Les Nuits blanches

minéralogique, salle des pendus 1904 : Amélie, fortunée (ferme à Cernay, pavillons, château, duplex à Mulhouse), associée à un banquier et un industriel -tube à 300 m  carotte  chlorure de sodium (sel de cuisine) -1300 m  tube : 600 m  couches rouges/blanches 1 de 4m20 l’autre de 90 cm  couches de potasse 20m  + 1 °C 600 m  35-40 °C – 1100 m  52-58 °C (il fallait boire énormément, environ 17 litres d’eau par jour) Potasse  engrais à 95 %  5è producteur mondial / 5%  autres formes (médicaments

maison et ses toitures bleues Où tant d'amis, dans toutes les saisons, Pour nous revoir avaient fait quelques lieues, Adieu maison. Adieu vergers, les caveaux et les planches Et sur l'étang notre bateau voilier, Notre servante avec sa coiffe blanche, Adieu vergers. Adieu aussi mon fleuve clair ovale, Adieu montagne! Adieu arbres chéris! C'est vous qui êtes ma capitale Et non Paris. L'ALBATROS DE CHARLES BAUDELAIRE Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipagePrennent des albatros, vastes

violents --> dessèchement du sol et des plantes (si la plante se dessèche, les stomates se ferment, -> photosynthèse réduite et donc diminution de la fabrication de matière organique et diminution de la croissance - Etes brefs et frais et longues nuits polaires aux températures très froides. Pendant l'été court, il faut faire : germination, floraison, reproduction, fructification => multiplication végétative plus économique. Existence de beaucoup de plantes vivaces.. La période de croissance

Américains : « Deux guerres, une planète en péril, la plus grande crise financière depuis 1 siècle. En ce moment même, nous savons qu’il y à de courageux Américains qui se réveillent dans les déserts d’Irak […] des pères et des mères qui passent des nuits blanches et qui se demande comment ils pourront payer leur emprunt, les honoraires du médecin » Il veut dire qu’il sait que tout le monde est concerné être qu’il prend conscience des problèmes sociaux. Il sait qu’il ‘aura pas toujours raison, et qu’il

d'hermine les chevaux de frise Que l'on voit partout Abandonnés et sinistres Chevaux muets Non chevaux barbes mais barbelés Et je les anime tout soudain En troupeau de jolis chevaux pies Qui vont vers toi comme de blanches vagues Sur la Méditerranée Et t'apportent mon amour Roselys ô panthère ô colombes étoile bleue Ô Madeleine Je t'aime avec délices Si je songe à tes yeux je songe aux sources fraîches Si je pense à ta bouche les

As-tu vu s'apprêter l'exécrable festin ? Ou plutôt dans une île, assis sur le rivage, Attends-tu ton ami voguant de plage en plage ; Ton ami qui partout, jusqu'aux bornes des mers Où d'éternelles nuits et d'éternels hivers Fout plier notre globe entre deux monts de glace, Aux flots de l'Océan court demander ta trace ? Malheureux ! tes amis, souvent dans leurs banquets, Disent en soupirant : " Reviendra-t-il

pupitre et les arbres Sur le sable de neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur

 D’autres l’attribuent à un  armateur  grec  qui,  ne  supportant  plus  la  mer  Méditerranée,  a  choisi  cet  endroit  pour  finir  ses  jours  et  surtout  pour  échapper  à  la  justice  de  son  pays.  Ici la  mer  est  bleue. La mer est verte. Sa chevelure est blanche. En face,  la cabine  de  bain du  prince  ou  de l’armateur a  pris  les teintes du sable. Ce  n’est  pas  hideux. C’est  incongru,  comme  cette histoire que  j’ai inventée  un  soir en écoutant une chanteuse à la radio.  La rumeur l’a attribuée à une chanteuse ou à une danseuse qui a 

"Quand il rentrait au milieu de la nuit, il n'osait pas la réveiller. La veilleuse de porcelaine arrondissait au plafond une clarté tremblante, et les rideaux fermés du petit berceau faisaient comme une hutte blanche qui se bombait dans l'ombre, au bord du lit. Charles les regardait. Il croyait entendre l'haleine légère de son enfant. Elle allait grandir maintenant ; chaque saison, vite, amènerait un progrès. Il la voyait déjà revenant de l'école à la tombée du jour, toute rieuse, avec sa brassière

disais au début, ma quiétude n’est plus. Je fais face à un dilemme de choix, cela ne m’était pas arrivé depuis 2 ans environ quand il fallait que je trace mon chemin universitaire. Je ne vous dis pas les maux de tête que cela a occasionné, les nuits blanches interminables. Vous aurez peut-être pitié de moi, et ça je vous l’accorde. Mon ventre était noué, j’avais des sueurs froides. Et oui, quand il s’agit de choisir son avenir, faut surtout ne pas regretter son choix. Cette fois, je crois que c’est