Les Fables Commentaire Composé

Séquence 8 Les réécritures  : des Fables de La Fontaine aux fables modernes Objet d’étude E Les réécritures, du XVIIe siècle jusqu’à nos jours. Activités E Étude d’un groupement de textes E Lecture cursive : Exercices de style, de Raymond Queneau Sommaire Introduction 1. L’apport de La Fontaine à la fable 2. La fable au XXe siècle réécritures contemporaines 3. Techniques de réécriture Fiche pour la lecture cursive Séquence 8 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne Introduction Objectifs

suffisamment de puissance à un texte. Le style choisi par l’auteur va déterminer l’efficacité de l’argumentation. Pour persuader, impliquer un public dans une cause, l’auteur doit attirer l’attention du lecteur. Ainsi La Fontaine dans certaines de ses Fables s’adresse directement au lecteur en l’interpellant à travers des apostrophes ou l’utilisation de la deuxième personne. Dans le poème « Nox » tiré de Les Châtiments, Victor Hugo pour rendre sa critique de Napoléon encore plus efficace adjoint à la

Pour goûter une oeuvre d'art, faut-il être cultivé ? Sujet de dissertation philosophique proposé aux élèves de section S en DST le 14 janvier 2006 Nota Bene : Ce sujet fait également l'objet de commentaires dans les fiches méthodologiques ("didactique" et "empirique") de dissertation. 1. Détermination du problème 1.1. Définitions "OEuvre d'art" : la question est précise. Elle exclut l'art au sens de l'artisanat et les questions esthétiques en général (la question n'est pas de savoir

littéraire. D’abord, il cherche en vain un protecteur, mais en 1603 Henri IV lui accorde une audience. Malherbe devient poète officiel. L’évolution se Malherbe traduit le passage du goût baroque au goût classique. Il compose pour les grands, il est un poète universel (il compose les odes, les sonnets, les stances, les chansons). Il se consacre alors à la poésie officielle, mais impose aussi une réforme de la langue et fonde l’esthétique qui sera plus tard celle de la génération classique. Malherbe

contes voltairiens représentent par excellence le lieu de son engagement littéraire » – écrit Benoît Denis (2000 : 142). Voltaire est considéré comme le père du conte philosophique, même s’il n’a jamais utilisé ce terme pour désigner ses œuvres. Il compose ses premiers contes tardivement, pour amuser la société mondaine qu’il fréquente, et bientôt il s’avère qu’il a trouvé la forme la plus appropriée pour exprimer ses idées. L’écriture voltairienne possède tous les traits du discours parabolique

Nous aborderons ce texte par à un commentaire mixte : il est thématique, mais dans le fil du texte, en distinguant comme thème les cinq actes de la tragédie. 1. Vers 1 à 14, un tableau terrifiant ; 2. Vers 15 à 33, la parole du lion ; 3. Vers 34 à 48, la parole du renard ; 4. Vers 49 à 60, l'innocence de l'âne ; 5. L'épilogue moral. La problématique peut-être " Combien le talent du conteur se met au service de la volonté de la morale ? " 4. Commentaire : Axe 1 : Le tableau terrifiant :

par les sons et les cadences. La Bible était pour lui comme la chambre d’écho de son imagination. Ironie : traduite en anglais par les réformateurs, la Bible a permis à Shakespeare (catholique) d’inventer sa propre langue. Il se familiarise avec les fables antiques, Virgile, Horace, Ovide qui célèbre l’éphémère et le désir Devient notaire. Sa connaissance des termes juridiques n’est pas celle d’une observation superficielle mais d’un savoir-faire technique. Elle imbibe son style è Les Joyeuses Commères

les contes de fées littéraires au XVIIIe siècle 4/25 rustiques, 1547), chez Scarron (Le Virgile Travesty, 1648, chant II, et Roman comique, 1651, Chap. VII), chez Molière (Le Malade Imaginaire, 1673, II, 8), et chez La Fontaine (Le Pouvoir des fables, Livre VII, 4). Associés à une pratique narrative peu lettrée et souvent orale (le « folklore »), les contes de fées sont souvent liés à la tradition populaire. Le problème de l’inspiration et de la transmission des contes suscite actuellement les

 www.comptoirlitteraire.com présente ‘’Dictionnaire philosophique ou la raison par l’alphabet’’ de VOLTAIRE (1764) (535 pages) Il est composé de 73 articles. Voici des extraits et des commentaires de quelques-uns. Bonne lecture ! “Antitrinitaires” Voltaire, qui déclare dans l'article ''Morale'', que : «La morale n'est point dans la superstition, elle n'est point dans les cérémonies, elle n'a rien de commun avec les dogmes. On ne peut trop répéter que tous les dogmes

sonnet/mètre régulier  poésie amoureuse (Pétrarque, Ronsard…)                                     dédicace, don - références à l'Antiquité : "malédiction", "mémoire", "vaisseau", "tympanon", "airain", "aquilon", mais aussi à la tradition poétique : "fables incertaines"                                     La poésie traverse les âges      L'écriture de la poésie datant de l'Antiquité, le poème, le poète et ainsi que la femme concernée deviendront éternels. II - La poésie, instrument d'immortalité