Les Effets Pervers De La Création Monétaire

cet enseignement (thème 1), il convient, tout en s’appuyant sur les acquis des élèves, de présenter les principaux objets d’étude de la science économique. La création de richesse et les débats liés à sa mesure et à sa répartition, puis l’affectation des revenus des ménages, constituent une suite logique au premier thème. Ensuite la création de richesse et la production amènent à poser la question du mode de financement de l’activité économique. Il convient enfin de situer cette activité dans le cadre

De la crise L’échec de la Réserve fédérale . . . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts hypothécaires subprime . . . . . . . . Une pandémie financière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le rôle pervers des agences de notation . . . . . . . La dictature de la pensée à court terme . . . . . . . La disparition de toute conscience du risque . . La faillite du modèle de croissance américain . . III – La rupture entre marché et démocratie

industrielle dense. Ce qui lui a permis de tirer profit de la rente pétrolière dont une bonne partie a été réinvestie dans les projets de développement économique. Aux années 1980, l’économie algérienne a connu des difficultés importantes. En effet, le contre choc pétrolier de 1986 a porté un coup dur à une économie quasiment rentière. C’est la période des plans anti-pénurie et de stabilisation. Aux débuts des années 1990, l’Algérie se rapproche des institutions de Bretton Woods en vue de conclure

à l'activité de la banque. Ainsi, avec un chiffre d'affaires au 30 septembre 2007 de 191 millions de dinars, un Produit Net Bancaire de 99 millions de dinars et un bénéfice de 20 millions de dinars, AMEN BANK connaît une ascension remarquable. En effet, le Produit Net Bancaire a enregistré une progression de 18par rapport à fin septembre 2006, et la part de marché de la banque est estimée à 9actuellement. Cette évolution a d'ailleurs été qualifiée de « foudroyante » par M. Et Karm. M. El Karm par

Les deux dernières décennies marquent le passage d’une économie internationale à une «économie monde», espace dont la régulation échappe en grande partie aux nations. Cette mondialisation de l’économie impulsée par les pays développés a-t-elle un effet sur les modes de vie nationaux, c’est-à-dire sur les pratiques sociales et culturelles spécifiques de chaque pays ? Assiste-t-on aujourd’hui à une diffusion du mode de vie occidental à l’échelle planétaire ? Et peut-on pour autant parler d’uniformisation

Les deux dernières décennies marquent le passage d’une économie internationale à une «économie monde», espace dont la régulation échappe en grande partie aux nations. Cette mondialisation de l’économie impulsée par les pays développés a-t-elle un effet sur les modes de vie nationaux, c’est-à-dire sur les pratiques sociales et culturelles spécifiques de chaque pays ? Assiste-t-on aujourd’hui à une diffusion du mode de vie occidental à l’échelle planétaire ? Et peut-on pour autant parler d’uniformisation

: pour accroître son salaire, chacun fait des efforts et se montre le plus productif possible. B-Réduction des inégalités et croissance •D’autres économistes ont montré que la réduction des inégalités peut aussi être favorable à la croissance. •En effet, des calculs effectués en comparant des entreprises françaises (aux inégalités de salaires et d’autorité marquées) et allemandes (aux inégalités moins marquées) ont montré que la réduction des différences d’autorité et de salaires peut entraîner une

cette religion, son comportement vénale, qui pousse la population a verser plus d'argent à l'église en affirmant une place au paradis pour les grands donneurs. L'intervention de Luther emmène a une remise en cause du dogme catholique et amène à la création des protestants. On a donc au début du 16ème siècle, l'apparition d'une nouvelle religion, le protestantisme. Le capitalisme ne naît pas avec la religion protestante. «l'éthique protestante et l'esprit du capitalisme» de Max Weber, 1904 Les

temps, on peut plus ou moins dire que la performance se fonde sur le rapport valeur-cout que l’entreprise tend à optimiser. Elle s’articule autour de tout ce qui contribue à améliorer le couple valeur-cout et qui tend ainsi vers la maximisation de la création nette de valeur. Très souvent on mesure la performance a des chiffres, des bénéfices ou une rentabilité à atteindre, mais vue l’évolution qu’a connu ce concept nous croyons qu’il s’agit d’une notion plus globale. Elle résulte davantage d’un ensemble

actif ( 2,1 en % par an, de 1950 à 1973 ) Taux d’investissement ( FBCF totale, en % du PIB , de 1950 à 1971 ) 17,8 GrandeBretagne 2,5 16,9 France 4,7 21,9 Italie 4,9 20,6 RFA 5,3 25,0 Japon 8,0 29,6 La croissance du capital assure à la fois la création d’emplois dans les secteurs en expansion et l’accroissement continu de l’intensité capitalistique. Elle prend notamment la forme d’une mécanisation systématique des processus de production accélérant la pénétration du progrès technique. Cette contribution