Les Héroïnes Tragiques

autre, la fatalité du destin, la force obscure des passions et une fin tragique où la mort est la seule issue. • Sujet posé : Montrer que le drame passionnel, destructeur et funeste de Phèdre est l'évocation d'une vision fataliste de l'être humain victime de ses passions. • Sujet divisé : I. Une passion irrépressible II. Une héroïne pathétique III. Un destin funeste DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF [I.] [II.] Une héroïne pathétique A. Phèdre impuissante, subit la vengeance impitoyable des

scène est uniquement centrée sur les sentiments des personnages et refuse tout pittoresque ; d’autre part, nous verrons que le tragique vient ici nuancer le romanesque de l’épisode. Dans Mme Bovary, le bal est un épisode déceptif. Si Emma idéalise sa rencontre avec le « vicomte » le temps de quelques valses, le narrateur ironise quant à lui sur cet idéalisme de son héroïne, « séduite par une mauvaise littérature » (U. Eco). Le lecteur est donc dégrisé ; rendu insensible à l’ « ivresse » d’Emma, il

présentée pour la première fois le 1er janvier 1677. C’est la dernière tragédie profane de Racine avant un long silence de douze ans pendant lequel il se consacre au service du roi et à la religion. Le sujet de la pièce a déjà été traité par les poètes tragiques grecs et romains. Cette pièce a été victime de la création simultanée d’une pièce sur le même thème, de Nicolas Pradon, auteur d’un autre Phèdre et Hippolyte. En effet, Deux jours après la première représentation de la tragédie de Racine, une

La Princesse de Clèves, une héroïne tragique (soumise à des forces qui la dépassent) :- le poids de l’éducation morale- le poids du destin- le poids de la parole des morts : Mme de Chartres et M. de Clèves- un déchirement intérieur entre la passion et le devoir (dilemme)-la lutte contre

éclat qu'on avait jamais vu qu'à elle », « pleins de grâce et de charmes ». Mlle de Chartres semble être un archétype de la beauté féminine. Son portrait physique reste très stéréotypé et vague, il ne permet pas de la singulariser puisque toutes les héroïnes de roman héroïque présentent ces caractéristiques. Ce portrait est encore très éloigné de la précision des romans réalistes au XIXème siècle. 2. Fine fleur de l'aristocratie Cependant, même si son portrait physique reste très général, le narrateur

Nemour de la véracité de ses arguments • Faux dialogue -> Nemour n’a pas la parole • Procès d’intention pour ses inconstances hypothétique III. Une héroine tragique a. La fatalité de l’amour • Leit motiv du devoir et de la raison contre les passions héroine tragique • Fatalité pèse sur la scène : « ma destinée.. » 2visons tragiques du XVII° - Cornelienne : soucis de gloire - Racinienne. L’amour comme une alienation Conclusion - Elle condamne l’amour qui ne peut mener qu’à l’illusion

éclat qu'on avait jamais vu qu'à elle », « pleins de grâce et de charmes ». Mlle de Chartres semble être un archétype de la beauté féminine. Son portrait physique reste très stéréotypé et vague, il ne permet pas de la singulariser puisque toutes les héroïnes de roman héroïque présentent ces caractéristiques. Ce portrait est encore très éloigné de la précision des romans réalistes au XIXème siècle. 2. Fine fleur de l'aristocratie Cependant, même si son portrait physique reste très général, le narrateur

modernité. Nous pouvons ainsi nous demander par quels moyens Madame de Clèves, personnage principal de l’œuvre, a pu ainsi être qualifiée de “triple héroïne de l’amour, de la vertu et des convenances” ? Nous allons analyser cette citation en deux parties distinctes. En premier lieu, nous envisagerons le fait que Madame de Clèves soit une triple héroïne de l’amour, de la vertu et des convenances non seulement pour elle-même, mais également aux yeux de la cour. Puis, nous verrons que le coté héroïque

pièce, le dernier moment de l'action dramatique. Il comprend l'élimination du dernier obstacle, ou de la dernière péripétie, et a pour objectif de clore la pièce. Si le dénouement de la comédie classique typique comporte un mariage, le dénouement tragique est, à quelques rares exceptions près, marqué par le malheur. Moment clé de la représentation, le dénouement doit non seulement être déclencheur d'émotions chez le spectateur, finir d'une certaine manière la pièce en beauté, de façon à marquer le

sentiments qu'elle ne peut contrôler : épisodes de douleur intérieur dans le film ( passion dès le début avec les roses rouges : connotation de la douleur, du sang également ) C. Héroïne tragique : - en proie au doute : d'où la confidence avec Madame de Rosemonde : sensibilité d'une héroïne tragique. - enclos tragique - prend part à la catastrophe finale - est-elle innocente ? : Phèdre => un personnage complexe.