Les Griffes de la nuit

expressive, la terreur du narrateur est mise en évidence « J'entendais autre chose aussi! »(l.32) par des phrases exclamatives. Des interrogations traduisent en revanche le doute et l'incompréhension du narrateur « Etait-ce dans ma tête affolée,dans la nuit impénétrable,ou sous la terre mystérieuse,sous la terre ensemencée de cadavres ce bruits? ». C'est donc à travers ce jeu de ponctuation que le fantastique est pour une première fois souligné. b) Les comparaisons permettent de mieux expliquer

bras armés de griffes cherchant à prendre des proies » (L.10-11) nous font penser qu’il s’agirait de monstre. Dès le troisième paragraphe, l’auteur aborde la raison ou plutôt ce qu’en général les gens ressentent quand il marche seul dans la forêt pendant la nuit, par exemple il nous dit : « Quiconque s’enfonce dans le contraire du jour se sent le cœur serré » (L.15) ou « Quand l’œil voit noir, l’esprit se trouble même pour les plus forts » (L.16) ou encore « Nul ne marche seul la nuit dans la forêt

d'écraser les hommes comme des épis. Aussi faut-il voir comme on le respecte, comme on l'entoure d'une vénération canine, comme on le place en haute estime au-dessus des animaux de la création. On lui donne la tête pour trône, et lui, accroche ses griffes à la racine des cheveux, avec dignité. Plus tard, lorsqu'il est gras et qu'il entre dans un âge avancé, en imitant la coutume d'un peuple ancien, on le tue, afin de ne pas lui faire sentir les atteintes de la vieillesse. On lui fait des funérailles

est créé un sentiment de révolte chez le lecteur. Commençons donc à relever les marques de la souffrance dans l’extrait. Tout d’abord, nous pouvons noter un champ lexical autour de la douleur et de la violence « déferla », « crier », « lutte », « griffes », « plainte » qui installe un cadre propice à la souffrance et à la mort. De plus, on peut observer la mise en place d’une ambiance sinistre à travers le cri de l’enfant : « monotone, discorde » sont des adjectifs qualifiant sa voix, mais qui pourrait

Commentaire composé semi-rédigé niveau Lycée sur un extrait situé au début de l'ouvrage dans la section La Petite toute seule (II, III, V) de l'oeuvre Les Misérables de Victor Hugo : la petite Cosette est contrainte, par une nuit d'hiver, d'aller chercher de l'eau au milieu de la forêt. Le passage étudié s'étend de "L'enfant regardait d'un oeil égaré cette grosse étoile ..." à "... un bruit d'agonie sous leur voûte monstrueuse". Extrait: Le noir envahit tout - Au tout début de l'extrait

générique, « Venise » et « le Conseil des Dix », une abstraction et une indéfinition, choix d’un terme neutre et passe-partout, le mot « chose » : « une chose grande et terrible »  Pouvoir invisible : images de nuit, de souterrains, de cachettes, « on entend quelque chose tomber dans l’eau la nuit », « un corridor ténébreux », « cette ombre »  Pouvoir dissimulé derrière l’anonymat : « qui n’ont ni simarre, ni étole, ni couronne, rien qui les désigne aux yeux »  Pouvoir nombreux contre un seul : abondance

ni la chaleur ni le froid. Je suivais un petit sentier de terre sinueux dans cette forêt nue, sans un tronc. Il faisait nuit mais la lune, invisible pour moi, noyait les bois de sa lumière qui coulait au travers d’un épais feuillage. Il recouvrait la forêt comme un toit mouvant aux caprices du vent. Il y avait de toi dans la clarté lunaire qui éclairait mes pas. Il faisait nuit comme en plein jour, mais tu n’étais pas là. J’avançais pas à pas, sans un bruit, on ne m’entendait pas. Un peu plus

dit :« Pardons de te déranger, mon cher gendre, l’heure est grave, ton… ton neveux est très mal en point ! Pendant la nuit avec son ami Agosto. Ils arrivèrent dans une ruelle sombre, ils virent au loin deux yeux ronds et verts. C’était une bette féroce aux Cros très pointues. Quand set jetée sur Martin, Agosto eue peur et partit en courant. Il. laissa sur le cou de Martin quatre traces de grifes assez profondes “.Je réfléchissais à la marnière dont j’allais lui dire.je monttai les escaliers et une fois arrivé

complice. Ce poème évolue dans un cadre urbain, sans doute même Parisien, à la tombée de la nuit. Quelques sentiments, se font remarquer assez vite, tel que les remords, les regrets, qui pour simplifier font référence à la nostalgie. Un autre poème que j’introduis dans ce dossier s’intitule « Causerie »,dans celui-ci le cœur du poète est un dépouille dévoré par les bêtes après avoir été « saccagé par la griffe et la dent féroce de la femme »,la femme est un bourreau dont le poète devient dependant,ainsi

s'indices de l'égoïsme et de l'obstination d’Erika. Egoïsme que dénote aussi le fait qu'il est onze heures passées et que la mère est toujours seule avec elle même. C'en est trop. A qui parler après la fin du film a la télévision! Il y a bien un débat de nuit, mais elle ne tient pas à le regarder car elle s'endormirait, ce qui est hors de question avant d'avoir réduit l'enfant a l'état de pelote informe et humide. Elle veut rester tout à fait éveillée la mère. Elle plante les dents dans une vieille robe