Les Explications Du Sous Développement

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Les deux textes présentent les Français différemment même si les deux évoquent le succès apparent des Français, l’extrait du texte du baron de Lahontan est disposé sous forme d’une critique. |Argument principal 1 | |La richesse est le principal trait des Français présenté comme un symbole de supériorité dans les textes

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Oui, dans les 2 textes, celui de Lahontan comme de Cartier, les Français sont présentés comme imposant leur vision du monde.    Étape 2 : Rédaction de l’introduction A une époque de découvertes et de changements, alors que les limites de la Terra Incognita était sans cesse repoussé, l’un des styles de littérature les plus populaires était le récit de voyage. Celui-ci permettait a ceux restés a l’arrière

Étape 1 : Plan du développement |Argument principal 1 | |     Le nomadisme, dans Le Survenant, créé le bonheur puisque que le nomade est maître de lui-même. | |Sous-argument 1.1 |Sous-argument 1.2 |Sous-argument 1.3 | |     Le nomade ne doit rien à personne

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non. Bien que Cartier et Lahontan voient le « sauvage » comme un être inférieur et démuni, le degré d’intensité de cette différence hiérarchique diffère d’un texte à l’autre. Argument principal 1 (Ressemblances) Autant pour Cartier (1494-1554) que pour Lahontan (1666-1716), le « sauvage » est présenté comme un être inférieur, inoffensif, que nous pouvons modeler à notre façon. Pour les deux Français, dans cette quête de découverte et d’exploration

Étape 1 : Plan du développement Argument principal 1 Le survenant, en étant un nomade, peut choisir où il veut rester. Sous-argument 1.1 Il choisit ou il veut aller, s'il part ou s'il reste. Il ne doit rien à personne. Illustration: P.21; Didace finit par lui demander - Resteras-tu longtemps avec nous autres? - Quoi? Je resterai le temps qu'il faut? Explication: Le survenant n'a aucun chemin tracé. Il va comme

succincts sur les éléments suivants : • Historique de votre institution (brièvement) • Explication de la mission et des objectifs de votre institution • Description des activités de base de votre institution (produits, couverture géographique, clients, portefeuille, croissance) • Établissement d’une liste de nouvelles initiatives ou de nouveaux objectifs s’il y a lieu, par exemple : plan de développement récent. • Résumé des forces et/ou des faiblesses de l’institution • État des lieux

d’une nouvelle esthétique, celle de l’étrange, du bizarre.L’introductionElle se décompose en 3 étapes :1. L’amorce . Il s’agit d’amener le sujet afin de ne pas débuter le devoir par le rappel du sujet et ce, de manière abrupte. Le thème que sous-tend la question doit être formulé et mis en relation avec l’œuvre (et/ou le parcours) Depuis l’Antiquité, les alchimistes travaillent en secret pour trouver la formule qui leur permettra de transformer le plomb en or. Ces apprentis

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Le « sauvage » n’est pas présenté de façon similaire par les deux auteurs. Cartier tente de nous montrer le « sauvage » comme un être dominé. Tandis que chez Lahontan, cette relation dominé/dominant n’est pas présente dans le texte, on le perçoit plutôt supérieur à l’homme blanc. Par contre, les deux auteurs tentent de dénaturer le « sauvage », de l’assimiler. |Argument principal 1

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non. Bien que les deux auteurs traitent d’un même sujet, qui est leur séjour auprès des Amérindiens, Cartier et Lahontan sont divisés quant à la perception du Français par rapport aux sauvages, supérieur pour le premier et critiquable pour le second. Argument principal 1 |       À première vue, dans ces deux textes, les Français semblent confrontés à une situation similaire, ils doivent faire face à une rencontre d’un nouveau genre

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non. Bien que les deux auteurs traitent d’un même sujet, qui est leur séjour auprès des Amérindiens, Cartier et Lahontan sont divisés quant à la perception du Français par rapport aux sauvages, supérieur pour le premier et critiquable pour le second. Argument principal 1 À première vue, dans ces deux textes, les Français semblent confrontés à une situation similaire, ils doivent faire face à une rencontre d’un nouveau genre pour l’époque: