Les Enfants du marais

l’intérieur de l’Eden. Il est entouré du marais, puis de la terre ferme sur laquelle, il y a une forêt où se cachent des ogres bleu et grand sans sexe, un lac noir, (un des habitants pense que les rêves se trouvent dans ce lac) une pyramide qui est un peu plus loin. L’histoire des ogres est inventée par la mère adoptive pour faire peur, à l’idée des quatre adolescents. La mère adoptive s’appelle : Mademoiselle Grâce, son surnom dit par les enfants est M.G. Quand les enfants étaient petits, M.G était comme

musiciens, joueurs de la viole de gambe : le maître, Ste Colombe, et l’élève, Marin Marais. Il s’appuie sur des compositeurs baroques ayant réellement existés, et leur invente une vie, pour comparer les différents chemins qu’ils empruntent. Le maître choisit la création personnelle et le repli sur soi, l’élève utilise la musique comme un moyen de revanche sociale. Comment l’opposition entre Ste Colombe et Marin Marais se manifeste-t-elle dans tous les matins du monde ? Pour répondre à cette question

Un jour, un jeune homme, Marin Marais se présente avec une lettre de recommandation. Il devient l’élève de Sainte Colombe, avant d’être renvoyé lorsque son maître apprend qu’il a joué à la cour. Madeleine, amoureuse, le rattrape et lui promet de lui enseigner tout ce que son père lui a appris. Les deux amants se retrouvent en cachette pour des leçons. Puis, devenu « musicqueur du roi », Marin la quitte après l’avoir trompée avec Toinette. Madeleine accouche d’un enfant mort-né. Des années plus tard

chap.1, 55 chap. 11, chap.12 59, 60, 61, p.107 chap.26 Dans le livre, problème avec les dates historiques, on sait que Marin Marais a quitté la chantrerie le 22 septembre 1672 (chap.8 p.41) qu'il a passait ensuite un an chez monsieur Caignet (chap.8 p. 45) puis Monsieur Maugars l'a fait travailler pendant 6 mois avant de l'envoyer chez Monsieur de Sainte-Colombe. Marin Marais a du arriver chez Sainte-Colombe vers 1673-1674. Lorsqu'ils se rendent ensemble chez le peintre Baugin, l'année qui suivie

Tous les matins du monde  » plus précisément du chapitre VIII. C’est un roman réaliste écrit par Pascal Quignard en 1991. Dans cet extrait nous avons la description de la vie de Marin-Marais (violiste et compositeur français de la période baroque). Auparavant il était enfant de chœur dans la chantrerie royale, il a été renvoyé car sa voix ne correspondait plus à ce qui était demandé dans la chantrerie, ce qui l’a

nous conte l’histoire de la famille de Sainte Colombe ainsi que leur rencontre avec Marin Marais. Alors que dans le film le narrateur est Marin Marais lui-même. C’est lui qui raconte l’histoire de son maître à ses élèves lors d’une leçon à la cour. Cette scène est un flashback de M. Marais. De plus certaines scènes du roman n’apparaissent pas le film comme par exemple la relation charnelle de Marin Marais et Toinette dans un buisson, qui a lieu dans le roman au chapitre XVII. (Nous supposons dans

mère quant à elle, savait parler et rire. » C’est un souffrant silencieux qui avoue sa douleur de ne pas savoir exprimer à sa femme au même chapitre XV : « la parole ne peut jamais dire ce dont je veux parler et je ne sais comment dire. » Marin Marais, lui, a connu aussi une perte majeure, la mue de la voix. Le drame de la mue est rendu de façon saisissante dans le chapitre VIII par l’idée d’une sorte de retour à l’état sauvage associé à la transformation du corps par la sexualité pubère : «Il

du monde, un récit initiatique ? Le roman Tous les matins du monde de Pascal Quignard, publié en 1991, apparaît aux yeux du lecteur comme un récit initiatique. Il dévoile en effet peu à peu la signification de ce qu'énonce Sainte-Colombe à Marin Marais au chapitre VIII : « Vous faites de la musique, Monsieur. Vous n'êtes pas musicien. » Cette phrase énigmatique amène le lecteur à bien entendu comparer les deux personnages, mais aussi à s'interroger sur la définition du musicien et de la musique

film est la seule détentrice de la sensualité et de l'érotisme, elle n'hésitait pas a regardé Marin Marais d'un « air singulier », elle relève ses cheveux pour attirer le regard de Marais sur sa nuque, et dégrafé son bustier pour montrer à son futur amant ses atouts. Toinette, sa sœur, utilise les mêmes méthodes que Madeleine pour attirer Marin Marais. Madeleine est passionnée par Marin Marais. Elle n'hésite pas à lui transmettre tout ce que son père lui a appris et en lui dévoilant l'endroit

du film est la seule détentrice de la sensualité et de l'érotisme, elle n'hésitait pas a regardé Marin Marais d'un « air singulier », elle relève ses cheveux pour attirer le regard de Marais sur sa nuque, et dégrafé son bustier pour montrer à son futur amant ses atouts. Toinette, sa sœur, utilise les mêmes méthodes que Madeleine pour attirer Marin Marais. Madeleine est passionnée par Marin Marais, elle intercède en sa faveur lors de sa première visite en lui disant de jouer une de ses compositions