Les Externalités Négatives De La Croissance

a croissance économique a aussi des effets pervers se traduisant par des externalités négatives, en d'autres termes du « mal-développement ». En effet, il existe des exclus de croissance économique notamment dans les PDEM (Pays Développé à l'Économie de Marché) où le progrès économique ne se traduit pas forcément par le progrès social. Certains pays, comme l'Arabie Saoudite, ont un taux de croissance élevé et un faible IDH et au contraire, d'autres pays, comme la Corée du Sud, ont un faible taux

 CHAPITRE I : LA CROISSANCE La croissance est un phénomène économique précis qui historiquement est géographiquement situé c’est-à-dire que les premières références se trouvent en Europe. De plus c’est un phénomène daté avec la révolution agricole (2nd moitié du 18ieme sicle) Nous avons connu dans le passé une période de croissance rapide en Europe, c’est a l’aube de la fin de la seconde guerre mondiale jusqu’à la fin des années 70. Si on se limite au cas de la France, cette période

Chapitre 1. Sources et limites de la croissance 1. Les facteurs de production et le progrès technique sont les contributeurs de la croissance. Doc 6p 35 Croissance = f (travail, capital, progrès technique) La croissance s’explique par l’augmentation du facteur travail et du facteur capital, mais aussi et peut-être surtout par le progrès technique qui permet de combiner efficacement le travail et le capital. * Le facteur travail : la population active occupée ou le nombre d’heures travaillées

d’intérêt public lorsque le financement individuel est impossible (ex : la production d’électricité ; l’éducation). Les services collectifs sont financés par les recettes (impôts) perçus par l’Etat. Ses dépenses entrainent des externalités (conséquences positives ou négatives d’une action de l’Etat). Le 4ème devoir du souverain est de maintenir et de conserver son devoir grâce à l’éducation et à la légitimité * « Un pays, une spécialisation ». David Ricardo (1772-1823). Ricardo dénonce les lois

économiquement, il faut la conjonction de 4 conditions : Une croissance industrielle très rapide et diversifiée ; Une activité économique fortement intégrée au commerce mondial ; Une économie ouverte aux IDE Un niveau de vie qui permet l’émergence d’une classe moyenne et dont les modes de consommation se rapprochent de ceux des pays riches. b) Les limites du développement Le développement des pays émergents entraîne des externalités négatives qui peuvent être regroupées autour de 4 axes : Une répartition

durable Le Développement Durable est issu des limitations de la croissance Le concepte du PIB a été crée dans un contexte très spécifique, après la seconde guerre était un bon insutrment de mesure du bien être social. Aujourd'hui, il n'est peut être plus ce bon instrument de mesure en particulier dans les pays avancés. Les limites du PIB comme indicateur de richesse et de progrès social : - Le PIB prend en compte les externalités négatives pour le bien être social (ex : détruite le patrimoine naturel)

L'échange international est-il bon pour la croissance ? Arnaud PARIENTY Alternatives Economiques -  n°206 - Septembre 2002 L'échange international permet à chacun d'utiliser au mieux son travail et donne accès aux ressources et techniques du reste du monde. Il devrait être un facteur de croissance majeur. Mais les bénéfices de l'ouverture sont inégalement répartis et ne peuvent se concrétiser sans un certain protectionnisme. Il y a donc complémentarité entre ouverture et protectionnisme...

consommation et de l’investissement va avoir pour conséquence d’augmenter la demande adressée aux entreprises. Cette augmentation de la demande va encourager les entreprises à développer leur activité, avec des effets positifs à court terme sur la croissance et l’emploi. B) Le risque d’une offre de monnaie trop importante : l’inflation L’abondance de monnaie dans une économie peut avoir des effets stimulants à court terme, mais il faut tenir compte de l’impact potentiellement négatif de cette

Définition La croissance économique est l’augmentation soutenue sur une ou plusieurs périodes longues du produit global brut ou net en termes réels calculé comme la somme des valeurs ajoutées par les unités de production ; il mesure l’accroissement de la richesse du pays. Décomposition Deux approches : 1. en termes d’offre, la contribution des facteurs de production à la croissance économique ; 2. en termes de demande, la contribution des emplois finals à la croissance économique.

politiques climatiques efficaces * Inertie du climat, cad qu’il y a un phénomène d’entrainement des changements climatiques Le GIEC propose des scénarii différents selon : * L’évolution des prix * L’évolution de la population * La croissance économique * L’évolution des technologies M. Bermudez Neubauer (Accenture) : les investissements technologies en faveur de l’environnement se font à 40 ou 50 ans. Or ils se font dans un contexte de très grande incertitude, d’où la grande réticence