Les Pas Du Compagnon Maçon

Rite Ecossais Rectifié Page 1 sur 4 Se connecter S'inscrire La GLNF Actualité Histoire Franc-maçonnerie et spiritualité Devenir Franc-maçon Pôle solidarité Rites Richesse et diversité Rite Ecossais Ancien et Accepté Rite Français Rite York Rite Standard d’Ecosse Rites Rite Ecossais Rectifié Rite Emulation Diminuer Imprimer Rite Ecossais Rectifié Le Régime Ecossais Rectifié est un système maçonnique et chevaleresque, constitué en France dans la deuxième

19ème siècle. Les compagnons se regroupent par métiers ou groupe de métiers. Il y est question de rites et de rituels, de cérémonies d’initiation, de signes, de mots et d’attouchements de reconnaissances et de  marques distinctives : les couleurs et les cannes. C’est à cette époque que les compagnons assurent « que ce que tu fais te fait ». Ils évoluent selon trois états : apprenti, compagnon et maître. Pour être plus précis, en affilié ou aspirant, compagnon reçu et compagnon fini. La notion de

s'acheminer à mourir" disait Montaigne. Rien dans votre cheminement initiatique ne laisse présager ce drame que vous venez de vivre ce soir. Vous avez été introduit dans un lieu de désolation, dans un lieu ou l'on pleure le maître disparu. Trois compagnons l'ont assailli successivement, le blessèrent et le dernier d'entre eux tua HIRAM. Notre Maître HIRAM refusa de livrer le mot de reconnaissance des Maîtres. Roger Dachez dit : « avec un mot, un signe, une légende et un secret, on a tous les

Le Signe à l'OrdreS'inscrivant dans une démarche initiatique un maçon est un éternel apprenant. Apprenant des autres mais aussi de soi-même. Un apprenant, autrement dit en somme un apprenti.Selon le Robert, l'apprenti est une personne qui apprend un métier et par extension s'instruit avec un maître. Ainsi l'apprenti, se retrouve dans cette situation paradoxale de tendre à maîtriser quelque chose qu'il ne connaît pas. Pour reprendre une image de la vie courante, de ne découvrir les effets de l'eau

côtés de l'angle droit est égale au carré de l’hypoténuse) dont se servirent les Maçons Opératifs dans la construction de fabuleux bâtiments comme nos cathédrales. Dans la Grèce antique tel qu’à Samothrace ce cordeau servait à délimiter le temple dans un lieu reculé à l’abri des regards en l’entourant après qu’il ait été sacralisé. Cet espace s’appelait le Temenos qui deviendra Temple. Plus près de nous les Compagnons Opératifs se réunissaient en Loges et entouraient de cet outil d’arpenteur le

simplement évoquer avec vous la fraternité. L’apprenti maçon est invite, avec la perpendiculaire, à plonger au fond de lui-même. Le fil à plomb lui indique la direction: dans le silence auquel il est contraint, bien à l’abri dans l’ombre protectrice de la colonne du Nord, il travaille sa pierre, travaille sur la connaissance de lui-même. “Visite l’intérieur de la terre et, en rectifiant, tu trouveras la pierre cachée”. Quand il devient compagnon, il prend le baton de pelerin pour explorer le monde

inaccessibles à notre expérience, nous soient quand même présentes : ce qui nous est présent, c’est un nom. Et un nom est un substitut d’un caractère abstrait qui lui-même est un substitut d’un caractère abstrait qui lui-même est un substitut de chose. Le mot Maçon, par exemple, est un signe, lui-même signe d’une langue alphabétique, le français, censé représenter un homme engagé dans un processus de dépassement de soi à caractère matériel et (ou) spirituel. Ainsi la substitution est-elle, dans l’ordre du discours

1 La Porte basse ou « Que le haut & le bas n’est qu’une même chose » C’est une porte, elle est basse. Il peut arriver que des maîtres francs-maçons, certainement Rose-Croix ou derniers survivants des Templiers, demandent à un apprenti, de plancher sur « la porte basse ». Mais la « porte basse » existe-t-elle ? Et, si elle existe, symbolise-t-elle l’humilité, avant l’accès à la lumière ? Sans doute, ces grands maîtres ont-ils entendu les paroles de Jésus, et celles-ci résonnent-elles encore

 A LA GLOIRE DU GRAND ARCHITECTE DE L'UNIVERS VENERABLE MAITRE ET VOUS TOUS MES FRERES EN VOS DEGRES ET QUALITES Mon frère 1° surveillant m'a proposé pour ma planche d'élévation de travailler sur le tableau de loge du Compagnon, en m'intéressant notamment aux apports de ce tableau vis à vis de celui du premier degré, le but étant de relever les modifications intervenues plutôt que de dresser un état exhaustif des symboles présents dans l'un et l'autre. Je me propose de reprendre de manière succincte

le bonheur de découvrir qu’il allait aussi être une composante essentielle de ma vie de femme maçonne. Le pas incarne le rituel, il lui donne le temps de s’immiscer, d’infuser en chacune des sœurs lors des tenues. A voir une sœur retardataire se présenter selon les pas coutumiers, il sécurise notre loge. A voir la sœur experte se déplacer, il structure, il cadence, il rassure aussi.La marche du franc-maçon n'est ni utilitaire (marcher pour se rendre quelque part) ni inutile (marcher sans but) en revanche