Les Effets Pervers De La Création Monétaire

Dette publique - Effet d’éviction - Effet Boule de neige - Effet multiplicateur - Fonctions allocation, redistribution, stabilisation - Friedman M. - Keynes J.M - Hayek F. - Laffer A. - Marchés contestables - Nordhaus R. - Politique budgétaire - Politique fiscale - Politique industrielle - Politique monétaire - Principe d’équivalence (Ricardo-Barro) 380 PLAN I. LES POLITIQUES CONJONCTURELLES A. La politique budgétaire B. La politique monétaire 1. Les objectifs de la politique monétaire 2. Les instruments

Table des matières: Introduction: 3 Partie 1: La place du dollar dans l'économie mondiale 5 1- Le passage du dollar fixe au flottant: 6 2- Les enjeux du dollar dans le système monétaire international: 7 3- Le dollar aujourd'hui: 8 Partie 2: L'Euro monnaie principale 9 1- Fondements de base 9 2- L'Euro face à la dette souveraine 9 2.1- Dettes souveraines : de crise en crise 10 2.2- La deuxième crise 11 2.3- La troisième crise 11

Perspectives historiques des crises II. L’INTERPRETATION THEORIQUE DES CRISES A. L’école libérale et la crise de l’offre B. L’école keynésienne et la crise de la demande C. L’école de la régulation et la crise du modèle fordiste D. Schumpeter et la création - destruction III. LES CRISES CONTEMPORAINES A. La crise de 1929 B. La crise de 1975 C. La crise de 1992 D. La crise de 2007 2 INTRODUCTION C’est avec l’avènement du capitalisme comme système économique dominant dans l’Angleterre du 19ème siècle

régaliennes) ; les législations sociales sont minimums. “Les effets pervers” sont  désormais supposés être  réglés à travers la “concurrence pure et parfaite”. Des la fin de la seconde guerre mondiale, les USA se donnent les moyens (organisations économiques internationales) de s’assurer un rôle central dans l’économie mondiale et son évolution. C’est à la Conférence de Bretton Woods  (1944)  qu’ils définissent le nouveau système monétaire international et affirment leur supériorité  économique et

:revenu du travail -IP : impôts liés a la production Il s'agit de la répartition primaire On se pose des questions par rapport a cette reparti car dans un pays quand il y a des pauvres on a crée un gâteau une partie de personne n'a pas de part = création d'inégalité . Le partage de la valeur ajoutée est-il inéquitable ? Il faut retenir qu'une richesse a était crée mais qui la crée donc la personne ayant participer au processus productif auront une part de richesse W l' entreprise autant de quantité

leur revenu + du prix des biens. Mettre en évidence effets dans le temps de l’évolution du pouvoir d’achat sur la structure de la consommation des ménages. Interpréter valeurs significatives que peuvent prendre les élasticités (prix et revenu) pour quelques types de biens en mettant en évidence intérêt de cet outil pour l’économiste. 1.2 La consommation : un marqueur social ? Consommation ostentatoire : Effets de distinction : Effets d’imitation : Montrer que choix de consommation sont

d’avantages:/ Effet de dimension : La libéralisation des échanges internationaux fait que la taille du marché s'agrandit : les entreprises ont donc un marché mondiale qui s'offrent à elles, elles peuvent donc augmenter leur production et, ce faisant, elle vont diminuer le coût de production, grâce aux économies d’échelle et effets d’apprentissage. (Baisse du cout unitaire)./Effet de diversification pour le consommateur et le producteur (bien de production bien l’intermédiaire)./effet de concurrence :

|  | | C.B  : Commission Bancaire. M.E.F  : Ministre de l’Economie et des Finances. Article 30 A  : Article 30 de l’Annexe à la convention du 24 avril 1990 portant création de la Commission Bancaire 1 Par application de l’article 15 de la convention cadre, la BCEAO doit donner son avis sur les normes prudentielles financières établies par le Ministre ANNEXE II : RATIOS DE GESTION ET D’EQUILIBRE

démographiques, économiques et sociales qui généralement accompagnent la croissance. - PPA (parité de pouvoir et d’achat) : Equivalence entre le pouvoir d’achat d’une unité monétaire d’un pays et de « n » unité monétaire d’un autre pays. - Croissance : Augmentation des principales dimensions caractéristiques de l’activité d’un ensemble économique et social, accompagnée ou non d’un changement de structure. II) La

suffisant A le partage de la valeur ajoutée ne doit pas trop sacrifier les salaires car, pour Keynes, le déterminant de l’investissement est la demande effective (rôle de l’incertitude -pessimisme- ; effet accélérateur) ; la profitabilité compte davantage que le profit maximum et l’endettement peut stimuler (effet de levier) alors qu’un excès d’épargne et des taux d’intérêt élevés sont néfastes B … comme le montre la décennie 90 jusqu’à nos jours avec un risque de retard technologique de l’Europe face