Les Oiseaux

chercher le renard avec une grande vitesse. Le renard complétement abattu se laisse faire. L’aigle l’ entraîne vers son nid. Le rapace a beaucoup de provisions mais surtout il a énormément de poissons de toutes sortes. En effet les oiseaux adorent cela ! L’oiseau prépare un énorme bouillon pour mettre le renard dedans avec quelques poissons. Le renard ouvre l'œil gauche et voit l'aigle cuisinier. Il se doute très bien de ce qu’il prépare. Alors il va se cacher dans

arbre et commença sont discours sur la chasse. Il parlais de la chasse au oiseaux, lézards, grenouilles, et au insecte. L'année dernière fut très mauvaise nous ne mangions que des insectes et divers lézards, donc le rois nous motiva pour aller chassé puisque la saison des amours étais passer et le nombres d'oiseau dois être a sont maximum. Une fois le discours fini nos nous rendîmes vers l'arbre des dieux pour prier que les oiseaux sois très nombreux. Après cette séance nous somme aller vers les autres

est nu comme l'amour, L'aurore qu'il oublie lui fait baisser la tête Et contempler son corps obéissant et vain. Pourtant j'ai vu les plus beaux yeux du monde, Dieux d'argent qui tenaient des saphirs dans leurs mains, De véritables dieux, des oiseaux dans la terre Et dans l'eau, je les ai vus. Leurs ailes sont les miennes, rien n'existe Que leur vol qui secoue ma misère, Leur vol d'étoile et de lumière (1) Leur vol de terre, leur vol de pierre Sur les flots de leurs ailes, Ma pensée soutenue

héros, s’en suit ensuite le récit de cet été à Fort-de-L’eau. La chambre chez les Cléments, mademoiselle Valnay la prof de natation, la belle Marilyne, les copains du foot mais surtout la passion des oiseaux, qui le pousse à rejoindre M Fernando et Lamia pour les seconder dans la vente des oiseaux (bengalis, perruches et autres) et la loterie qui attire les badauds. Tout le long du récit, on est entre le présent et le passé, les souvenirs baladé au gré des pensées du héros, il discute, se chamaille

tout au long du poème : « hommes d’équipage » (v.1), « albatros » (v.2), « oiseaux des mers » (v.22), « le navire » (v.4), « les planches » (v.5), « avirons » (v.8), « tempête » (v.14). La rime « mers » / « amers » vers 2 et 4 soulignent phonétiquement le contexte maritime. Ces oiseaux majestueux évoluant dans un cadre unique, sont évoqués par des périphrases qui soulignent leur grandeur et leur majesté : « vastes oiseaux des mers » (v.2), « compagnons de voyage » (v.3), « rois de l’azur » (v.6)

bibliographie relative au sujet dont il assure l'encadrement scientifique. Il m’a toujours prodigué conseils et suggestions et m’a fait largement profiter de ces connaissances en zoologie des vertébrés et m'a fait partager son enthousiasme pour les oiseaux. Il n’a jamais cessé de ménager ses efforts pour m’offrir toutes les facilités matérielles et logistiques pour la réalisation iconographique du présent mémoire. Que Messieurs Mohamed RADI, Professeur à l’Ecole Normale Supérieure de Marrakech

reproduction. Durant ce cycle ont lieu des pertes plus ou moins importantes dues : -A la non éclosion de certains œufs (non fécondés ou morts), -A la mort ou malformation des alevins -A différents problèmes d’hygiène -A des prédateurs (rongeurs, oiseaux...) C’est ce que nous allons voir dans la deuxième partie. Schéma récapitulatif du cycle de la truite : Deuxième partie : les facteurs affectant la production : Dans un élevage de truites on observe souvent des

Sujet d'invention Mesdames et messieurs les oiseaux et autres animaux, je souhaiterais vous faire part de mes pensées au sujet de cette affaire. Pour commencer, je trouve votre jugement à l’encontre du genre humain et donc de moi-même calomnieux. Vous débutez votre discours en m’attaquant sur mon apparence extérieure différente de la votre. Oui je n’ai pas de plumes, oui je ne vole pas, oui j’ai des dents. Dois-je être accusé pour cela ? Puis

79 ans, Jacqueline, cheveux blanc, yeux bleu cristallin, une vielle dame ordinaire qui montrait,de ça vieillesse, un air innocent de ça vie humaine.C'était ma seule et unique famille.  Tout était si calme, sans un bruit,on entendait juste des oiseaux chantants; et nous sentâmes l'odeur des feuilles morte tomber au sol. C'était une journée que pesible.  Beaucoup d'année, déjà, que je sentais la nature m'emporter. La nuit arriva enfin. Comme tout les soirs, je mangeais dans mon chalet dans l'obscurité

 fruits      • Au  bal  Tabarin   • Le  Temps  qu'il  faisait  le  14  mars   • Les  Yeux  stériles   • L'Espion     • L'Angoisse  et  l'inquiétude   • L'Arbre-­‐rose   • Plante-­‐aux-­‐oiseaux   • Les  Amis   • Le  Don   II. LE VEGETAL : ENTRE VIE ET MORT Effectivement,  nous  devons  nous  rendre  compte  que  le  végétal  se  situe  systématiquement  entre  vie   et  mort  :  il  évoque