Les Ordres Mendiants

l’autorité spirituelle sur l’autorité temporelle. La querelle des investitures va se prolonger pendant 40 ans. B- Le renouvellement des ordres monastiques Travail maison : Dossier pp 98-99 : La vie des moines cisterciens au XIIe siècle pour Cîteaux Doc 5 p 95, doc 5 p 103 pour les ordres mendiants 1. L’ordre clunisien -Solidement établi au XIe siècle. L’Abbé de Cluny dirige alors près de 1 500 établissements dont 815 en France -L’ordre

A) Réforme du clergé ou affirmation de sa paroisse : Organisation de l’Eglise : Eglise composée de clercs Clergé séculier : prêtres, évêques au contact des laïcs Clergé régulier : moines à l’écart des laïcs A partir du XIIe siècle, les ordres mendiants au contact des laïcs La réforme grégorienne : Les dictatus Papae (1075) ou affirmation du Pape il existe 27 propositions afin de réorganiser l’Eglise. Le pape condamne : - la simonie (achat) - le nicolaïsme (mariage des clercs) - les investitures

aumônes permettent le salut des plus riches : tout le monde y trouve son compte. Les ordres mendiants fondés au XIIIème siècle ont l’appui de l’Eglise. Cependant, à la fin du Moyen-âge, à partir du XIVème siècle, l’atmosphère change : le regard porté par les sociétés sur les pauvres se charge de méfiance. On dépiste, on condamne les « faux mendiants » (valides et non-religieux), on critique même les ordres mendiants. La pauvreté ne fait ainsi pas l’objet d’un consensus, les pauvres volontaires sont

qu’après sa mort, ses exécuteurs fassent dons de certains de ces biens aux ordres mendiants ou donnent l’aumône aux pauvres. Elle ordonne aux exécuteurs de donner aux pauvres 7 francs ce qui est une bonne somme.(l.22-24) L’image du pauvre fait allusion à l’image du Christ. En offrant cette somme aux pauvres, elle pense obtenir de Dieu sa miséricorde, son pardon. Elle donne également 20 sous aux quatre ordres mendiants de Paris, les Carmes, les Franciscains, les Dominicains, les Augustins qui avaient

du culte. La plupart ont trois nefs. Type d'église répandu en occident jusqu'à l'époque carolingienne. Bénédictins: Ordre religieux fondé par st Benoit de Nursie (480-547) et qui, par des réformes successives, donne lui-même naissance à d'autres ordres ou congrégations, telles que Cluny à partir du Xe, et Cîteaux à partir de l'extrême fin du XIe siècle. Bénéfice: Terre tenue par un vassal contre la prestation d'hommage à son seigneur. A partir de la 2e moitié du XIe, le terme cède la place à fief

avoir lu le message de l’évangile de Matthieu : « Dans votre ceinture, ne glissez ni pièce d’or ou d’argent, ni piécette de cuivre. En chemin, n’emportez ni besace, ni tunique de rechange, ni sandales, ni bâton. ». Il créa ce que l’on appelle les ordres mendiants vivant principalement de l’aumône. D’autres traditions religieuses (islamiques, bouddhistes) reprennent cette perspective et la définissent comme un moyen d’apprendre l’humilité et de la mettre en pratique. Au début des années 2000, la mendicité

personnage de Guillaume de Baskerville et celui de Jorge de Burgos sont opposés sur différents points. Tout d’abord, Guillaume de Baskerville est un moine franciscain alors que Jorge de Burgos est un moine bénédictin. Ils appartiennent donc à deux ordres différents. Guillaume de Baskerville est surtout basé sur la réflexion, il s’appui sur des faits réels pour résoudre son enquête. Il se montre calme et persévérant. Il ne se satisfait pas seulement des explications qu’on lui donne, il cherche les

Par exemple ; « Si vous vouliez, monsieur, me secourir de quelque aumône ? » l. 1042-1043. Dans l’extrait, le pauvre est reconnu comme mendiant. L’infériorité du pauvre est aussi mise en évidence par les vouvoiements ; « Je vous assure » l. 1064, « voudriez-vous » l. 1069 et par la répétition de « Monsieur » l. 1042 et 1046. Dernièrement, le portrait du mendiant qui montre sa faiblesse est mise en place dans la citation « Hélas, Monsieur, je suis dans la plus grande nécessité du monde. » l. 1059

Le peuple Il est composé de paysans sans terre ou de manoeuvriers travaillant de leurs mains pour les autres. Victimes des mauvaises récoltes et des guerres, ils sont les premiers atteints par les épidémies et la misère, devenant alors mendiants et révoltés. Les révoltes populaires ont été très nombreuses surtout au XVII siècle. Une société très chrétienne: Le pays est presque en totalité catholique. Les juifs et les protestants sont peu nombreux. Le clergé catholique est très

responsable de la guerre. Signé par la nouvelle République de Weimar née en novembre 1918, il est considéré comme diktat par beaucoup d’Allemands. DESCRIPTION ET ANALYSE Victimes directes de la guerre • On peut voir très visiblement, un invalide mendiant n’ayant surement plus de travail, de maison n’y de bras et de jambe • On peut ensuite apercevoir aussi visible un autre invalide qui lui est plutôt bourgeois affichant sa croix de fer se qui le fait reconnaitre le faite d’avoir participé a la guerre