Les Hommes Mentent

| | -on | |l'ensemble des hommes comme êtres raisonnables sensiblement affectés | |

de la charité envers le prochain ;  mais la généralité de la formule laisse entendre d'autres sens  où surgit la réalité d'un comportement moins légitime :  -l'usurpation (cf.  la critique que Platon  fait des sophistes  qui prennent la place des  hommes compétents et des philosophes  dans les cités où règne le vote démocratique). |"Se mettre à la place de":

des révolutions châtrées dans l’un des pays chauds ? Vendre de l’exotisme, chargé de doutes à la xénophobie avérée ? Faire palpiter le lecteur en espérant passer un jour son œuvre au cinéma ? Ou simplement des errances politiques des partis et des hommes de mon pays et comment dicter aux décideurs mes stupides conseils et autres suggestions ! Ça c’est bien moi en fait ! Mais ça fait l’objet de lettres particulières ou de rares articles sur les journaux, pris à témoins ! Et non pas d’éditions !

Libre et insoumise Adoucie par mes mots tragiques Toi qui..... J'ai l’envie de te contempler Au delà du temps Sans que jamais ne cesse la passion Ni ton regard sur ma vie si fragile Toi qui... Je te rêve si loin, dans ce lieu Oublié des hommes Là où je m'enivre De tes douceurs, de ta beauté Toi qui... Sois mon opium pour Fuir le mal de vivre De ce monde Mécanique, plastique ? Toi qui m’entends  ! Sois près de moi !! Parles-moi Fuis-moi ! Toi qui !! §20. Andalouse Celui-ci

danse ............................................................... 140 Le chant du tombeau .............................................................. 143 De la victoire sur soi-même .................................................... 148 Des hommes sublimes ............................................................ 153 Du pays de la civilisation ........................................................ 156 De l’immaculée connaissance ................................................. 160 Des

l’esclavage s’érigent en juges. On peut tuer en Indochine, torturer Madagascar, emprisonner en Afrique Noire, sev aux Antilles. Les colonisés savent désormais qu’ils ont sur les colonialistes un avantage. [Is savent que leurs « maitres » provisoires mentent Done que leurs maitres sont faibles. baveurs sont venus plus tard ; que le grand respon- sable dans ce domaine est le pédantisme chrétien, pour avoir posé les équations malhonnétes : chris. tianisme = civilisation; paganisme = sauvagerie

il cherche à décrire le « vrai » : · Par des personnages nullement idéalisés, qui appartiennent au petit peuple – une aubergiste, un curé, des paysans, des acteurs ambulants… - et qui ne sont en rien héroïsés : ils aiment boire, se battre, mentent à l’occasion, se jouent entre eux des tours pendables (ainsi La Rancune et son éternelle victime Ragotin) ; quant aux « autorités » elles sont représentées par La Rappinière, un policier bien peu honnête… · Par des lieux réels mais qui n’ont

de la vie. b) Des règles humaines bafouéesNe respecte ni son père, ni les Dieux, ni les règles de l’hospitalité -> figure de la transgression. L37.38 « enjoliver la vie humaine » -> inutilité, futilité de ces lois humaines. Mépris pour les hommes L39 « Qu’ils aillent se faire pendre ». N’a aucune morale/aucun sens moral -> ne craint aucun châtiment/n’hésite pas à pratiquer le cannibalisme par plaisir -> transgression suprême. Acte d’une grande barbarie -> un monstre -> physique

perceptives les différences et le besoin que celles-ci soient respectées. Exemple : la notion « d’identité », plus les hommes entrent dans la mondialisation, plus ils veulent affirmer leurs racines. Avant, l’homme était définit par son identité, aujourd’hui, il est définit par ses relations. Avant, l’identité était un obstacle à la c°, aujourd’hui, elle en est la condition. Les hommes veulent à la l’identité et la c°, qui sont les deux piliers de la modernité. Identité, culture et c° forment aujourd’hui

jeu dificile de conduire les hommes. Avant, du temps d'Œdipe, quand il n'était que le premier personnage de la cour, il aimait la musique, les belles reliures, les longues flâneries chez les petits antiquaires de Thèbes. Mais Œdipe et ses fils sont morts. Il a laissé ses livres, ses objets, il a retroussé ses manches, et il a pris leur place. Qelquefois, le soir, il est fatigué, et il se demande s'il n'est pas vain de conduire les hommes. Si cela n'est pas un ofice sordide