Les Ordres Mendiants

Fax 02.98.94.87.30 Agrément SVV 2003-488 - SARL au capital social de 16000 euros APE 4779Z - SIREN 451 398 895 - SIRET 45139889500024 TVA intra-communautaire FR6745139889500024 Liste pour la vente du samedi 12 février 2011 N° de vente : 270 Ordr Désignation 1 2 3 4 5 6 Médaille de la Légion d'honneur, période IIIème République (en écrin, très léger saut d'émail) Médaille militaire dans son écrin ; on y joint une copie de sceau impérial en bronze Glaive d’ infanterie de la garde nationale

différents représentants des classes sociales sur le point de mourir. La dernière source d’inspiration et non la moindre est sans doute liée aux représentations théâtrales de danse de la mort jouées lors des prédications et sermons populaires des Ordres Mendiants (Franciscains, Dominicains). Emile Mâle soutient que le thème de la danse macabre est illustré pour la première fois en France et qu’elle fut réalisée au cloitre du cimetière des Innocents à Paris en 1424, malheureusement détruite aujourd’hui

caractérise par le fait que l'homme prend une place à part entière dans l'univers. Le bestiaire divin a été écrit à peu près la même année que la validation de la première règle franciscaine en 1210, il a donc été rédigé à l'aube de l’avènement des ordres mendiants. Ce document nous présente des extraits de l'introduction ainsi que du chapitre 1 consacré au lion et du chapitre 22 consacré au singe du bestiaire divin. Qui sont deux animaux rares et exotiques pour la société occidentale médiévale mais qui

hospices, Hôtels-Dieu et maisons de charité • Dés le moyen âge se mettent en place des établissements accueillant les pèlerins, les vieillard impotents, les malades, les infirmes et parfois les orphelins. • Les règles et constitutions de nombreux ordres cléricaux, dont les principaux sont les Augustins et les Bénédictins, imposent aux religieux le devoir d’instruire les enfants, de nourrir ceux qui sont pauvres et délaissés. • Des Frères et Sœurs engagés au service du Christ au sein d’une communauté

pas l'approcher, de ne même plus le regarder, et qu'elle eût à suivre, sous peine de damnation, tous ses ordres qui étaient irrévocables ». Les funérailles seraient faites comme le désiraient ses parents. Puis il abandonnerait tout, même ses vêtements. On enterra ses parents, et il disparu dans la montagne après s'être retourné plusieurs fois. Chapitre III : « Il s'en alla, mendiant sa vie par le monde ». Il obtient l'aumône. « Par esprit d'humilité, il racontait son histoire; alors tous

tombe enfin a fermé leur paupière, Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre Dans l’étroit cimetière où l’écho nous répond, Pas même un saule vert qui s’effeuille à l’automne, Pas même la chanson naïve et monotone Que chante un mendiant à l’angle d’un vieux pont ! Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? O flots ! que vous savez de lugubres histoires ! Flots profonds redoutés des mères à genoux ! Vous vous les racontez en montant les marées, Et c’est ce qui vous

marchands, des médecins, des juges, des avocats, des procureurs, des voleurs, des escrocs… . En se mettant au service des différents représentants de l’époque, ou en les fréquentant, le picaro porte un regard critique sur ces maîtres issus des principaux ordres de la société de l’ancien régime. Le picaro assiste en spectateur privilégié à l’hypocrisie incarnée par chacun des puissants nantis qu’il critique à partir de sa condition de déshérité puisqu’il ne s’érige pas en modèle de conduite. - Les nobles :

républiques sœurs, les rectorats sont mis en place, les pays actuels ont d’ailleurs gardés ce système scolaire. La grande œuvre de Napoléon fut la refonte des grades militaires, il reprend en main l’armée pour en faire une structure hiérarchique à ses ordres, l’idée est d’éviter de nouveaux coups d’Etat en mettant ses officiers de confiance à de hauts postes. L’organisation territoriale du Consulat est administrative, le grade de préfet est instauré en 1800, l’idée profonde de Napoléon est d’avoir un

préoccupé que par Dieu. Sa mère, Blanche de Castille, l'instruit dans les Saintes Écritures et lui montre comment soumettre la chair à l'esprit. Il prie chaque jour, est assidu à la messe et communie lors des grandes fêtes. Fortement inspiré par les ordres mendiants - le souverain apprécie la compagnie des dominicains et des franciscains -, il est un auditeur passionné de sermons. Il aime citer des exemples et des anecdotes qui lui permettent d'affirmer sa foi. Sa piété s'appuie sur les œuvres, sur des aumônes

commande. Il était une plume à vendre au service d'une cause ou d'une autre. Il étudia à l'Université où il avait acquis sa maîtrise du latin, c'est au service de l'Université qu'il participa à un de ses principal combat, la lutte contre les ordres mendiants. Nombres de ses textes y sont destinés et même quand il n'est pas proprement question d'eux, il ne manque pas une occasion de leur lancer une pique. D'autre part, et c'est là notre propos, il s'illustra au service de l’Église par ses exhortations