Les Mots Mentent Ils

Je ne serai pour personne une excuse, pour personne un exemple. * Jusqu'ici, les romanciers se sont contentés de parodier le monde. Il s'agit maintenant de l'inventer. *** [B] BARTABAS * Pour parler à un cheval, il n'y a pas besoin de mots. C'est une étreinte charnelle qui alimente nos rêves.   * Je vois parfois dans le regard d'un cheval la beauté inhumaine d'un monde d'avant le passage des hommes. BLAKE William * Celui qui n'ose pas regarder le soleil en face ne sera jamais

d’une stendhalienne impénitente, plus vraiment naïve et assurément plus jeune du tout. « Et des jours et des nuits réglés par tes paupières » P. Eluard. Dans les chapitres qui concernent l’amour de Lucien et Bathilde, les occurrences des mots « regard », « yeux », « voir », sont si nombreuses qu’on ne saurait toutes les relever : une sorte d’obsession se lit dans cette insistance, cette focalisation sur la vue.1 Et ces occurrences ne concernent pas que les deux jeunes gens : les autres

je sens en moi la même force qu’alors » (Au nom de tous les miens, 1971). QUELS MOTS POUR DIRE L’HORREUR ? Une autre question se pose : comment parler des camps ? Les mots de tous les jours se révèlent impuissants à dire l’inconcevable. Tous les auteurs en font le constat. Martin Gray commence son évocation des charniers de Treblinka par cet aveu d’impuissance : « Ici, il me faudrait une autre voix, d’autres mots. » Pour sa part, Jorge Semprun, dans L’Écriture ou la Vie (1994), suggère que l’existence

je sens en moi la même force qu’alors » (Au nom de tous les miens, 1971). QUELS MOTS POUR DIRE L’HORREUR ? Une autre question se pose : comment parler des camps ? Les mots de tous les jours se révèlent impuissants à dire l’inconcevable. Tous les auteurs en font le constat. Martin Gray commence son évocation des charniers de Treblinka par cet aveu d’impuissance : « Ici, il me faudrait une autre voix, d’autres mots. » Pour sa part, Jorge Semprun, dans L’Écriture ou la Vie (1994), suggère que l’existence

Ceux que tu y laisse pénétrer, Peuvent y construire du nouveaux. O grand premier, O créateur Voici un de tes fils Venu insuffler, pour le mouvement, Pour la vie, de l'envie Arrivé devant une Mer, Prit par l'Esprit de Moïse Quelques mots sortir de son Ame "J'ai aux vagues leur fréquence J'ai au vacarme, sa destruction J'ai aux vaches leur ruminances J'ai aux valeurs, de nouvelles O Jehovah, ouvre moi tes bras. Je suis un déjà, Sur les cendres de ceux qui ont connue le trépas

Blanchiment », méthode qui consiste à tromper les consommateurs sur les pratiques environnementales d’une société ou les avantages environnementaux d’un produit ou d’un service. Aujourd’hui, sur 1000 entreprises qui portent le label « bio », 35% mentent pour vendre. Ipsos estime que ce chiffre est en hausse et ne cessera d’évoluer d’ici quelques années. En public, tout le monde à la fibre écolo ! En réalité, certains se sentent beaucoup moins concernés que d’autres. Certaines entreprises n’ont pas

de développement (Dunn, Tarter, Mezzich et al., 2002; Kroll et Taylor, 2009; Locke et Newcomb, 2004). Stigmatisation et honte… Les enfants croient souvent que d’une certaine façon, ils sont responsables de la consommation de leur parent. Ils mentent, cherchent à cacher leur réalité aux personnes de leur entourage. Ils ont honte de la conduite de leurs parents surtout si ces derniers consomment des drogues illégales. Les enfants ont habituellement plus honte de leur mère que de leur père dans

cartes se suivent en 2 : V – 9 – 7. La deuxième commence avec le dix de pique et les valeurs des cartes se suivent en 1 : 10 – 9 – 8. Les couleurs cœur-pique-carreau-trèfle se répètent. La carte manquante est donc le 8 de pique. 23 c. Tous les mots de la liste prennent un x au pluriel. Seul HIBOU suit cette règle d’orthographe. 24 c. Il faut additionner 7, puis 6, puis 5, puis 4. Le nombre suivant est 29  3  32. 25 d. Dans la série verticale, l’écart entre le premier et le deuxième chiffre

la démocratie (importante au niveau individuel et global). La c° est fragile, nécessite une manœuvre. On constate avec la mondialisation une accentuation des deux effets boomerang. L’un critique, qui se manifeste quand les actes sont trop loin des mots (violation des droits de l’H). L’autre positif, quand des évènements mobilisent la solidarité mondiale (catastrophe en Asie, en 2004). But du livre  Réflexion sur le statut de la C° dans nos sociétés et sur son rôle dans la mondialisation. Comment

choqué, en quelque sorte, car on m’a toujours appris l’amour des mots et de leur sonorité. La poésie, bien qu’elle soit un art à part entière, prend ses racines dans la chanson, et, tel deux arbres qui grandiraient cote à cote, et dont les branches s’entremêlent, ils puisent chacun dans leurs ressources pour arriver à la forme la plus pure et plus complète de ce qu’un être humain peut concevoir . La poésie, c’est la musique des mots. Sans doute cette idée d’anthologie de la poésie m’a-t-elle déplu