Les Effets Pervers De La Création Monétaire

plusieurs années grâce à l’intermédiaire des banques qui transforment les capitaux. Si les fonds préalables sont insuffisants pour financer les besoins de financement alors la banque peut créer de l’argent ( ce qui revient en fait à anticiper la création de richesses...) On appel cela le principe de « l’échange productif » exemple : pourquoi les banques prêtent elle de l'argent à monsieur X jeune entrepreneur ? Car lui a une idée, il sait comment commercialiser un nouveau brevet révolutionnaire

source d’effet d’éviction. L’emprunt peut entrainer un effet d’éviction c'est-à-dire la rationalisation de la demande des capitaux des agents privés sur le marché financier du fait de la présence de l’ETAT. Cette éviction s’appui sur deux mécanismes. Un effet « quantité » car l’Etat offre des garanties, les préteurs vont donc en faire une priorité et donc la quantité de capitaux disponible pour les autres emprunteurs sera moindre. Un effet sur le « prix » car l’augmentation de la demande de capitaux

les services publics. Deux limites : Le PIB non-marchand n’est pas forcément très efficace Les associations, le domestique, le non lucratif, l’économie souterraine ne sont pas pris en compte, et on ne déduit pas non plus les coûts liés aux effets pervers de l’activité économique (pollution). Le PIB n’est pas un indicateur de progrès économique et social. Citation de Mme Dominique Médat : « Le PIB ne compte pas ce qui compte » A quoi sert la connaissance du PIB ? C’est un indicateur de performances

transferts sociaux et ménages) iii. Dépenses de fonctionnement iv. Dépenses liées à la charge d’intérêt Dépenses Publiques = Levier important pour agir sur la croissance économique & sur l’emploi (risque d’effets pervers sur l’inflation et équilibre commerce extérieur) = instrument de régulation conjoncturelle - le multiplicateur budgétaire A tout moment on a : Y + M = C + I + G + X Y = prod M = importation C= Conso des ménages

+ services aux entreprises, transferts sociaux et ménages) iii. Dépenses de fonctionnement iv. Dépenses liées à la charge d’intérêt Dépenses Publiques = Levier important pour agir sur la croissance économique & sur l’emploi (risque d’effets pervers sur l’inflation et équilibre commerce extérieur) = instrument de régulation conjoncturelle le multiplicateur budgétaire A tout moment on a : Y + M = C + I + G + X Y = prod M = importation C= Conso des ménages I = investissement

Japon est supérieur, ce chiffre reste considérable). Ceci étant dit, Nous pouvons aussi dire que les compétences de la politique monétaire sont transférées à la Banque Centrale Européenne (BCE) qui elle-même coopère avec les banques nationales des pays de la zone euro au sein de l’écosystème pour la mettre en œuvre. De plus, les pays participants à l’union monétaire constituent désormais une économie fortement intégré : La zone euro. La monnaie unique garantie la transparence des prix qui peuvent

action sur la politique monétaire (baisse des taux d'intérêt). Ce type de politique à des effets positifs sur l'emplois, les revenus des ménages, mais favorise les poussés inflationnistes et aboutis à une dégradation de l'équilibre extérieur. a – Les politiques de rigueurs. Elle privilégie la lutte contre l'inflation et l'assainissement financier (réduction du déficit public). Elle implique souvent le freinage de la croissance et donc de la demande. En principe elle à une effet positif sur l'équilibre

Le recours à l’emprunt peut entraîner un effet d’éviction, c’est-à-dire le rationnement de la demande de capitaux des agents privés sur le marché financier du fait de la présence de l’État. L’éviction s’appuie sur deux mécanismes : – un effet quantité : l’État est un acteur puissant qui offre des garanties. Il sera donc servi en priorité par les prêteurs, ce qui réduit d’autant la quantité de capitaux disponibles pour les autres emprunteurs ; – un effet prix : l’augmentation de la demande de capitaux

relance tant budgétaire que monétaire sera inutile et inefficace. « Mais les circonstancessont tout à fait exceptionnelles » affirme X.Timbeau, car « la crise financière a contredit l’idée que les marchés soientcapables d’autorégulation »(doc 5) . Une politique de relance s’avère alors souhaitable et indispensable. I.Une politique de relance est inutile et inefficace L’expérience historique des 30 dernières années montrent bien qu’une politique de relance tant monétaire que budgétairene permet pas

mêmes entreprises, sur le marché des actions. Johan Norberg rappelle à ce propos que toute réglementation a une guerre de retard. Ici, la règle de la « juste valeur » est issue du scandale Enron, ainsi que de la loi Sarbanes-Oxley de 2002. Les effets pervers de ce mécanisme sont analogues à ceux de la réglementation qui suivit en 1720 la crise de la Mer du Sud, par laquelle le Royaume-Uni a retardé d’un siècle la formation libre de la société par actions, et ce faisant la généralisation de la Révolution