte le superflu, dit l'autre, et l'abattant,       Le reste en profite d'autant.» Le Scythe, retourné