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avaient signé la Charte des Nations Unies. En 1948, sur 56 États, 48 ont voté la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. Actuellement, il y a 192 États admis à l'ONU - il y a une vingtaine d'États qui ne sont pas membres. En adhérant à l'ONU un État endosse à la fois la Charte des Nations Unies, et la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, qui est devenu un acte annexe de la Charte. 2. Il n'y a pas eu de ratification de la Déclaration dans les États : ce n'était pas nécessaire puisque

-Organisations Non Gouvernementales (écologie : Greenpeace, WWF ; Humanitaire : Croix rouge ; Droits de l’Homme : Amnistie internationale ; …). -Multinationales par leurs poids économique devenu acteur majeur. Certains ont 1 chiffre d’affaires>au PIB d’un Etat (Wall - Mart : > Turquie ; Carrefour avec Hongrie), si on ajoute le chiffre d’affaires des 10 1eres multinationales > 64 des derniers PIB à l’ONU. Cette interaction sur la scène internationale d’entités ayant des différences de qualité pose le

: au XVIéme siècle, au XIXe siècle et dans les années 1960. Ainsi, dans cette troisième phase, l’économie internationale devient globale, multinationale avec la croissance des investissements directs à l’étranger. La mondialisation renforce les concurrences à différentes échelles suscitant à la fois attirance et rejet. Qu’est-ce que la mondialisation, grâce à quels acteurs fonctionne t-elle et quelles en sont ses limites? Dans une première partie, nous étudierons l’explosion des flux mondiaux, à

terme à la lutte de 91, plusieurs initiatives internationales vont être prises. Elles vont émaner de 2 organisations internationales: l'ONU et l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). Cela va aboutir à la mise sur pied sur le territoire de la Géorgie et notamment dans les régions frontières entre l'abcasie frontière et l'océtie frontière d'opérations placées sous commandement unique d'un État qui sont composées de forces militaires. Ces forces militaires n'ayant pas compétence

et contrôlent 770000 filiales. Elles réalisent 20% du PIB mondial, le tiers du commerce mondial. Les 100 premières sont responsables du tiers de l’investissement direct dans le monde. Elles appartiennent majoritairement à la Triade, les plus nombreuses étant étasuniennes. ( Grâce à leur puissant réseau de filiales localisées dans les pays choisis pour leurs avantages économiques (coût de la main d’œuvre), financiers (défiscalisation) et politiques (stabilité), elles tirent profit de l’intégration

du New Public Management est d’insuffler « l'esprit d'entreprise » dans l’appareil d'Etat en introduisant des logiques de marché dans son fonctionnement, perspectives de la gouvernance privée comprises 3 , c’est-à-dire en faisant comme si la concurrence qui est toujours citée comme étant fondatrice de l’efficience du marché puisse tenir lieu de principe politique. Un tel projet s'est mis en place à partir de la décennie 80, d’abord en Grande-Bretagne, du fait des promesses politiques de réduire

de cette production semble venir de la zone ouest ou elle bénéficie des réserves de la forêt classée de l’Ouémé supérieur. Mais l’igname est aussi produit dans toutes les autres zones péri-urbaines ou certains de nos interlocuteurs ont pourtant fait état d’une baisse de productivité. La filière n’a pas connu une évolution de la technologie, et elle ne bénéficie pas de l’apport des engrais. Les modes de production principaux sont la petite production paysanne avec vente du surplus, pratiquée plutôt

investis dans les activités productives) ( certains pays dépendent aujourd’hui de ces flux (Singapour : les IDE représentent 73 % du PIB vs 0.7 % au Bangladesh, signe d’une économie très peu attractive…) IDE entrants = signe de l’attractivité d’un Etat, de son intégration dans la mondialisation IDE sortants = territoires émettant le capital et donc commandant la mondialisation ( Flux immatériels ou invisibles : information et communication grâce aux nouvelles technologies de l’information et de

encore la victoire sur l'Accord Multilatéral d'Investissement. Le mouvement atteint alors son apogée en 99 lors des grandes manifestations de Seattle. On parle alors d'antimondialisation. Un tournant s'opère en janvier 2001: des syndicats et des ONG brésiliens réunissent à Porto Alegre des participants du monde entier afin de reprendre l'expérience du "Contre Davos", forum organisé en 2000 par Samir Amin à Davos pour faire la critique du Forum Economique Mondial, qui se déroule chaque année à Davos

riches comme dans les pays pauvres. Différents rapports en arrivent à la conclusion qu’un fossé se creuse entre une élite mondiale composée de personne très qualifiée, au salaire élevé, et une main d’œuvre non qualifiée qui subit de plein fouet la concurrence directe des pays en développement, où les salaires peuvent être jusqu’à trente fois inférieurs à ceux pratiqués dans les pays industrialisés. B/ Des besoins d’adaptation. 1) Une régulation nécessaire En février 1999, Fred Bergsten