Les Pauvres Gens Commentaire

euros. «Pas si mal, se dit Paul, l'intérêt n'a grossi que de 1,57 $ en 5 ans.» Mais au bout de 50 ans, elle sera à fonctionner suivant la même logique, la dette sera de 1842,02 euros pour seulement 100 euros en circulation dans l’île ! Ainsi, les gens qui doivent acquérir un bien immobilier et doivent emprunter pour cela, ne se rendent pas compte qu’ils peuvent rapidement faire plus que doubler le prix de leur acquisition à cause de cela. |

Préambule Le suicide est un phénomène, qui pour la plupart des gens, est difficile à comprendre et très complexe. L’acte suicidaire est présent dans toutes les sphères de la vie même sur les lieux de travail. Dans le cadre de ce travail, j’ai eu à lire le livre « Suicide et travail : que faire? ». Ce livre nous permet non seulement d’en apprendre sur cette réalité épouvantable qu’est le suicide au travail, mais aussi de nous sentir au cœur d’une tragédie grâce aux percutants détails relatés dans

les coupables pour de l'argent | |et culturel | |Rapport de force entre les riches et les pauvres | |Contexte littéraire |Courant |Le réaliste

Commentaire de l’extrait de Victor Hugo, Les Misérables ,1862 Le texte présenté ici est un extrait de l’œuvre majeure de Victor Hugo Les misérables publiée en 1862. Ce roman propose une peinture sociale à partir de l’histoire de Cosette, enfant issue du peuple née dans le Paris du début du XIXe siècle. Les misérables est un roman réaliste proposant une peinture très précise de la France et en particulier de Paris du XIXe. Mais ce roman dépasse la description et condamne cette société aux inégalités

[pic]  L’impératif est utilisé pour un conseil [pic]  « misérable » = degré le plus bas de l’échelle sociale [pic]  « cancre » = incultes faute d’éducation, ce qui est une opposition à « poli » [pic]  « hère » = vagabond, individu pauvre. Définition du mendiant [pic]  « pauvre diable » = gens que la vie a enfoncés, ils se démènent comme des diables. [pic]  « Dont la condition est de mourir de faim » = fatalité, destin. Seuls ceux qui arrivent à passer ce destin s’en sortent. [pic]  Expression elliptique du

qu'il rende service à la cité d'Athènes de quelque manière que ce soit.Les esclaves sont soumis a leur maitres et n’ont aucun droit mais ne peuvent-être tués par ces derniers. À -508 Clisthène promulgue 2 lois, la première favorise la citoyenneté des pauvres et la deuxième c’est la réorganisation de dems (les tribus). La citoyenneté était réservée aux hommes athéniens qui forment le demos (peuple) et sont répartis dans 10 tribus.À Athènes jusqu’en 451, pour qu’un homme soit nommé athénien il suffisait

I Goriot : les funérailles d’un pauvre :       Ces funérailles se déroulent sous le triple signe de l’abandon, de la précipitation et de la contrainte d’argent.       L’abandon du père par les filles sa solitude près la mort comme dans l’agonie, sont perceptibles à travers plusieurs expressions : « Il n’y avait qu’une seul voiture de deuil… Il n’y a point de suite… deux voitures armoriées mais vides ». On remarquera l’alliance de ces deux termes, « armoriées mais vides », qui marque la noblesse

son message a eu des répercussions. Les commentaires ont fusé. Les débats étaient partis! On pesait le pour ou le contre. Je crois que ce genre d’acte ne fait qu’aggraver la situation, car cela donne l’illusion au gens que c’est de leur affaires et que cela les regarde, alors que ce ne l’est absolument pas! D’ailleurs, certains commentaires n’aidaient en rien : Cela passait par : « Pff.. se suicider à 13 ans! Faut-tu être lâche?» ou encore : « Oh, pauvre chou! C’est trop triste..» à : « Je le comprends

fait que ces trois extraits sont issus de siècles différents, leur visée est commune mais que cependant, cette objectif est atteint par des voies différentes. Les textes 2 et 3 sont tous deux fondés sur la description du triste quotidien d’un pauvre qui vit dans la misère, dans le but de dénoncer les injustices sociales. En effet, dans l’extrait de Choses Vues, Victor Hugo décide de séparer clairement deux mondes opposés grâce à l’utilisation de champs lexicaux : d’une part celui de la misère

tout son mal. - Hé ! Mon Dieu ! Ma surprise est, fis-je, sans seconde : Mes yeux ont-ils du mal, pour en donner au monde ? - Oui, fit-elle, vos yeux, pour causer le trépas, Ma fille, ont un venin que vous ne savez pas. En un mot, il languit, le pauvre misérable ; Et s'il faut, poursuivit la vieille charitable, Que votre cruauté lui refuse un secours, C'est un homme à porter en terre dans deux jours. - Mon Dieu ! J’en aurais, dis-je, une douleur bien grande ? Mais pour le secourir qu'est-ce