Les Fonctions De La Fable

faire aussi grosse que le bœuf Quelles sont les caractéristiques de la fable ? La fable comporte deux parties : le récit et la morale. Elle est écrite en vers, qui riment entre eux. I/ LE RECIT Il est écrit à l’imparfait et au passé simple, qui sont les temps du récit. La narration 1) Personnages : la Grenouille et le Bœuf. La grenouille est désignée précis : on sait que c’est elle le sujet de la fable. Elle est d’ailleurs au début du titre. Elle est appelée « chétive pécore »

Anciens. Il privilégiait en effet le retour aux sources antiques. Cette fable, tirée du livre III, illustre bien cette tendance puisqu'elle s'inspire d'Ésope et de l'historien Tite-Live, en délivrant un double message politique. La Fontaine veut faire réfléchir le lecteur en mettant en scène la relation entre différents éléments sur le sens et la fonction de la royauté. Nous analyserons l'organisation complexe de cette fable et en quoi celle-ci contribue à conférer à cet apologue une grande efficacité

La fable et le conte sont des récits illustrant des péripéties et aventures souvent mythiques pour donner une morale, la fontaine par exemple est un fabuliste du 17éme qui mettait en scène des animaux, les contes eux ont plus une origine de bouche à oreille. Reste à savoir à qui ces textes s'adressent-ils véritablement ? Un public innocent ou déjà averti ? De simples enfants ou des adultes ayant une certaine culture ? D’après les conteurs contemporains : «  les contes ne sont pas faits pour endormir

deux éléments face au vent. Le but de cette fable est donc d'en dégager les enjeux et de déterminer les différentes réactions entre le chêne et le roseau. Dans cette perspective, nous déterminerons dans un premier temps les caractéristiques de la fables, puis pour finir, nous dégagerons les deux philosophies de vie différentes que défendent le chêne et le roseau. La fable est un genre littéraire qui remonte à l'Antiquité gréco-latine.La fable d'Esope présente dans le corpus est l'une des

goût de la société, vit dans les salons = sorte de lien avec l’autre / misanthrope, hermine * modeste -> réserve, humilité - Formes littéraires : * Siècle où le théâtre est roi (Racine, Corneille, Molière), dialogue dans le théâtre comme dans la fable * Lettres, maximes => littérature morale vise à donner un savoir moral -> car les divertissements font oublier les notions de bien et de mal et il faut le leur rappeler * Le roman : registre pastoral => La scène littéraire du 17e s. est occupée

alors pour but de plaire et de divertir. Il connaît une évolution considérable dans le temps, sa fonction didactique s’affine et il permet de faire connaître un savoir, une expérience à un large public. Il peut aussi revêtir un rôle polémique lorsqu’il s’agit de dénoncer et de critiquer un défaut. L’apologue L’apologue, du grec apologus, « petit récit », est à rapprocher essentiellement de la fable et du conte, même s’il est présent dans d’autres genres comme le roman et la nouvelle. L’apologue

Fables » de la Fontaine Lors de la séquence « la justice sociale dans les fables de la Fontaine », nous avons vu en classe que les fables ont un pouvoir divertissant, une fonction didactique et une fonction critique. On remarque qu’à travers des illustrations des fables de Jean de La Fontaine, le pouvoir divertissant et les fonctions de ces apologues sont présents. En effet certains peintres ou illustrateurs comme jean Baptiste Oudry, Chagall ou bien encore Grandville ont tenu à ce que leurs illustrations

pourraient vous être posées pour la première partie de l’oral. - Cette fable est-elle morale ? - Comment s’exprime l’art de la fable ? - En quoi cette fable est-elle un apologue ? - En quoi cette fable est-elle satirique ? - Expliquez pourquoi cette fable correspond parfaitement au principe "instruire en plaisant" si cher à La Fontaine. - Que nous montre la comparaison des discours de l’âne et du renard ? - Quelle est la fonction de l’alternance des différentes formes de discours (DD, DIL ? DI)

commandent de la citadelle, qui ouvrit la porte de la citadelle du Sabin en échange de ce qu’ils portaient au bras gauche). On peut également noter dans cette fable une absence de dialogue ce qui permet de maintenir une certaine distance. On assiste à un montage de différents registres dans cette fable : épique, parodique. Dans cette fable il n’y a pas de pallier net, on saute d’un coq à l’autre selon un schéma emprunté au récit de bataille des historiens antiques. Il n’y a pas de dramatisation

Au 17ème siècle, la notion de « fable » n’existe pas au sens où on l’entend aujourd’hui. « Fable » vient de « fabw » qui signifie « langage des dieux ». La Fontaine en choisissant ce « genre » qu’est la fable, s’inscrit dans une tradition qui remonte du 8ème siècle avant Jésus-Christ avec « L’épervier et le rossignol » d’Hésiode à la période de la Renaissance où on a pu lire des auteurs humanistes qui reviennent sur l’œuvre d’Esope, comme Erasme, Montaigne, etc. La Fontaine exprime cette ascendance